vendredi 30 décembre 2022



LES DEUX DE PIQUE DU CH : JONATHAN DROUIN.


Le 15 juin 2017, lorsque le Canadien de Montréal échange le jeune défenseur Mikhail Sergachev au Lightning de Tampa Bay en retour de l'attaquant Québécois Jonathan Drouin, cette transaction sème la joie et l'enthousiasme chez les partisans du CH, et dans toute l'organisation tricolore.

Les journalistes de la métropole, et autres pseudo-experts des médias québécois, n'ont de cesse de vanter l'acquisition extraordinaire de la nouvelle super vedette des Glorieux.  On le voit en sauveur et on compare même le talent de Drouin à celui de...Guy Lafleur !  Rien de moins !

Après deux saisons plutôt moyennes, mais bien en-dessous des attentes, la production offensive de Drouin s'effondre à partir de 2019-20.  En outre, dès ses débuts avec le torCHon, on se rend vite compte qu'on a pas obtenu ses services pour ses qualités en défensive (-28 à sa première campagne à Mourial).



Cette année c'est catastrophique : zéro but en vingt matchs (0-6-6 et moins 9).  Sa disette sans filet est maintenant rendue à 27 parties consécutives.  Son dernier but remonte à un an, le 1er janvier 2022, contre les Panthers de la Floride.

Au total depuis 2017, en 283 matchs avec les CHieux il montre un bilan de : 46 buts, 117 aides, pour 163 points (moyenne de 0,57 points par partie).  Depuis 2019-20, c'est 15 buts, 49 aides, pour 64 points (0,51 point par match).  On est loin de Guy Lafleur.  Il faut préciser que Drouin, 27 ans, a dû composer avec plusieurs blessures, et des problèmes psychologiques.

Connaissant la pression que doivent subir les Québécois francophones qui jouent pour la Sainte Flanelle, j'avais prédit les futurs déboires de Drouin, dès son arrivée avec les Canailliens.  Le 26 juin 2017, dans mon "Journal Intime d'un Anti-Habs en Feu !", j'ai publié un article intitulé : «Jonathan Drouin dans l'éteignoir montréalais.» https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2017/06/jonathan-drouin-dans-leteignoir.html

Pendant ce temps, à Tampa Bay, Mikhail Sergachev est devenu un solide défenseur pour le Lightning.  À 24 ans, il n'a même pas atteint sa pleine maturité.  Considéré à Montréal, comme un arrière à caractère strictement défensif, il avait été repêché par le CH au 9e rang de la première ronde, en 2016.


Il s'avère bien plus qu'un robuste arrière défensif.  À TB, il contribue sur les deux unités spéciales, en avantage et en désavantage numérique, en plus de son travail irréprochable à égalité numérique.  Son bilan +/- le prouve (+ 49).  Il a aidé son équipe à gagner deux Coupes Stanley.

Point de vue statistiques, lui l'arrière sensé être uni-dimensionnel, sans talent offensif, revendique des chiffres presque meilleurs que ceux de Jonathan (Lafleur) Drouin.  En 394 parties jouées en saisons régulières, il a marqué 41 buts, obtenu 161 aides, pour 202 points (moyenne de 0,51 point par match).

Il a onze buts sur le jeu de puissance, contre huit pour Drouin.  Les deux hockeyeurs ont chacun huit buts gagnants pour leur club.  Sergachev a accumulé 241 minutes de punition et ses rudes mises en échec sont redoutées par les joueurs adverses.  Drouin est reconnu comme un joueur «soft».



Évidemment, les statistiques des deux athlètes ne peuvent être comparées en séries éliminatoires.  Drouin ne les a connues qu'une seule fois, en 2019-20, en compilant un dossier d'un but et six passes en dix parties.

Durant la même période, avec le Lightning, Sergachev a joué l'impressionnant total de 92 matchs éliminatoires.  Il s'est davantage concentré sur sa défensive dans ces rencontres exigeant d'ailleurs qu'on privilégie ce style de jeu serré.  Il affiche un bilan +/- de plus 8 dans ces circonstances.

