samedi 31 décembre 2011

CRISE CHEZ LE CACANADIEN : UN S.O.S. À BOB GAINEY ?


Le CanaCHien de Mourial connaît une saison cauchemardesque en 2011-12. Non seulement au point de vue hockey avec leurs mauviettes qui se blessent ou leurs deux de pique sur-payés qui trouvent le moyen de sous-performer, mais aussi sur le plan du management en choquant leurs fefans par des décisions insensés comme nommer un entraîneur unilingue anglophone. Une manifestation de mécontentement publique aura lieu aux abords du Centre PouBell le 7 janvier prochain. Les fefans comptent protester contre le manque de respect démontré à l'égard du fait français par les membres de la haute direction du club de hockey des Montreal Canadians. Les membres de l'état-major du CH ont discuté récemment des actions à prendre si jamais la situation s'envenime et tourne au vinaigre, autant sur la patinoire que dans les estrades. Une des solutions envisagées serait de confier les opérations hockey à Bob Gainey (entraîneur ou DG, ou les deux), qui est déjà sur la liste de paye du torCHon à titre de conseiller spécial. Gainey a déjà assuré l'intérim derrière le banc il y a quelques années. Il peut s'exprimer en français, même s'il le fait difficilement. Ça pourrait être un moindre mal et un bon bouche-trou en attendant que cette saison épouvantable prenne fin.

Bien sûr les anti-habs sont au 7e ciel avec toute cette merde qui tombe sur la tête des moronréalaids. On ne finit plus de se moquer à qui mieux mieux de la déconfiture des CHaudrons et de leurs fefans. Parmi les moyens dont nous disposons pour célébrer les déboires des CHieux, il y a la chanson LE TEMPS D'UNE DINDE, popularisée par Michel Barrette (Hi Ha Tremblay). On change les paroles et on se paye la traite en chantant. Dans la version qui suit, je donne la parole au DG du Canailien, Pierre Gauthier, qui, ne sachant plus quoi faire en voyant son club couler à pic, lance un S.O.S. désespéré à Bob Gainey en lui donnant un coup de téléphone :

Allo Ti-Bob c'est Pierre Gauthier (bis)
Ça te tente-tu de m'remplacer (bis)
As-tu entendu les rumeurs (bis)
Ce serait toi notre sauveur (bis)

Voici revenu le temps des fêtes (bis)
Pis on est loin du club de tête (bis)
Notre club c'est n'importe quoi
Pis on sait pu où on s'en va

Carey sul ventre (bis)
Yé pas bin fort (bis)
Les buts qui rentrent (bis)
De tous les bords (bis)
Il est pourri, on est mal pris

C'T'un club de dindes, dindes, dindes,
Le jeu d' puissance est rendu impuissant
C'T'un club de dindes, dindes, dindes,
C'T'un club de dindes les Habitants,
Oui on faire rire de nous-autres longtemps,
Oui on faire rire de nous-autres longtemps.

À Mourial c'est l' désarroi (bis)
Ils veulent tous avoir Patrick Roy (bis)
Cunneyworth ils en ont ras-le-bol (bis)
Comme Jacques Martin c'est une pâte molle (bis)
Les journalisssses chu pu capable
Pis les joueurs sont des incapables

Subban sul ventre (bis)
Gomez au centre (bis)
C'est rare qu'ils scorent (bis)
Avec leurs lancers imprécis...

C'T'un club de dindes, dindes, dindes,
Le jeu d' puissance est rendu impuissant
C'T'un club de dindes, dindes, dindes,
C'T'un club de dindes les Habitants
Oui on va faire rire de nous-autres longtemps
Oui on va faire rire de nous-autres longtemps

Quand nous serons éliminés (bis)
Quek part vers la fin de janvier (bis)
Ce sera le signal d'alerte (bis)
Faudra se trouver une cachette (bis)
Pour pu que les fefans nous voient
En attendant Saint Patrick Roy

Tout l'monde sul ventre (bis)
Pis moé au centre (bis)
Tout l'monde dehors (bis)
Pis l'grand ménage sera fini

C'T'un club de dindes, dindes, dindes
Le jeu d'puissance est rendu impuissant
C'T'un club de dindes, dindes, dindes,
C'T'un club de dindes les Habitants
Oui on va faire rire de nous-autres longtemps
Oui on va faire rire de nous-autres longtemps

(Répéter à satiété)



vendredi 18 novembre 2011

LE PROCHAIN LOINTAIN BUT DE SCOTTY "BOUM BOUM" GOMEZ...


La vie est belle pour Scott Gomez. Après la signature de son plus récent contrat, qui a fait de lui un homme riche à craquer, son avenir et celui de sa famille sont assurés pour les siècles des siècles, amen ! Pour un gars natif de la lointaine Alaska, c'est un sort aussi improbable qu'extraordinaire qu'il connaît depuis quelques années. Pas étonnant qu'il sourit tout le temps et se moque bien, en sourdine, des critiques des amateurs de hockey et des journalistes de sport. Après sa saison de misère l'an passé, il avait juré, en se retenant pour ne pas rire, qu'il ferait amende honorable au cours de la prochaine campagne en jouant mieux. D'accord, le "Gomer" a fait son "cash" et sa réputation à titre de fabricant de jeux. Pas comme marqueur ou pour la précision et la force de son lancer. Mais...tout de même ! Ça va faire bientôt 50 parties qu'il dispute sans compter le moindre petit but, ne serait-ce qu'un but accidentel ou involontaire... Acquis pour constituer un pilier ou une pièce maîtresse du dernier plan quinquennal de Bob Gainey, il est plutôt une grosse "joke" sur patins. Essayons de deviner quand et dans quelles circonstances le no 11 du torCHon pourrait enfin savourer un but :

- À Hamilton, dans un filet désert, après avoir été rétrogradé au club ferme des CHaudrons, dans la Ligue Américaine, et après avoir été, bien entendu, ignoré au ballottage par tous les autres clubs de la NHL;

- À l'entraînement quand il n'y a pas de gardien devant le but, ou quand Budaj ou Price regardait ailleurs ou bloquait le tir d'un autre coéquipier;


- Dans un match de "old timers", quand il sera à la retraite;


- En scorant dans son propre "net" lorsqu'une tentative de dégagement de Scary Price ricochera sur le casque qui protège sa tête d'eau;


- Chez lui dans sa cour, alors qu'après avoir heurté un caillou, la balle de tennis, qu'il a lancée, a déjoué son fils de huit ans gardant des buts imaginaires constitués de deux grosses roches;

- Après qu'il ait été le dernier joueur du CH à toucher à la rondelle quand le club adverse a marqué dans son propre filet à la suite d'une passe arrière ratée, après une punition annoncée au Caca (le gardien avait cédé sa place à un sixième attaquant);

- Après que la rondelle ait dévié trois fois avant de lui toucher au derrière et de rebondir dans le but;



- Comme Moen hier, en voyant son lancer ou sa passe tentée de derrière le filet être dévié par le gardien dans sa cage;

- Au cours d'une descente à trois contre zéro, en fin de match, dans un filet désert...

