samedi 20 février 2021

SUZUKI - GRETZKY, DROUIN - LAFLEUR, ET AUTRES COMPARAISONS FARFELUES AU SUJET DES JOUEURS DU CH...



C'est fou mais c'est drôle.  Les clowns et les humoristes utilisent souvent l'absurde, ou l'effet de surprise par contraste, pour faire pétiller notre cerveau, et nous dilater la rate.  Il en va de même pour les fefanatiques du Canadien de Montréal et des journalistes vendus au CH.

Les fefans du Cacanadien sont des créatures étranges et ils constituent un phénomène unique, des cas d'étude fascinants, comiques ou désolants, selon nos points de vue ou nos humeurs.

Ces malades bipolaires souffrent d'inflation verbale et d'une infirmité du jugement.  Ils prennent des vessies pour des lanternes.  Ils prennent leurs rêves pour des réalités.  Ils avalent des couleuvres à volonté.  Leur vision est sans cesse déformée par des lunettes roses ou des verres trop fumés.

Quand leur club fétiCHe a du succès, ces fêlés du CHaudron sont victimes d'euphories orgasmiques incontrôlées, comme on en voit parfois chez les singes au cul rouge.  Ou, quand leurs chouchous CHicolores en arrachent, ils sombrent dans un désespoir abyssal et apocalyptique, seulement par folie pour un club de hockey médiocre.

Connaissant l'importance déraisonnable et disproportionnée du torCHon dans la société canadienne, certains polémistes imbéciles ou séniles comme Jean-Charles Lajoie (JiC, TVA-Porcs, photo ci-dessus) ou Jack Todd (Montreal Gazette) s'en donnent à coeur joie pour dépasser les bornes et attirer l'attention sur eux (leur raison de vivre).  Leurs paroles ou leurs écrits abusifs nourrissent le monstre fefanatique.

Mais à force de se mettre en scène et de vouloir se donner en spectacle pour développer leur statut de vedette de la petite gloriole, ils s'étourdissent eux-mêmes et échappent des propos absurdes qui les font passer pour les abrutis et les caves qu'ils sont réellement.

Prenez Lajoie, il a comparé récemment le petit et frêle ado Nick Suzuki à nul autre que le "Great One", Wayne Gretzky (photo ci-dessus).  Rappelons que celui que l'on surnomme également "La Merveille" a réécrit le livre des records de la Ligue Nationale de hockey.  Il détient encore 61 records de la meilleure ligue de hockey au monde.

Toute comparaison avec Gretzky est donc une faute énorme car...l'ex-99 des Oilers d'Edmonton est tout simplement incomparable !  Selon JiC, Suzuki aurait une extraordinaire vision du jeu comparable à celle qui a valu tant de louanges et de succès au Great One.  Ouf !

On sait que le gros plein de m...à Lajoie est myope.  Peut-être que sa vue déficiente embrouille fortement sa vision de la réalité.  On parle ici du même crétin qui fait dans le plagiat et qui a jadis (voir article https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2012/01/le-gros-plein-de-m-jean-charles-lajoie.html) insinué que l'ex-gardien de buts des Bruins de Boston, Tim Thomas, était membre du Ku Klux Klan, une société secrète de suprémacistes blancs.

Comparer Suzuki à Gretzky n'est qu'un autre de ses débordements de merde et de ses dérapages de débile mental.  D'ailleurs, des rumeurs circulent concernant le congédiement de JiC.  La survie de TVA-Porcs serait même menacée...

Au même âge que Suzuki (21 ans), Wayne Gretzky avait déjà engrangé 709 points en carrière (269 buts, 440 aides, moyenne de 2,22 points par match).  À 20 ans, il avait fracassé le record pour le plus grand nombre de buts dans une saison (92).  Suzuki, lui, montre une fiche vraiment moins impressionnante : 16 buts (un seul cette saison), 37 aides, 53 points en 86 parties, moyenne de 0,62 point par match.  Sa prétendue vision exceptionnelle du jeu (à la Gretzky) ne semble pas lui rapporter beaucoup de dividendes !  Pauvre JiC !



On a aussi comparé le pee-wee Suzuki à Patrice Bergeron (photo ci-dessus).  D'ailleurs, on compare souvent des joueurs des CHaudrons à la fierté de l'Ancienne-Lorette (Québec).  Bergeron est entré dans la grande ligue à l'âge de 18 ans, ce qui était déjà tout un exploit...que Suzuki n'a pas réalisé.

Au même âge que le malingre no 14 du Caca, Bergeron (futur membre du Temple de la Renommée, quatre trophées Frank Selke, un trophée King Clancy, une Coupe Stanley) roulait à un rythme de 0,8 point par partie (69 buts, 113 aides, 182 points, en 229 joutes).

Il ne faut pas comparer des pommes à des oranges.  Je sais bien que les époques sont différentes, mais...tout de même, il ne faut pas CHarrier.

D'autre part, Jack Todd aime la controverse.  Il la recherche même, et c'est ce qui l'a rendu célèbre comme journaliste sportif à Mourial.  C'était après qu'il ait déserté les USA, après avoir été conscrit pour participer à la guerre du Vietnam.

Mais lui aussi, comme le gros épais Jean-Charles Lajoie, il a franchi la ligne de l'entendement en comparant récemment Jonathan Drouin au démon blond Guy Lafleur.  Une bourde inouïe qui lui a mérité les sarcasmes de tout le monde qui a le moindrement un peu de jugeote au sujet du hockey.

Todd (photo ci-dessus) a bien essayé d'essuyer sa bévue en écrivant qu'il voulait parler du talent potentiel de Drouin par rapport à Flower.  Mais le mal était fait.  À 75 ans, on se demande si Todd ne commence pas à avoir les facultés affaiblies et s'il ne serait pas plus sage pour lui de prendre sa retraite...

Au même âge que Drouin (25 ans), Lafleur (membre du Temple de la Renommée, trois Art Ross, trois Ted Lindsay, deux trophées Hart, un Conn Smyth, cinq Stanley Cups) brûlait la LNH.  Cette année-là le célèbre numéro 10 (un des meilleurs joueurs de l'histoire de la LNH) avait marqué 56 buts et aidé pour 80 autres (136 points).

Même s'il avait été brimé par la direction du CH au cours de ses trois premières saisons; à 25 ans, il montrait des statistiques du surdoué exceptionnel qu'il était : 555 points en 445 matchs (moyenne de 1¼ point par match).



Au même point dans sa carrière, Drouin doit se contenter de 220 points en 364 matchs (moyenne de 0,6 point par joute, un petit but cette saison).  On a aussi comparé Drouin à Claude Giroux, des Flyers de Philadelphie.  Au même âge, l'excellent joueur de centre avait un reluisant palmarès de 377 points en 415 matchs (moyenne de 0,91 point par partie jouée) dont des saisons de 93 et 86 points.  Comparaison boiteuse...encore.

Cet exercice des comparaisons farfelues, de joueurs actuels des CHieux, avec des hockeyeurs tout étoile du présent et du passé, est trop amusant.  Nous le continuerons dans un proche avenir ici ou sur mon blogue CH comme dans CHaudrons (https://chcommedanschaudrons.blogspot.com/).  À bientôt.  C'est à se tordre de rire !