Ses huit buts (dont 2 en supériorité numérique) et 22 assistances (30 points) sont des bonus en plus de sa moyenne de 20:16 minutes de jeu par match éliminatoire.

Et rappelons qu'il a fait ses débuts avec Tampa Bay à l'âge de 19 ans seulement !



En jetant Drouin dans la fosse aux lions après l'avoir acquis en juin 2017, les Canailliens et leurs fefans étaient loin de se douter que cet as marqueur se transformerait en...deux de pique !  Le dictionnaire québécois définit «deux de pique» par des synonymes comme : poche, poire, de mauvaise qualité, médiocre, nul, malhabile, incompétent, peu intelligent.  

L'expression tire son origine du jeu de carte où le 2 de pique est la carte la plus faible...  Poche, médiocre, faible, deux de pique, ça s'applique parfaitement à l'ensemble du club de hockey du torCHon de MortYial depuis près de 30 ans !  

mercredi 9 novembre 2022

CAREY PRICE : LE MIRAGE EN ATTENDANT LE MIRACLE...



«Faites bien attention, car généralement le début n'est qu'un mirage et la réalité vient toujours juste après.»
Weetchy Alfredo Pierre, Cap-Haïtien Nord, 1996.

Comme c'est comique !  Dans son point de presse annonçant son absence prolongée en raison de sa, ou de ses blessures, le gardien de buts du CH, Carey Price, a refusé de dire qu'il prenait sa retraite.

Évidemment, c'est une question d'argent (encore quatre ans de contrat à 10½ millions de $$$ par saison), ou d'assurance, prenez-le comme vous voulez.  Mais dans ses dernières déclarations publiques, avant qu'on lui fiche enfin la paix, Scarey a dit que ça prendrait un peu de chance, un genre de miracle, pour qu'il revienne au jeu.  Et il a ajouté qu'il n'avait aucun plan de retraite.

Puis vint ce mirage que lui, et la propagande du Cacanadien ont toujours fait miroiter à leurs fefans crédules : «J'ai toujours été un optimiste de nature», a-t-il affirmé dans sa dernière rencontre avec les journalistes, le 24 octobre dernier.  «Je n'ai jamais abandonné.  Et je n'abandonnerai pas la possibilité de gagner la Coupe Stanley».

Ha !  Ha !  Ha ! Ha ! Ha !  Un pro ce Scary, dans l'art de prendre des vessies pour des lanternes ! 



Pour que celui que les fefans ont surnommé Jesus Price, le sauveur (en anglais, on traduit les arrêts effectués par un gardien de buts par le mot «saves»), ça demeure possible qu'il fasse encore des miracles.  Mais à 35 ans, les blessures accumulées à cause de son exagéré style papillon, ruineux pour les genoux et les hanches, ont fait des dommages qui sont irréversibles ou inguérissables.

Reste toujours la possibilité d'une autre opération au genou le plus amoché, mais à 50% de chances de réussite, on peut éliminer cette option.  D'autant plus que la dernière intervention chirurgicale à ce même genou, l'an passé, a été un échec.

La priorité de Price est plutôt de ménager sa santé, de se libérer de ses douleurs physiques et mentales, de régler ses problèmes d'alcoolisme, afin d'être en mesure de remplir adéquatement ses devoirs de père et d'époux pour sa famille.



L'organisation du torCHon accepte le sort de Price, autour duquel elle a bâti son club de hockey.  Ses propagandistes lui ont fait une auréole de saint, de héros «portant le flambeau avec son bras meurtri».  C'est vrai que Scarey a longtemps porté l'équipe sur son dos.  Mais de là à en faire une légende, on pousse le bouchon un peu trop loin.