- En profitant d'un mauvais bond sur la rampe ou sur un arbitre;

- En voyant son lancer dévier sur un bâton brisé traînant sur la patinoire...

- Quand un coéquipier aura pitié de lui en disant à l'arbitre que sur le but qui lui a été crédité, il n'a pas touché au disque lancé par Gomez...

J'aurais pu ajouter que Gomez pourrait tout aussi bien s'inscrire dans la colonne des buts marqués en comptant un but "à la Réjean Houle", c'est-à-dire, tomber dans le filet adverse en entraînant la rondelle sous lui. Mais pour réaliser un tel "exploit" comme Peanut savait si bien le faire, le "Gomer" devrait foncer au but, ce qu'il ne tente jamais... Scotty est un citoyen modèle. Il respecte scrupuleusement la loi. Celle du moindre effort ! La morale de cette histoire : il vécut heureux et eut plusieurs millions de dollars pour remplir ses oreillers et dormir du sommeil des justes. Des "juste" pas capables de justifier leurs gros contrats...

mercredi 21 septembre 2011

BELLE BROCHETTE DE BROCHETS, JOUEURS TARTES ET (EM)PÂTÉS : LES CANADIENS SONT LÀ !


Le moins que l'on puisse dire, c'est que les fefans du CH sont durs de comprenure... De vraies têtes de noeuds ou...des hydrocéphales. Andrei Markov a de l'eau dans le genou, les fefans eux, ont des têtes d'eau... Vous avez beau leur expliquer mille fois que des anti-habs ça existe, et qu'il y en a même des milliers et des milliers dans le monde, ça ne leur rentre pas dans le pois chiche qui leur sert de cerveau. No comprendo... No kapiché... Y pigent pas... They don't catch... Vous essayez de leur exposer la vision anti-habs de leur club de merde. Vous tentez de leur mettre les yeux vis-à-vis les trous, pour qu'ils découvrent la juste valeur de leurs pousseux de puck... Peine perdue... Pour ces cervelles d'oiseau, leurs CHieux sont les Glorieux, et c'est impossible que tous les Québécois ne les vénèrent pas... En désespoir de cause, il vous vient alors à l'idée de leur parler comme à de jeunes enfants : en employant des mots archi-simples, des images frappantes, des exemples très concrets ou des comparaisons éclairantes... Toute comparaison est boiteuse, direz-vous ? Comme Markov et le Canaillien, vous répondrai-je ! L'hiver dernier, je suis justement tombé sur une photo (ci-dessus) qui résumait parfaitement ce que les anti-CH pensent du CHicolore. Ce cliché génial dit tout ! Il nous montre des pâtés à la viande (avariée ?) avec au beau milieu le logo tout croche du Cacad'CHien. C'est la métaphore du club des Molson lorsqu'il évolue au milieu du Centre PouBell à Moronréal. Un club tout croche, empâté, dans un milieu où les Molson sont gras dur. Continuons à exploiter le filon alimentaire pour décrire (en riant) l'équipe dirigée par Jacques "Dumbo" Martin, dont la famille ne cesse de s'agrandir, et leurs oreilles aussi...



En consultant les recettes du Québec sur internet, on découvre que, parmi les nombreux pâtés proposés, certains collent très bien à l'image de vauriens des CanaCHiens et de leurs fefans bipolaires. Il y a d'abord le pâté de brochets qui est tout indiqué pour servir de plat de résistance à tous les fefans du torCHon. En fait, le broCHet devrait être leur emblème. D'abord, le brochet est un poisson vorace, comme le fefan typique qui gobe, comme des couleuvres, tous les mensonges que lui raconte la direction des CHaudrons. Il prend facilement des vessies pour des lanternes. Il est aussi stupide qu'un brochet qui mord à n'importe lequel hameçon. Comme le brochet, le fefan a également une grande gueule, dont il se sert à profusion pour baver, parler à travers son chapeau, dire des niaiseries et des conneries comme : le Canaillien est une dynastie du sport professionnel ou, il va "gagner la Coupe Stanley cette année". Le brochet, on le sait, est un cannibale qui mange fréquemment ses semblables. Exactement comme les fefans qui se dévorent entre eux quand leur club de broches à foin subit plus que deux défaites consécutives. Les purs et durs, fidèles coûte que coûte à leurs bons à rien, se font avaler par ceux qui veulent que tous les membres de l'état-major du CH soient mis à la porte et que la moitié de l'équipe soit échangée.



En voyant la recette de pâté au jambon, j'ai pensé tout de suite à Travis Moen, un empâté de première classe... Un joueur coCHon, un gros jambon sur patins qui s'est fait une belle réputation en se battant contre un adversaire qu'il savait blessé, puis en frappant par derrière une recrue des Panthers de la Floride qui était déjà aux prises avec un coéquipier de Moen, le long de la rampe. Sans parler de tous les autres coups salauds du gros tas du Caca. Parmi les autres pâtisseries me rappelant les CHieux, la tarte aux trois pommes, qui pourrait avoir été inspirée par tous les petits "trois pommes" qui s'alignent avec le CHicolore : Cammalleri, Gionta, Plekanec, Desharnais, etc. La tarte aux poires convient à merveille à bien des andouilles qui font partie de la formation de Dumbo Martin, un pâtissier aux allures d'embaumeur, passé maître dans l'art de pétrir la pâte à tarte passe-partout. Un expert en pâtes molles qu'il aplatit au rouleau et qui donne un résultat parfaitement "plate" comme le spectacle que le CH offre à ses partisans par son jeu insipide et robotique. Quant à la tarte au citron, je la réserverais à Pédé Subban, qui, avant le début de la saison dernière, était seul dans la course au trophée Calder, selon les fefans... À la fin de la campagne 2010-2011, Piqué n'a obtenu qu'un vote (on sait d'où il vient) au scrutin de la recrue par excellence... Autant lui décerner le prix citron pour l'ensemble de son oeuvre médiocre. La tarte aux pommes cachées (oui ça existe vraiment) est le dessert parfait pour tous les petits merdeux du CH qui se cachent lorsque le jeu devient plus viril après la période des fêtes de fin d'année... Même si, à ce stade du calendrier, les petits schtroumfs du Caca deviennent très rapides pour éviter les mises en échec et les coups, ces pauvres mauviettes ne peuvent pas toujours se sauver. Leur corps devient alors coloré de bleus et endolori par des prunes. Dans leurs cas, la tarte aux prunes s'impose. Dans ce même ordre d'idée, comparer les CHieux à un pâté au poulet serait fort justifié car quand le jeu se corse, ils ont tous l'air d'une bande de "CHickens"...