Oh... quand il annoncera officiellement sa retraite, on lui fera une belle cérémonie pour retirer son chandail no 31, et les fefans vont encore lui réserver une longue ovation.  Mais en y regardant de plus près, Price n'a pas été si fantastique que la direction du CH et leurs partisans bipolaires veulent bien le faire croire (comme on croit en Jésus Christ).

Le dictionnaire Larousse définit le mot «mirage», au sens figuré, comme étant une «illusion, (une) apparence séduisante et trompeuse».  Pour un 5e choix total au repêchage de 2005, Price a-t-il été un joueur si exceptionnel ?  Il n'a pas livré la Coupe Stanley dont on s'attendait de lui.  Sa fiche de 361-261-79 en saison régulière; et de 43-45 en séries éliminatoires, n'a rien pour le monter aux cieux.  Ni sa moyenne de 2,51 buts alloués par match ou son pourcentage d'arrêt de .917.

En quinze ans de carrière il n'a connu que trois ou quatre excellentes saisons.  Suffisantes, cependant, pour que la direction des CHaudrons, et ses fefans excités, lui fassent une réputation largement surestimée, et trompeuse, comme...un mirage.

Non, Jesus Price ne fera plus de miracles.  Il ne ressuscitera pas.  Il est fini.  Mais Scarey et le CHicolore continueront leur hypocrite manie de jeter de la poudre aux yeux des fefans, pour leur faire encore gober des couleuvres grosses comme le bras meurtri de Price, portant un flambeau éteint depuis trente ans.

Aveuglés par la lumière éblouissante de la transfiguration de leur héros, les fefans s'apitoieront sur le sort cruel d'un Price blessé, souffrant le martyr après avoir donné sa vie pour eux...comme Jésus Christ, mort sur la croix, pour sauver les pécheurs.



Comme son club de broches à foin, Price aura eu l'habitude des fausses représentations et des faux-semblants.  Comme quand il mettait de la moutarde, en jouant les hot dogs, après un arrêt de routine avec le gant.  

Lors de la présentation des joueurs, au Centre PouBell, avant le match inaugural, on a encore vu cet amérindien du nord de la Colombie-Britannique déguisé en cowboy (voir photos).  Quelle mascarade !  Halloween avant le temps !  «Affreuses illusions des choses humaines», comme l'écrivait le philosophe Jean-Jacques Rousseau (1712-1778), à la fin de sa vie...   

dimanche 31 juillet 2022

BRENDAN GALLAGHER EN LICE POUR LE TROPHÉE "PLEURNICHARD".

C'est typique des idiots de fefans du CH, de certains des membres frustrés de l'équipe, et des journaliCHeux CHeerleaders de la presse moronréalaide, de CHiâler quand ça va mal, et de rejeter le blâme sur les arbitres, sur n'importe quelle fatalité, ou bouc émissaire.

Ces «immunosupprimés» (ou «cerveausupprimés») crient à l'injustice et à l'incompétence - des autres - en déchirant leur chemise.  Ils se déchaînent dans les estrades, sur le banc des joueurs, dans les médias, ou sur les réseaux sociaux, en remuant ciel et terre, ou comme des Don QuiCHotte fonçant sur des moulins à vent imaginaires.  Alors qu'ils devraient plutôt se regarder dans un miroir pour trouver qui sont vraiment les imbéciles dans tout ce remue-ménage CHicolore.

Pour la présentation de ce dernier trophée Canadinde, je veux braquer les projecteurs sur le candidat digne d'être nommé le «PLEURNICHARD DE L'ANNÉE» chez le Cacanadien de Mourial.  «Pleurnichard» en opposition au trophée «Maurice Richard» remis au meilleur buteur de la saison dans la Ligue Nationale de Hockey (Auston Matthews, qui a marqué à lui seul l'équivalent de 28% du total des buts des Cacanadiens la saison passée).

Voici donc les candidats les plus «méritoires» pour le titre de «Pleurnichard» de l'année chez le Cacad'CHien :

1) Brendan Gallagher :  c'est l'éternel et parfait candidat à cet «illustre» trophée.  Sur la patinoire, face à ses adversaires, c'est un champion du langage ordurier («trash talk»).  Il cherche le trouble et il l'obtient quand ses opposants lui rendent la monnaie de sa sale pièce.  On lui rive son clou, on lui fend sa face à claques.  Et Gally se presse d'aller pleurer et se plaindre aux arbitres !

Même chose quand le numéro 11 des CHaudrons triche en faisant de l'obstruction sur le gardiens de buts adverse, qu'il marque un but avec sa main ou en poussant la rondelle avec son patin.  Il fait une danse du bacon, ou une crise de nerfs, quand les arbitres refusent le filet, ou le punissent.

Gallagher, la petite peste, en a ajouté une couche la saison dernière.  Même s'il était blessé (encore) et ne jouait pas, il a utilisé les réseaux sociaux, durant les matchs, pour condamner les décisions des arbitres après que ceux-ci aient refusé des buts à son club de merde.

2)  Dominique «Dumb» Ducharme : au lieu de prendre son trou, de s'assoir sur son steak (juteux contrat de trois ans), et de s'évanouir dans la nature, pour faire oublier son désastreux et court passage avec les CHaudrons, le coach déchu s'est acharné cette semaine à blâmer ses patrons et la Ligue Nationale pour sa déconfiture.

Il prétend que Gorton et Hughes ne l'ont pas informé des plans pour leur club en déroute.  Selon Dumb, s'il avait été au courant des projets de ses boss, il aurait pu coacher autrement.  Bof... ça n'aurait pas changé grand chose.  Avec des «si» on va à Paris, ou aux vidanges, comme Dumb le dompé.  Ses joueurs ne voulaient rien savoir de cet incompétent de dernière classe.  

Pauvre Ducharme, il devrait savoir que, dès le début du mandat des nouveaux dirigeants du Caca, il n'était pas «leur homme».  Qu'il avait déjà la corde au cou, et que Jeff Gorton le bulldog, et son porteur de valise Kent «boule à zéro» Hughes, attendaient juste qu'il se pende lui-même en perdant presque tout le temps ses matchs.

Ducharme s'est également trouvé une excuse (le prétexte commun des losers) en prétendant que la Ligue Nationale aurait dû remettre à plus tard des parties du torCHon quand les blessures et une épidémie de COVID-19 ont frappé durement sa formation.  Bof... même avec tous ses effectifs réguliers, son alignement était du calibre de la Ligue Américaine...

3)  Jeff Petry : un autre qui a rejeté ses responsabilités sur autrui, et le «manque de structure» du système de jeu des CHieux, pour justifier ses affreuses performances.

Pleurant dans les jupes de son épouse avant que celle-ci déserte Mourial avec ses enfants, Petry a demandé à être échangé pendant qu'il continuait à jouer comme un pied et à démontrer honteusement son manque de professionnalisme.  Pathétique...

4)  Renaud Lavoie  :  le commentateur insignifiant du réseau TVA-CHiard fait pitié, comme le fefan qu'il est, quand il voit ses p'tits gars adorés perdre match après match.  En ondes, il arbore une mine déconfite ou offusquée lorsqu'il se perd en conjectures farfelues pour défendre sa bande de lâches CHicolores.  Qu'il ne se trompe pas, en s'identifiant au CHieux, il est aussi pitoyable qu'eux. 

Ce membre du Temple de la Honte du CH (https://templedelahonteduch.blogspot.com/2012/10/mathias-brunet-et-renaud-lavoie.html) fait la baboune quand il se fait contredire par ses collègues moins niaiseux que lui.  Il s'est d'ailleurs fait ramasser solidement par le chroniqueur Patrick Lagacé qui lui a reproché d'usurper le titre de «journaliste» alors qu'il n'est qu'un prostitué colporteur du CH.  Un clown qui rit ou qui pleure, qui a des érections ou des pannes de libido, selon que ses Canailliens chéris gagnent ou perdent.