Le pâté mexicain pourrait convenir à Scott Gomez. Le pâté de boeuf renversé irait comme un gant à Andrei Kostitsyn qui, malgré son physique assez massif, ne ressort pas souvent des coins de patinoire, en position verticale... Scary Price ressemblerait plutôt à un soufflé (gâteau) qui se dégonfle en séries éliminatoires... La tarte oubliée (ça existe aussi) serait Bob Gainey, l'architecte incompétent de ce club de merde, dont le congédiement a été déguisé en lui confiant un obscur poste de "conseiller spécial". La fausse tarte aux pommes, c'est Cammalleri, le faux marqueur de quarante buts de la CHiasse. La tarte à la compote de pommes, c'est Markov avec ses genoux en compote. Mais étant donné son jeu mou en défensive, ce pourrait être aussi la tarte au tofu, faite de gélatine neutre (comme Andrei qui est souvent au neutre) et d'oeufs battus (comme le 79 du CH qui est souvent battu sur des jeux où les adversaires font preuve de robustesse). Plusieurs défenseurs du torCHon doivent être des mangeurs de tarte à la mélasse, tellement ils semblent avoir les deux pieds collés dans la mélasse lorsque des opposants les débordent de tous côtés. Le pâté à la dinde serait également idéal pour représenter les CanaCHiens qui, il y a deux ans, ont mérité le titre de TURKEYS OF THE YEAR de la revue SPORTS ILLUSTRATED. Enfin, les roulés printaniers (photo ci-dessus) fourrés et roulés à la main pourraient s'adresser aux fefans qui, à chaque printemps, se rendent compte qu'ils se sont fait rouler dans la farine par l'organisation moronréalaise. Une organisation de beaux parleurs qui les a bercés d'illusions et de vaines promesses, comme à chaque été depuis près de deux décennies d'échecs répétés. Ouais... les malheureux fefans se sont faits emplir comme des tartes qui débordent... Faut bien gaver le bétail...

vendredi 16 septembre 2011

EXAMENS MÉDICAUX DES JOUEURS DU CH : DRÔLES DE CONSTATATIONS...


Même si Andrei Markov (maintenant citoyen canadien sous le nom de André Marcotte) s'est présenté aux examens médicaux lors du premier jour du camp d'entraînement des Américains (ex-Canadiens) de Mouryial, il a refusé tout contact physique, comme s'il avait été dans un vrai match de hockey. D'emblée, il a été déclaré inapte au service. De toute façon son épais dossier médical est déjà assez éloquent comme ça, et il parle donc de lui-même, bien mieux que le principal intéressé d'ailleurs... En le consultant, on lit sur la troisième page : «semble avoir une patate CHaude dans la bouche quand il essaie de parler». Imaginez alors, quand il a un verre dans le nez... Des examens plus poussés ont mis les médecins devant quelques autres évidences : «a peur des coins sombres et de son ombre (...) et cette peur panique le porte à uriner dans sa couche» (page 27). En page 41 sont inscrits des résultats de radiographies et de résonnance magnétique : «n'a pas de colonne vertébrale et ses os sont de porcelaine». Finalement, à la 59e page on conclue :«souffre de vieillissement précoce, a les couilles molles, a de l'eau dans un genou ainsi que dans la tête, bref, c'est un JAUNE». C'est un portrait fidèle du Norris manqué des Caca. Plus il se blesse, plus il a peur de bloquer des lancers. Plus il se blesse, moins il veut frapper ou se faire frapper. Plus il se blesse, moins il veut jouer...sauf en avantage numérique où il ne risque pas grand chose et ne casse rien...

Pour sa part, dès que Piqué "aux stéroïdes" Subban est entré dans leur bureau, les docteurs ont été frappés par le volume démesuré de sa caboCHe enflée. Non seulement avait-il un front de "beu", mais il avait aussi du front tout le tour de la tête. Il lui en fallait, en effet, pour déclarer à Hockey Night in Canada (photo) durant les séries éliminatoires d'il y a deux ans, que les CHaudrons allaient gagner la Coupe Stanley. Sans doute, ont noté les médecins, Subbanane était sous l'effet d'hallucinogènes puissants (CHampignons magiques ? Pets de soeur ?) quand il a fait son incroyable déclaration. Des tests plus précis ont détecté son égo, encore plus gros que sa tête de veau. À son dossier, on a fait ajouter une recommandation pour qu'on fasse un suivi de l'évolution de la taille de son crâne, car on craint qu'il soit atteint de mongolisme... Un scan de son cerveau atrophié a tout de même révélé une protubérance du côté du siège de ses facultés artistiques. Ce qui explique sa facilité à jouer la comédie sur la patinoire, en feignant des blessures ou en faisant des culbutes intentionnelles, comme les clowns ou les comiques des anciens spectacles de burlesque... On ne l'invitera jamais à l'émission de télévision DANCING WITH THE STARS. Premièrement parce qu'il n'est pas une étoile, et deuxièmement parce que les candidats ne peuvent pas danser avec eux-mêmes...


Évidemment, quand Hal "Frankenstein" Gill (6 pieds et 7 pouces) a voulu franchir l'entrée de la salle d'examens, il s'est encore cogné la tête sur le cadre de porte. Ça lui est tellement arrivé souvent dans sa vie, qu'il s'est maintes fois fâché et a perdu la tête. Comme ce fut le cas pour son ancêtre Frankenstein, on a dû lui visser la tête dans le cou (voir photo). Les docs ont localisé quelques écailles de tortue sur son dos, ce qui expliquerait sa lenteur légendaire. Ils ont facilement constaté que Gill avait les mains pleines de pouces... Pas besoin d'avoir la tête à Papineau non plus pour diagnostiquer chez Hal, le syndrome-des-jambes-arquées-des-cowboys-manqués-de-Brokeback-mountain (autre photo). Les médecins ont également découvert qu'il souffrait de troubles du sommeil, raison expliquant sans doute pourquoi il se couche si souvent sur la patinoire, devant le filet, lors des matchs des CHieux. Père de deux fillettes et fortement influencé par sa douce et tendre épouse, Hal se bat rarement malgré son physique de pan de mur. Et lorsqu'il est obligé de jeter les gants, il se bat comme...une fillette.


De son côté, Brian Gionta, le capitaine américain des MountReeawl Americans, ne patine pas pour rien sur la bottine (photo). Les toubibs ont vérifié ses pieds, et il a les pieds plats. En dialoguant avec lui, le personnel médical s'est rendu compte qu'il parlait beaucoup pour ne rien dire, qu'il radotait toujours les mêmes clichés éculés et qu'il endormait ses interlocuteurs presque autant que Jacques Martin. En lui faisant tirer la langue, ils ont bien vu qu'il avait la langue de bois. C'est pourquoi les médecins ont recommandé à Jacques "les calèCHes en portes de grange" Martin et à Pierre "monsieur Spock" Gauthier de le nommer capitaine du torCHon. C'est le candidat parfaitement représentatif car il est AMARRIQUIN, comme la gang du siège social de Molson-Coors au Colorado, où on brasse des affaires d'or au profit des Frères Dalton Molson du Centre Bébêêêêle.

Détail intéressant au sujet des défenseurs des CHieux, les docteurs signalent qu'ils ont tous le dos large. Scary Price aura beau jeu de continuer de les blâmer pour les sapins qu'il se fait passer. En voyant la morve et la bave coulant abondamment du nez et de la bouche de Mike Cammalleri, le personnel soignant a jugé, sans tergiverser, que le 13 mourialaid était un morveux et un baveux en plus d'avoir un visage d'avorton, et une tête à claque. Il n'a toutefois pas la langue dans sa poche et sa propension à grimacer à tout bout de champ annonce un âge mental très peu avancé... Par contre, Cammy a d'autres atouts. Par exemple, sa tendance à parler dans le dos de ses coéquipiers plait énormément aux journalissssssses. Son visage à deux faces lui donne aussi une excellente vision du jeu...


Des tests neurologiques indiquent que Andrei "le frère TaloCHe de l'autre" Kostitsyn ne s'est jamais remis de s'être fait planter dans un match contre les Coyotes de Phoenix, il y a trois ans (photo). Depuis ce K.O. technique et clinique, le frère André joue comme un pied, il a le cerveau ramolli et il est un faible d'esprit. Tellement qu'il pourrait demander sa rente d'invalidité. Mais, peu importe, il est jugé apte à jouer pour les Cannes à CHiens. Les médecins ont aussi détecté que AK46 a le coton du coeur très long et qu'il a également les côtes en long (signe qu'il est paresseux). Lâche comme un âne obèse, il a aussi des problèmes de sinus. Ce qui explique en partie pourquoi il ne peut pas sentir son coach Coco Martin.

La mascotte Youppi est aussi passé entre les mains des docteurs. Il a mis leur patience et leur science à rude épreuve. Il sentait la transpiration et le roussi comme P.K. Subban lorsqu'un adversaire l'invite à se battre. Ses tatouages du logo des Expos étaient infectés et ses cheveux étaient bizarrement bouclés. On a découvert que c'était un transsexuel et un travesti. «Ciel !», s'écria un médecin en lui arrachant le haut de son déguisement, «c'est Jean Charest !» «Oui», lui répondit un confrère, «y a pas meilleur patineur que lui !»

L'entraîneur en chef Jacques "oreilles de pachyderme" Martin était bien entendu sur les dents en voyant défiler ses pousseux de puck devant le personnel médical. Il était tout yeux et, surtout, tout OREILLES. Avant d'amorcer réellement leur camp d'entraînement demain, les joueurs du torCHon devaient se soumettre à des examens médicaux aujourd'hui. Ces tests ont été fort révélateurs, même si les perspicaces Anti-Habs ne seront guère étonnés des résultats, qu'ils connaissent déja, en grande partie. Hier, les CHaudrons avaient inauguré leurs activités de la nouvelle saison comme ils avaient terminé celles de la dernière campagne, soit en...jouant au golf. Un sport qu'ils pratiquent plus que le hockey et qu'ils jouent mieux d'ailleurs (la barre n'étant pas très haute pour que leur maniement du bâton de golf surpasse celui du bâton de hockey).

Après avoir disposé du gros tas de poil à Youppi, le personnel médical de la CHiasse n'était pas au bout de ses peines. Patient suivant : Scary Price, un autre beau cas d'espèce ! Un examen sommaire a été suffisant pour diagnostiquer une syphilis (maudites prostituées de MourYial !), une cirrhose du foie (maudite boisson !), et un "tennis elbow" (à force de lever le coude et de se masturber !). Des radiographies ont permis de trouver pourquoi Scary croule si souvent sous la pression : il a des papillons dans l'estomac et celui-ci est tout petit. De plus, sa concentration durant les parties est affectée par un déficit d'attention causé par sa relation privilégiée, pour ne pas dire intime, avec son grand copain Pédé Subban. "Lâchez-vous ou mariez-vous" leur auraient conseillé les médecins. C'est vrai que les deux tourtereaux se quittent rarement des yeux et qu'ils font tout ensemble. Il en résulte malheureusement parfois, des problèmes d'insalubrité dans les douches et le vestiaire des CHieux. Le personnel médical du Cacanadien a recommandé aux dirigents du club de procéder à des désinfections fréquentes de ces lieux avec du savon anti-microbes et anti-bactériens. Ils ne doivent pas forcer la note cependant, en ce qui a trait aux quantités et aux concentrations de désinfectants utilisés, de peur que les petits Desharnais et autres miniscules Cammalleri ne soient pas assez forts pour les supporter.

Autres faits accablants, les examens ont permis de détecter que Price avait un verre dans le nez, un mal de bloc, et des yeux doubles comme des armes à feu à doubles canons. C'est probablement pourquoi, durant les matchs, il s'en sert pour fusiller du regard ses défenseurs afin de leur mettre sur le dos les mauvais buts qu'il accorde sans cesse. On a ajouté à son dossier médical les problèmes de santé suivants : il souffre de vision double, il a la cuisse légère, il est faible entre les jambes, et il est aussi bipolaire. Un cas désespéré...mais, a-t-on souligné, il est O.K. pour le torCHon.