Voilà qui complète la présentation des rigolos trophées Canadindes.  Les lauréats seront connus prochainement sur «CH comme dans CHaudrons».  En attendant, pour vous distraire, vous pouvez consulter mes autres blogues (voir la barre latérale à droite).

Voici les liens pour tous les trophées «Canadindes» sur mes différents sites web :


LE  TROPHÉE  «TARTE»


LE  TROPHÉE  «NONO  NORRIS»


LE  TROPHÉE  DE  «MERDE»


LE  TROPHÉE  «VAGINA»


LE  TROPHÉE  «JACK  ASS»

mercredi 6 juillet 2022

CAREY PRICE ET SHEA WEBER EN LICE POUR LE TROPHÉE «TARTE»...

Comme je l'annonçais le 19 juin dernier, sur mon blogue CH comme dans CHaudrons (https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2022/06/de-nouveaux-trophees-pour-honorer-les.html), j'ai créé plusieurs trophées, les «Canadindes», pour mettre en lumière les pires membres des Canadiens de Montréal.  En tant qu'Anti-Habs c'est de bon ton.  D'autant plus que le torCHon vient de connaître la pire saison de ses 112 ans d'histoire.  Il fallait célébrer cet exploit de belle façon !

Déjà, la semaine dernière (30 juin), pour marquer dans l'Histoire cette «Annus Horribilis» des CHieux, j'ai introduit la totalité de l'équipe 2021-22 (y compris la direction du club) du CH dans mon Temple de la Honte du CH (Habs Hall of Shame) : https://templedelahonteduch.blogspot.com/2022/06/canadien-de-montreal-la-pire-formation.html).  Ce fut une cérémonie mémorable au cours de laquelle, malgré l'absence compréhensible des infortunés récipiendaires, le trophée de merde (ou merdique) leur a été attribués (photo ci-dessus).

Même si tous ces CHaudrons, et leurs stupides partisans, voudront oublier au plus vite cette campagne désastreuse et honteuse, je suis fier d'inscrire dans les livres d'Histoire cette saison de bonheur pour les Anti-Habs.






 Et je veux encore prolonger la fête pour les Anti-CHarognes avec la remise de ces trophées «Canadindes».  Aujourd'hui, je décerne le trophée «Tarte», qui est le pendant du trophée «Hart» remis au joueur le plus utile dans la Ligue Nationale de Hockey.  Cette année, c'est Auston Matthews (photo ci-dessus), des Maple Leafs de Toronto, qui a gagné cette prestigieuse récompense (en plus du trophée Ted Lindsey voté par l'association des Joueurs de la NHL).

Mais, contrairement au Hart de la NHL, le «Tarte» des Canadindes est remis au joueur, ou au membre de l'état-major, du torCHon jugé le plus inutile !

J'ai l'honneur (ou le déshonneur, c'est selon...) d'annoncer les nominations pour ce tout nouveau trophée «Tarte» :

1)  Shea Weber :  le Cacanadien a été représenté par quelques capitaines plus ou moins passables au cours de sa longue histoire.  Mais jamais par un capitaine fantôme comme Shea Weber (à gauche sur la photo ci-dessus).  On ne l'a pas vu de l'année à MortYial, sauf pour les funérailles de Guy Lafleur, le 3 mai.

Oh, pardonnez-moi, on l'a toutefois vu aux États-Unis, à certaines activités des Predators de Nashville, son ancienne équipe !  Officiellement, la saison passée, il aurait porté le «C» sur ce chandail CHicolore qu'il n'a plus jamais endossé.  

On a entendu dire qu'il est venu dans la métro-pauvre pour certaines visites médicales, mais il s'est caché des journalistes comme s'il avait eu la peste.  

Kent «Useless» Hughes, le paravent de DG du Caca, a expliqué, dans le post mortem du club, en fin de saison, que si «CHié» Weber fuyait la presse, c'était pour ne pas avoir à répondre à des questions sur sa santé ou sur sa retraite.  

Le plus drôle c'est que le « 2 watt» Jonathan Drouin avait découvert le pot aux roses, le 26 octobre, quand il avait maladroitement révélé que Weber ne jouerait plus jamais au hockey à cause de ses blessures.  Selon Zouin-Zouin, Shea avait pris sa retraite en quelque sorte, même si c'était défendu de le dire.

Sauf que «CHié» n'a signé aucun papier en ce sens, pour une question de contrat et de gros sous (voir article d'Alexandre Gascon) : https://ici.radio-canada.ca/sports/1834729/hockey-lnh-canadien-montreal-jonathan-drouin-retraite-shea-weber).  Pour accommoder à la fois le Cacanadien et les Predators, le nom de Weber a tout simplement été placé sur la liste des blessés à long terme.  Un cas semblable à l'ancien défenseur Chris Pronger...


2)  Carey Price :  saison honteuse pour le 31 des Habs.  Avouant sa dépendance à des «substances» illicites, Scarey s'est caché dans le programme d'aide de la LNH/AJLNH aux joueurs aux prises avec le même genre de problèmes.  On a enfin découvert le mystère de tant d'absences camouflées derrière de supposées blessures qui lui faisait rater tant de matchs à tout bout de champ, depuis des années.

Over-Priced est revenu au jeu en fin de saison, dans les meilleures conditions possibles, quand le club adverse disputait une deuxième partie en autant de soir sur la route, ou quand il reposait ses meilleurs joueurs à la veille des séries éliminatoires.  Dans les cinq rencontres qu'il a disputées, sans aucune pression puisque le CH était éliminé depuis plusieurs mois, Scarey n'a gagné que le dernier match de la saison, contre des Panthers de la Floride qui n'alignaient aucun de leurs meilleurs joueurs, afin de les reposer pour les séries de la Coupe Stanley.

Auparavant, Price avait gonflé à 340 (+ 45 en séries éliminatoires) son nombre record de défaites en carrière avec le torCHon.  Pour un nombre semblable de parties jouées dans la grande ligue, seul Jonathan Quick, des Kings de Los Angeles, a fait aussi pire dans toute l'histoire de la NHL.



3 )  Joel Armia
: disparu curieusement en Finlande, pour de supposées raisons familiales, avec six matchs à jouer au calendrier 2021-22, ce porte-couleurs CHicolore a connu une saison atroce.  

Avec une misérable fiche de six buts et huit aides en 60 parties jouées (avec un différentiel de - 15 dans les plus/moins), le numéro 40 mérite cette nomination au Trophée Tarte.

Renommé pour être un traîne-savates et un paresseux, Joel s'est éteint à ses deux dernières campagnes avec les CHaudrons, comme tant d'autres joueurs qui arrivent dans le bidonville mourialaid (Allo Jo Drouin), après avoir connu de bonnes périodes avec d'autres équipes de la NHL.




4)  Geoff Molson : le président du gros CHiard a encore démontré son insignifiance en 2021-22.

Ne connaissant rien au hockey, il se contente de compter les gros profits que lui rapportent les imbéciles de fefans du CH qui sont heureux de payer dix fois trop chère la pisse de CHeval (bière Molson) qu'on leur sert au Centre PouBell.  Sans parler du prix exorbitant des billets et du stationnement pour assister aux défaites répétées des CHieux.  Sans compter non plus le coût scandaleux du reste de la camelote au logo du CH, particulièrement les chandails des losers poCHes du Caca.  

Pour ce qui est de la partie hockey de son rôle inutile, Ge-off, tel un aveugle qu'on conduit par le bras, exécute ce que son incompétent personnel hockey lui dit de faire.  Une pitié...