Après avoir ausculté Lars Eller, obtenu dans la transaction fatidique qui a expédié Jaroslav Halak à St-Louis, le doc des Caca a constaté qu'il avait les yeux un peu cernés, et qu'il semblait souffrir du BLUES du rêve américain. Rien de plus normal quand on atterrit du jour au lendemain dans un trou sordide comme Mourial, où le jour est pressé de céder sa place à la nuit, pour ne plus éclairer toute cette laideur et toute cette saleté de merde. Sur le bilan de santé de l'infortuné jeune homme, on a aussi inscrit qu'il n'a pas encore le nombril sec. Il est plutôt vert. Vert tendre... Et en scrutant ses veines au microscope, il est apparu que le pauvre malchanceux se fait du mauvais sang depuis le printemps dernier lorsqu'il s'est blessé gravement à une épaule en tentant vainement de porter l'épaule à la roue du CH en séries éliminatoires. Sans doute appréhende-t-il aussi de se retrouver encore devant des foules de fefans bipolaires qui exigeront de lui qu'il soit meilleur que Guy Lafleur, en son temps... C'est vrai, il ne faut pas trop en demander à Lars, il n'est pas du calibre de la NHL et il s'ennuie trop de sa maman qui, de son lointain Danemark, s'inquiète de voir jouer son petit gars avec des hommes . Dans le fond, la place la plus appropriée de Lars c'est avec l'Amarda de Machin Truc près de Mourial, la nouvelle équipe junior de la LJMQ...

D'autre part, les disciples d'Hippocrate n'ont rien relevé de bien grave chez Scott Gomez, sauf que son crâne en peau de fesse et ses ongles abîmés les ont intrigués. En grattant un peu, ils ont découvert que ses ongles en dents de scie et sa patinoire à poux résultaient d'un excès de nervosité. Ne pouvant jamais acheter le moindre petit but pour justifier son salaire de près de 8 millions de $ par saison, le joueur de centre de la CHarogne en est venu à se ronger les ongles et à s'arracher les cheveux... Mais c'est tout de même symbolique et très révélateur qu'un gros zéro comme Gomez ait justement la "boule à zéro"... Très bon choix de style de coiffure, d'autant plus que, avec le peu de cheveux qu'il a, le 11 du torCHon a encore moins chaud pour le peu d'effort qu'il fait sur la glace...


À la vue des malformations et de la petite taille de Jaroslav Spacek, le membres du corps médical du CH ont tout de suite compris qu'il avait été victime de rachitisme dans son jeune âge. Pour vérifier si leur client était un déséquilibré, les spécialistes lui ont demandé de pivoter sur lui-même. Spacek n'a réussi à tourner que du côté gauche. C'est à ce moment-là que l'on s'est rendu compte qu'il avait deux pieds gauches. Détail non négligeable, le scan du milieu du corps du vieillissant défenseur de la Sainte Guenille, a mis en lumière une vérité choquante : il n'a plus rien dans le ventre. Autrement dit : il est fini ! Mais on l'a rassuré immédiatement : il est O.K. pour les Canailliens...

vendredi 2 septembre 2011

TOUT PETIT, TOUT PETIT LE CACANADIEN...



À force de se considérer comme le Centre d'attraction de l'Univers tout entier; à force de se prendre pour le Nombril du Monde et d'avoir un ego collectif de la grosseur d'une galaxie, les Moronréalaids de la Métropauvre du Québec ont fini par voir leur territoire se faire affubler du surnom de PLANÈTE MOURIAL. Et au Centre de cette planète de BS, le Cacanadien de Morial occupe une place démesurée. Comme l'empire romain dans le monde antique. Un empire comme celui que le CanaCHien représentait dans le hockey des années 1950. Aujourd'hui, comme l'empire romain, l'ancienne dynastie des CHieux n'est plus qu'un vague souvenir et un tas de ruines. De l'état du torCHon morialaid (ou de sa planète en pleine décrépitude) et de l'Italie d'aujourd'hui (ce qui reste de l'empire romain), on peut conclure, comme l'a fait récemment le président italien Silvio Berlusconi, que c'est un "pays de merde". La déchéance de la métropauvre va de pair avec celle de son petit club de hockey. Avec ses infrastructures en ruines, Morial fait dure. Avec ses petits joueurs de ballon-balai, le CH n'a pas non plus de quoi inspirer des idées de grandeur. Petite équipe = petits résultats. Ce qui n'empêche pas les fefans moronréalaids bipolaires de faire des émeutes, à la moindre série éliminatoire gagnée, ou des dépressions, quand les défaites s'accumulent. Chaque fois que ça arrive, il n'y a pourtant pas de quoi fouetter un chat ou...battre sa femme, comme ils le font avec tant d'intensité.




Oui, pourquoi autant s'exciter et se déshonorer pour un club qui n'est pas de taille, dont la majorité des joueurs sont hauts comme trois pommes. Les Gionta, Desharnais, Plekanec, Gomez, Weber, Spacek, Cammalleri et compagnie ressemblent à des nains. Pourquoi espérer de ces grenouilles qu'elles se fassent plus grosses que le boeuf ? Dans les matchs le moindrement rudes, les Lilliputiens du Cacad'CHien se font brasser comme des fétus de paille au grand vent. Ça revole partout, au grand plaisir des Anti-Habs ! Il est fascinant de noter la multitude de similitudes entre, la planète Morial et ses Canailliens, et la planète Mars et ses martiens. Tels que les ont imaginé les écrivains et les cinéastes de science-fiction, les martiens sont de petits bonhommes verts à l'aspect assez repoussant et à la tête enflée. Les moronréalaids et leur idole Pété Subban ont également la grosse tête mais ils sont plutôt des avortons bleu, blanc, rouge, comme la plupart des petits joueurs des CHaudrons. Sur Mars il y a des cratères et c'est difficile d'y circuler. Même chose sur la planète Mourial qui est parsemée de trous et de nids de poule. Dans le même ordre d'idée, on peut dire que le CH a des trous dans son alignement ou que plusieurs de ses membres boivent comme des trous (Allo Scary Price et ses chums). Mais à la différence de la métropauvre, Mars n'est pas un trou de BS. Avant le début d'une autre saison de merde du Cacanadien, rappelons-nous de bons souvenirs de la dernière campagne, au cours de laquelle les petits CHieux se sont fait planter en de nombreuses occasions... Voici le diaporama TOUT PETIT, TOUT PETIT LE CH avec comme chanson d'accompagnement le fameux tube de Plastic Bertrand, TOUT PETIT TOUT PETIT LA PLANÈTE...





lundi 22 août 2011

CE QUE RÉVÈLE LE LANGAGE CORPOREL DE SCARY PRICE...