Voilà, ce sont les nominations pour le Trophée «Tarte» (membre du Cacanadien le plus inutile à son club).  Si vous avez d'autres suggestions de favoris, écrivez-les dans la section «commentaires» ci-dessous.

Le gagnant de ce «déshonneur», faisant partie des «Canadindes», sera dévoilé sous peu.  Vous pouvez voter pour le cancre de votre choix, avec, par exemple, un système de points du genre : trois points pour votre premier choix; deux points pour le 2e; un point pour le 3e; zéro point pour le 4e. 

vendredi 10 juin 2022

LE FEFAN DU CANADIEN DE MONTRÉAL : OU LE PARTISAN AVEUGLÉMENT AMOUREUX...






LE FEFAN : UNE SORTE DE FAN DU CH

Non, tous les partisans du Canadien de Montréal ne sont pas tous des fefans.  Ça, l'illustre journaliste Réjean Tremblay, l'inventeur du mot «fefan», est assez clair là-dessus.  Le «fefan» se situe dans une certaine catégorie de fans du CH.  Quelle sorte de partisan est-il ?  Existe-t-il un partisan de sports idéal ?  Et, est-ce que ce genre de partisan se retrouve chez les fans du Canadien ? 

Pour moi, un bon partisan, ou un bon amateur de sport, c'est d'abord quelqu'un qui aime, ou qui apprécie le sport, en tant que tel.  Il possède un véritable esprit sportif.  Un bon exemple c'est le spectateur qui assiste aux grands tournois de tennis.  Même s'il a un penchant pour un joueur, ou un duo de joueurs, pendant un match, il applaudira quand même les bons coups de l'adversaire ou des adversaires.  Il trouvera que c'est du bon tennis.

Pareil partisan ou amateur de sport ne semble pas exister beaucoup au hockey professionnel.  Surtout pas à Montréal.  Le partisan montréalais aime le Canadien, pas tant notre sport national.  Ce n'est pas un pur connaisseur de hockey.  Un peu comme un amateur de vin qui se contenterait d'une piquette populaire locale, sans connaître les marques des vrais connaisseurs ou les façons de bien évaluer un grand cru.




LE FEFAN : UN PARTISAN AVEUGLE

Réjean Tremblay blesse souvent les gens qu'il qualifie de «fefans».  Certains de ses lecteurs lui écrivent pour s'en plaindre.  Il répond toujours que «si vous vous demandez si vous êtes un fefan, c'est que vous n'en êtes pas un.»

Le fefan est donc quelqu'un qui ne se pose pas de question.  Peu importe ce que fait son club favori, il va toujours l'appuyer sans réfléchir ou douter.  Il va l'encenser quand ça va bien et qu'il gagne; il va le défendre et lui trouver des excuses quand ça va mal ou quand il est attaqué.  Bref, c'est un partisan aveugle et, il faut bien le dire, pas mal innocent, dans le mauvais sens du terme.

En ce sens, justement, je mettrais beaucoup de partisanes du CH dans cette catégorie.  Elles aiment le Canadien mais ne connaissent pas vraiment le hockey.  Elles aiment inconditionnellement les Habs parce que leur chum les aime.  Ou pour suivre la vague de leurs ami(e)s.  Elles aîîîment, comme l'écrit monsieur Tremblay.  Et ne dit-on pas que «l'amour est aveugle» ?

Le fefan est endoctriné, passionné, et pas mal illuminé.  Il est aussi un bon avaleur de couleuvres des agents de propagande de la Sainte Flanelle.  Il va croire aux poissons d'avril des Habitants.  Bien qu'il soit souvent mouton, on le trouve aussi dans sa forme extrême.  Il peut être un extrémiste religieux, du genre ayatollah. Un fanatique.  Tremblay utilise plutôt le mot «enragé».


 
LE  FEFAN  :  UN  FIDÈLE  RELIGIEUX

Puisque le Canadien est une religion à Montréal (et en grande partie au Québec et même dans l'Ouest canadien), on peut parler des fefans comme étant des «fidèles».  Comme des fidèles chrétiens qui pratiquent leur religion.  Ils n'ont pas besoin de savoir, ils croient.