Nos gestes ont une signification profonde. Ils nous révèlent. Ils disent qui nous sommes. Ils traduisent nos émotions. L'hiver dernier quand Scary Price a croisé les bras comme il l'a fait (partie gauche de l'illustration ci-dessus) après un arrêt qui donnait une victoire aux CHieux contre les Pingouins de Pittsburgh au Centre PouBell, il exprimait sa stupidité et sa vanité... ou serait-ce autre chose de plus maladif ? D'abord, un tel comportement de défiance et de déficience ne se fait pas au niveau professionnel. Ce n'est tout simplement PAS professionnel. C'est enfantin et immature. Au début de la saison les dirigeants des CHaudrons et les joueurnaliCHe-culs vantaient la nouvelle belle maturité du 31. Encore une preuve qu'ils disent vraiment n'importe quoi. Complètement farfelu. Si Price avait joué un rôle important dans le gain de siens contre les Pingouins, il a été commettre cette erreur bête de les provoquer par son geste "cocky". En les piquant au vif en mettant trop de moutarde sur son "hot dog", il stimulait ses adversaires pour la prochaine rencontre avec eux. Comme de fait, à l'affrontement suivant, les Pens l'emportèrent et leur cerbère, Marc-André Fleury remettait la monnaie de sa pièce à Scary en reprenant sa pose afin de le ridiculiser après la fin du match. Donc, Price avait été l'artisan de la défaite de son club de merde en fêtant un peu trop une victoire qui, dans le fond aurait très bien pu être un revers puisqu'en fusillade, la balance peut pencher d'un bord comme de l'autre... La fameuse pose de Price, qui a bien excité les petits fefans bipolaires, a été analysée et interprétée de diverses manières. Certains observateurs se sont prononcés en affirmant qu'elle leur rappelait celle de gangsters américains qui jouent les durs, les matamores ou les braves, en se montrant arrogants, confiants et défiants. Moi je constate simplement que, faute de hockey intéressant et de spectacle digne de ce nom au Centre BéBell, les clowns de service que sont Price et Subban, s'inspirent du Cirque du Soleil, et essaient de sauver le show en faisant les cons ou en exécutant des bouffonneries pour amuser la galerie... C'est d'ailleurs leur photo que l'on retrouve sur la couverture des nouvelles revues de hockey publiées récemment pour préparer les amateurs à leurs "pools" de hockey annuels. Faute de pain, faut croire qu'on doit contenter les fefans avec de la galette immangeable. Faute de vraies vedettes, on leur donne de fausses starlettes. Sur mon site CH comme dans CHaudrons (http://chcommedanschaudrons.blogspot.com), j'ai déjà émis l'hypothèse de la maladie mentale pour expliquer le comportement bizarre et singulier de Price. Le titre de l'article est : "Carey «Hannibal» Price" et vous trouverez le lien ici. Et de fait, oui, les bras repliés de Scary rappellent ceux d'un fou pris dans une camisole de force (partie droite du collage ci-dessus). Peut-être que Price est né comme ça, dans cet état mental correspondant à celui d'un crack-pot. Ou bien il est devenu comme ça à force d'abuser de l'alcool et de se faire sauter la boîte à poux en faisant du rodéo...



Pour les psychologues, lorsqu'un individu se croise les bras, ça dénote simplement une attitude de refus, de fermeture envers autrui. Dans le cas de Scary, on pourrait conclure que son geste signifiait : "Ahhh yes ! J'ai fait l'arrêt-clé. J'ai fermé la porte. J'ai refusé de céder devant les attaques des joueurs du club ennemi". Mais il existe d'autres explications possibles. À sa façon de jouer parfois les jolis coeurs pour son tata Pédé Subban, le gardien de la CHiasse a aussi un côté féminin en lui. Dans le couple qu'il forme avec Piquette Subanane, ce serait lui la femme. Or, pour une femme, se croiser les bras sur la poitrine a une signification différente du même geste chez les hommes. Toujours selon les analyses psychologiques, pour une femme, (comme Jayde Nicole, qui en 2008 est devenue seulement la 3e canadienne dans l'histoire à être nommée playmate de l'année de la revue PLAYBOY -partie droite du montage ci-dessus-), se couvrir les seins avec les bras a pour but d'attirer l'attention sur sa poitrine. Ça semble paradoxal, mais selon les experts en comportement, un tel agissement est une sorte d'anticipation reliée à la sexualité. Ça correspondrait à la petite comédie de Price anticipant le moment tant attendu où son pote Subban va venir le féliciter en entrant en contact physique avec lui, comme ils adorent toujours le faire à la fin des matchs, lorsqu'ils sont impliqués dans une victoire de leur équipe de broCHes à foin. Ces "low five", "chest bumps" et autres formes d'atouchements sont peut-être un prélude à ce qui se passe plus tard dans la douche...



On se triture peut-être les méninges pour rien afin de trouver une signification compliquée aux niaiseries de Scary. Il suffit de savoir que les gorilles, ces êtres primitifs, font des gestes qui s'apparentent énormément à ceux de Price (photo ci-dessus). Les primates descendent de l'arbre pendant que Scary descend de son pilier de taverne. Ça se ressemble. Bref, pourquoi ne pas conclure que Carey Price est tout simplement BÊTE...

lundi 8 août 2011

PITIÉ POUR LES FEFANS DU CH : DONNEZ-LEUR DES ICE GIRLS !


Les cheerleaders ont-elles leur place au hockey ? Sujet très controversé. Les fans des Kings de Los Angeles affirment que c'est le meilleur "move" que la direction de l'équipe a fait dans toute l'histoire de la franchise. Au Canada, beaucoup d'amateurs de notre sport national sont totalement contre, et voient même ça comme un sacrilège qui ruinerait la tradition de notre hockey "classique".

Et bien évidemment, beaucoup de femmes, surtout les féministes, s'opposent à ce rôle de poupoune-objet, dégradant pour leur condition et leur image. D'autres membres de la gent féminine, plus déniaisés, exigent que les "squads" de cheerleaders soient mixtes (autant d'hommes que de femmes, et habillés aussi "sexy").

Il existe bien des genres de "Ice Girls". À l'Université du Minnesota, l'équipe de hockey (les Gophers) a de vrais cheerleaders qui présentent des chorégraphies de patinage artistique. En Caroline, les Hurricanes ont été les premiers dans la NHL à faire appel à des meneuses de claques en 1999. Elles animent la foule en se tenant dans les estrades. Mais dans la plupart des autres villes du circuit Bettman, les Ices Girls nettoient la glace durant les pauses commerciales des matchs.



Sur la majorité des photographies montrant des Ice Girls, les joueurs s'efforcent de ne pas les regarder, histoire de garder leur concentration (et voulant éviter les crises de jalousie de leur blonde), surtout les gardiens de buts ! Moi je dis que ces belles jeunes femmes sont une nécessité au Centre Bell, étant donné que les CHieux sont poCHes au max et ne donnent aucun spectacle digne de ce nom aux fefans. Au moins, durant les pauses ces pauvres bipolaires auraient de quoi se mettre sous...les yeux et ils auraient moins l'impression de se faire voler par la famille Molson.

Ces filles sont vraiment "sensas". Contrairement aux défenseurs du torCHon, elles nettoient bien le devant du filet et dégagent bien leur territoire. Elles travaillent fort dans les coins et patinent beaucoup mieux que les Gill, Moen et autres tortues Ninja du même genre. Certaines d'entre elles sont aussi gonflées que P.K. Subban, mais en bien plus beau !

Pour habiller (musicalement) le montage photographique ci-dessous, j'ai appelé le ministre du son (Ministry of Sound) pour qu'il me fournisse une bombe, un hit qui décape, et rend les images encore plus hot. Sur I SEE GIRLS, attachez vos tuques, ça va faire des bourrasques !

Ceux qui comme moi aiment les cheerleaders seront contents d'apprendre que j'ai lancé un blogue qui parle d'anciennes meneuses de claque devenues des super stars (Madonna, Paula Abdul, Jessica Simpson, Britney Spears, Halle Berry, Fergie, etc). C'est un rendez-vous sur CHEERLEADERS ET STARS. Vous découvrirez comment le cheerleading a pu les aider dans leur carrière.

jeudi 2 juin 2011

UNE PARTISANE DES CANUCKS MONTRE SES BOULES À BEN EAGER : QU'EST-CE QUE SUBBAN AURAIT FAIT EN PAREILLE SITUATION ?


Le 18 mai dernier, au Rogers Arena de Vancouver, pendant un match de la finale de l'Ouest des éliminatoires de la Coupe Stanley, une chaude partisane (c'est le cas de le dire) des Canucks a montré ses boules à Ben Eager, un joueur des Sharks de San Jose. Celui-ci venait à peine de s'asseoir au banc des pénalités quand cette spectatrice (à droite sur la photo ci-dessus) a retroussé son chandail pour lui présenter ses "jumeaux". Elle portait un gilet identifié au nom et au numéro 33 de Henrik Sedin, un des deux jumeaux Sedin qui s'alignent avec les Canucks de Vancouver. Ce soir-là, Eager s'attendait bien à affronter les frères Sedin mais pas ces jumeaux-là ! Sur la photographie, à voir le regard intéressé et insistant du numéro 55 du porte-couleurs de l'équipe californienne, on devine qu'il n'est pas resté insensible au spectacle osé auquel il a eu droit, à quelques pieds à peine de son visage ! Ce début de strip-tease n'a duré que six ou huit secondes, mais Eager n'a rien raté de la démonstration. Malgré la surprise de "taille" que lui a réservé cette jolie blonde, Eager est resté "cool" bien que, par la suite, il a semblé un peu déconcerté. Après la partie, certains joueurs faisaient des blagues à propos de l'incident, qui a été vu par des centaines de milliers de téléspectateurs à travers l'Amérique. Le gardien de but des Canucks, Roberto Luongo, a fait remarquer que cette "audacieuse effeuilleuse" avait avantageusement remplacé les "green men", ces hommes recouverts de la tête aux pieds d'une combinaison moulante de couleur vert fluo, qui "harcèlent" habituellement les adversaires du club local, mais qui étaient absents ce soir-là.





Si les hockeyeurs présents, la foule du Rogers Arena et les téléspectateurs ont pu rire de ce spectacle impromptu, la principale intéressée a vu son plaisir être gâché rapidement après son coup d'éclat. Expulsée subito presto de l'aréna, la scandaleuse "flasheuse" a été cueillie prestement par la police et elle a passé la nuit derrière les barreaux, dans une cellule de prison. Selon certaines sources d'information, la belle aux seins ornés de piercings ferait face sous peu à la justice, afin de répondre aux accusations suivantes : avoir troubler l'ordre public, grossière indécence et avoir été ivre dans un lieu public. Si elle est reconnue coupable, la peu scrupuleuse dame risque de devoir débourser $ 15 000 pour ses frasques. Hockey Night in Canada (CBC) pourrait également intenter des poursuites contre elle, et l'organisation des Canucks va probablement la bannir à vie en lui interdisant dorénavant d'assister aux rencontres du club de hockey de Vancouver. Pour couronner cette expérience très spéciale, notre star d'un soir a perdu son emploi d'agente d'assurances chez Allwest. Son employeur n'a pas apprécié l'usage qu'elle a fait du siège qu'elle occupait et qui était payé par la compagnie (siège corporatif).





Ben Eager a su garder son sang-froid et son sérieux au cours de cet évènement inattendu, mais comment aurait réagi P.K. Subban s'il avait été à la place du hockeyeur des Sharks ? On sait que le défenseur noir, des totons de Mourial, est excessivement expressif sur la patinoire ou en public, et qu'il en donne toujours plus que le client en demande... Alors au vu des nichons de la femme de Vancouver, Picouille Subanane aurait :


A) avalé son protecteur buccal ?


B) plongé sous le banc des punitions (on sait qu'il aime beaucoup plonger -diving- ou faire semblant de tomber afin de leurrer les arbitres et les inciter à signaler des infractions non méritées à des adversaires qui lui touchent à peine) ?


C) mordu ses grosses babines jusqu'au sang, comme lorsqu'il est effleuré par le hockey d'un opposant et qu'il désire que l'arbitre colle un quatre minutes de punition à son "agresseur" au lieu d'un p'tit deux minutes (le règlement prévoit un quatre minutes au lieu de deux lorsqu'il y a du sang après un accrochage) ?


D) eu les yeux gros comme des oeufs d'autruche, comme lorsqu'il plaide parfois son innocence auprès des officiels qui viennent de le punir pour une infraction bien méritée ?


E) rougi, crampé en masse, et vu son jack-strap ne pas tenir le coup puisqu'il aurait bandé comme un cheval ?




F) envoyé un baiser avec la main à la femme à la poitrine dénudée, ce qui aurait soulevé l'ire de son amie de coeur (Adora, photo ci-dessus) qui aurait ensuite rompu avec lui, en faveur de son adorable petit chien ?


G) aurait senti sa mâchoire inférieure se décrocher, comme lorsqu'il voit son pote Scary Price sortir de la douche ?


H) eu un coup de chaleur qui aurait fait fondre son casque, comme lorsqu'il a peur devant des joueurs adverses qui veulent se battre contre lui ?


I) eu envie de lui faire de l'échec-avant, de lui donner de la bande, et d'écoper d'une inconduite de partie ?


J) ri avant de prendre la fuite, comme lorsqu'il vient de frapper un joueur ennemi par derrière ?