Il faut distinguer le fefan de ses voisins, les fans bipolaires, assez courants chez les partisans du club des Molson.  Le fefan est un amant inconditionnel de son club chéri.  Il ne va pas le huer comme le fan bipolaire quand ses p'tits gars jouent très mal ou se font humilier sur la patinoire.

Par contre, le fefan pourra conspuer l'ancien porte-couleurs du CH qui a quitté l'équipe pour se joindre à un club ennemi.  Surtout si c'est un traître Québécois.















LE  FEFAN  FANATIQUE

Il va crier sa haine contre un adversaire salaud qui a fait mal à un de ses saints martyrs canadiens (comme l'odieux Zdeno Chara contre le brave capitaine Max Pacioretty).

Il va s'en prendre aux arbitres s'il juge qu'ils ont été injustes envers ses protégés tricolores.  Ou pour s'en servir comme boucs émissaires pour une défaite des siens.

Le fefan va aussi blâmer les blessures à leurs valeureux guerriers pour excuser une mauvaise passe de leurs glorieux.

Si vous critiquez leur club et trouvez des arguments irréfutables pour le descendre, le fefan va couper court à la conversation, ou à l'échange, en mentionnant les 24 Coupes Stanley de l'équipe, même si la conquête du dernier de ces précieux trophées remonte aux calendes grecques.

*  *  *  *  *



Cet article est le quatrième de la série sur les fefans du CH.  Les trois premiers sont les suivants :

samedi 22 janvier 2022

MARC LABRÈCHE SE MOQUE DE L'ENTRAÎNEUR DU CH ET DE CHANTAL MACHABÉE À «CETTE ANNÉE-LÀ».



Je n'avais jamais vu ni entendu parler Dominique Ducharme avant qu'il devienne l'entraîneur en chef du Canadien de Montréal, l'an passé.  La première fois que j'ai suivi (ou tenté de suivre) l'un de ses points de presse, j'ai été totalement déconcerté.  D'abord par son visage, en particulier sa bouche et ses yeux, se tordant ou bougeant dans tous les sens.  Un visage animé par des mimiques et des tics insolites.

Mais le plus malaisé, c'était de comprendre ce qu'il disait : une voix ravalée, faiblarde, enrouée; un langage décousu, sinueux, presque inintelligible.  Bref, un désastre !  Je me disais : «si il parle comme ça à ses joueurs, ils ne doivent rien comprendre !»  J'ai d'ailleurs écrit un billet à ce sujet sur mon blogue CH comme dans CHaudrons : https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/2021/03/nouvel-entraineur-en-chef-du-ch.html

Et il ne faut pas oublier que le coach du CH est la personne qui, de loin, a la plus grande couverture médiatique au Québec...  Bien plus importante que celle du Premier Ministre ! 

Il fallait bien se douter que Dumb Ducharme allait faire rire de lui avec un tel style de communication.  Les humoristes l'ont bien repéré et ils s'en donnent à coeur joie en le parodiant ou en le ciblant avec leurs blagues.  La semaine dernière c'était au tour de Marc Labrèche de se moquer de lui, à son émission de télévision «Cette Année-là», diffusée à Télé-Québec.

Par la même occasion, par l'entremise du comédien Bruno Blanchet, Labrèche ridiculisait Chantal Machabée, la nouvelle vice-présidente aux communications des Canailliens.  Une belle langue brune qui a fini par avoir ce qu'elle voulait en lèchant les dirigeants des CHieux.  Pour paraphraser Voltaire qui disait : «Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose.»  Dans le cas de Chantal c'est : «Lèchez, lèchez, il en restera toujours quelque chose.»

Voici donc cette hilarante parodie réalisée par Labrèche au sujet de Dumb et de CHantal...