K) demandé où elle a pris ses piercings ?


L) relevé son chandail pour lui montrer ses propres gros nichons noirs ?


M) crié "moman !" en se sauvant, comme lorsque les "goons" de la LNH lui demandent de rendre des comptes pour ses paroles ou ses gestes de provocation ?


N) sorti et balancé la langue en bavant, comme lorsqu'il le fait pour célébrer un bon coup, narguer ses opposants ou jouir pendant ses attouchements avec Scary ?


O) demandé son numéro de téléphone dans le but d'avoir un rendez-vous intime avec ses "jumeaux" et de faire sur elle une de ses "montées" caractéristiques d'un bord à l'autre de sa surface de jeu ?


P) eu d'enflée, autre chose que la tête ?


Q) été à court de mots, pour une fois ?!


R) sauté par-dessus la baie vitrée pour lui donner un "low five" ou lui faire un gros câlin ?


lundi 2 mai 2011

COMPLAINTE DE JAUNE LATOU À SON CH ÉLIMINÉ...



Les cimetières, dit-on, sont remplis de gens qui se croyaient indispensables et irremplaçables. Mais que faire quand ces vaniteux et vains personnages sont encore vivants, nous tombent sur les nerfs, et nous écoeurent ? Essayez de les remettre à leur place en nous moquant d'eux ? Bonne idée ! C'est ce que je fais ici en ridiculisant Jaune Latou, un fefan du CH qui se prend pour un génie sur une quantité impressionnante de blogues en cherchant à imposer ses opinions oiseuses pour faire l'important. Un de mes lecteurs le connaît mieux que moi. Voici ce qu'il a écrit au sujet de ce crétin :


«Jaunelatou Latulippe passe énormément de temps sur des blogues de sports et de politique, où il exprime des opinions simplistes qui se font démolir et ridiculiser. C’est un fefan de la pire espèce qui n’accepte aucune critique envers le CHicolore. Il joue à l’arrogant et au baveux, mais il se fait toujours ramasser, corriger et remettre à sa place parce que ses faibles arguments ne tiennent jamais la route. Latulippe s’est d’ailleurs fait massacrer par François Gagnon et Mathias Brunet, qui ont exposé publiquement la grossièreté et la vulgarité de ses opinions. Par exemple, il a longtemps été condamné sur certains blogues parce qu’il s’était moqué d’un participant qui souffrait d’un cancer et qui avait besoin de réconfort. Jaunelatou avait alors été dénoncé par des dizaines d’intervenants, tous dégoûtés par son attitude pathétique.


Jaulenatou Latulippe livre aussi de multiples prédictions (en pensant que ça intéresse quelqu’un). Ici, il se plante plus souvent qu’autrement. Parce qu’il rêve de devenir journaliste sportif, il tente parfois de dévoiler des scoops, mais ceux-ci ne se réalisent jamais. Par exemple, récemment, il a annoncé la mort de Max Pacioretty quelques minutes après la mise en échec légale de Chara. Pourtant, deux jours après, Pacioretty allait au cinéma et niaisait sur Twitter!


Pathétiquement, il tente de devenir une célébrité. Par exemple, il invite les gens sur les blogues à aller voir sa page Facebook (comme si ça nous intéressait). Un jour, il a invité les participants à un blogue à regarder les nouvelles à la télé, car il avait participé à un vox pop et il voulait que tout le monde sache qui il était. Il raconte aussi souvent les parties de hockey de ses enfants sur la Rive-Sud de Montréal. Il annonce également ses prétendues fréquentes visites au gym ou encore à La Cage aux Sports de Brossard pour y regarder ses Canadiens se faire planter. Il a souvent lancé des invitations pour assister en groupe à des matchs de hockey, mais personne, même parmi les pires fefans, n’a donné suite à ses invitations.


Jaunelatou Latulippe est aussi très jaloux d’un type nommé Simon Boisvert, qui est devenu dépisteur d’une équipe junior après être souvent intervenu sur des blogues de hockey. Latulippe est en beau maudit, car il tente désespérément d’être reconnu pour un expert en hockey, mais son expertise ne dépasse pas les limites du vieil aréna Olympia, à La Prairie. Bref, Stéphane Jaunelatou Latulippe attire davantage la pitié que la haine. On ne peut pas détester quelqu’un qui accumule les échecs et les revers comme il le fait. Ce pauvre cabochon glisse constamment sur la même pelure de banane, il se relève et retombe sans cesse face première. Pour le bonheur et l’amusement de milliers de personnes, longue vie à Stéphane Jaunelatou Latulippe


Le gros fefan du CH, Jaune Latou se lamente sur l'élimination de son club de poires, sur l'air de la chanson "Je suis malade" de Serge Lama...


Je n'me lave plus, j'ai le "bat" qui pue


Je me roule en boule, dans l'noir


Je suis sale sans toi, je me crosse sans toi


Pourquoi m'as-tu laissé dans l'désespoir


J'en ai plus qu'assez de ma petite vie


Putain j'en ai plus que marre


Je n'ai plus de vie, je n'ai plus d'envies


Je suis un porc dans la mare


Quand tu t'en vas






Je suis malade, complètement malade


Mon CH est un club de poires


Battu en première ronde éliminatoire


Je suis malade, parfaitement malade


Ta dynastie a foutu l'camp


Tu t'en vas on ne sait pas où


Et ça va faire bientôt vingt ans


Qu'on est dans l'trou






Comme Pierre Gauthier, comme Bob Gainey


Je suis accroché à toi


Je suis fatigué, je suis épuisé


De faire croire aux gens qu'un beau jour on gagnera


Je bois toutes les nuits, je suis un pourri


Moi le pauvre Jaune Latou


Tous les anti-habs me traitent d'idiot


Je ne sais plus où aller ils sont partout






Je suis malade, complètement malade


Mon sang est rendu CHicolore


Mais il s'est glacé, quand les Bruins t'ont mis dehors


Je suis malade, parfaitement malade


Les Bruins ont gagné en sur-temps


Mon CH est tombé à l'eau


Me voilà fait à l'os, en peine de ma peau






Cet échec me tue et si ça continue


Je vais faire un fou de moi


Dans tous les forums, dans tous les journaux


En pondant mes commentaires de gros tarla






Je suis malade, complètement malade


Mon CH est un club de poires


Battu en première ronde éliminatoire


Je suis malade c'est ça je suis malade


Les Bruins ont gagné en sur-temps


Mon CH est tombé à l'eau


Et j'ai le coeur complètement malade


Le CH est en rade, t'entends je suis malaaaaade.