mercredi 20 décembre 2023



LE TEMPS DES FÊTES : LE PLUS BEAU TEMPS DE L'ANNÉE POUR LES ANTI-HABS !

«It's the most wonderful time of the year,
It's the hap-happiest season of all,
with those holiday greetings and the gay happy meetings...»

Chanson du temps des fêtes, d'Andy Williams

Ah !!!  L'heureux temps des fêtes est arrivé !  Les gens ont le coeur joyeux et sont contents de s'unir à parents et amis pour célébrer Noël 🎅et le Nouvel An !  Pour nous mettre dans l'ambiance de ces réjouissances, les cantiques et les airs de Noël sont tout indiqués !


Et, heureuse coïncidence pour les Anti-Habs, c'est également le temps de l'année où le Canadien de Montréal s'effondre avec une série de défaites gênantes !


En effet, la tradition est généralement bien respectée !  Entre la mi-décembre et la seconde semaine de janvier, le torCHon s'écrase et confirme qu'il est assurément un club poCHe, et qu'il ne participera pas aux séries éliminatoires.  Au grand désarroi de ses stupides fefans qui, jusqu'à cette débâcle, avaient entretenu de faux espoirs d'assister à la renaissance des anciens glorieux !

À Noël, tout me rappelle la déchéance des CHieux !  Noël c'est la fête de la lumière.  Celle du soleil qui recommence à rallonger les jours et à les faire briller.  Je me dis alors : «quel contraste avec les CHaudrons, qui, eux, entrent dans la grande noirceur et qui vivent leurs jours les plus sombres» !  Quoi qu'en disent les journaliCHeux et certains fefans bernés par la propagande du Cacad'CHien, il n'y a pas de lumière au bout du tunnel pour la CHiasse (surtout pas dans leur club école, le Racket de Laval).

Noël c'est aussi la fête de l'amour, avec les nôtres.  On devient généreux.  C'est un temps de partage avec les plus démunis, avec les mal pris de notre société.  Les multi millionnaires des Habs sont loin de faire partie de cette catégorie, mais, sur la patinoire, ils en arrachent habituellement à ce temps-ci de l'année !



Et en déchirant le papier d'emballage de mes cadeaux de Noël, puis en jetant ce papier aux vidanges, je songe avec contentement aux Canailliens de MoronsRéal qui vont subir le même sort.  

Sous le poids énorme des défaites qui s'accumuleront, les fefans mécontents et les journalèches-culs CHicolores vont s'entre déchirer entre eux en voyant leur club de hockey chéri s'en aller aux poubelles du Centre PouBell.

Et puis, ces revers désastreux des CHieux sont de véritables présents de Noël pour les Anti-CHaudrons.  Tout en n'étant pas des cadeaux pour les fefans des Cannes à CHiens qui paient le gros prix pour aller les voir s'effoirer au Centre Bébelle ! 



Pendant la période des fêtes, j'aime aller me remplir les poumons de l'air pur de nos campagnes.  Un séjour dans un rustique chalet en bois rond, une belle promenade en cariole traînée par un cheval, ou une randonnée en traîneau tiré par de vaillants chiens d'attelage me font également penser au Cacanadien.

On observant le cheval faire glisser la cariole sur la neige blanche, je me dis que le Gros CHiard n'a pas gagné la Coupe Stanley depuis la lointaine époque où les chevaux étaient encore le moyen de transport des habitants du pays !  Et glisser sur la neige me fait penser la glissade des Habs au classement !  De plus, en regardant les braves chiens courir devant le traîneau m'entraînant sur le sentier tout enneigé de la forêt, je constate qu'ils sont bien plus valeureux que les lâches et avachis joueurs du CH !


Et à table, quand je contemple la magnifique dinde de Noël, toute ruisselante de son jus, devinez à qui je pense ?!  Au club de dindes de Mourial pardi !!!  Les pâtés à la viande me rappellent aussi les «empâtés» joueurs de la CHiasse !

Finalement, le 31 décembre, quand je ris en regardant la populaire émission de télé, le célèbre BYE BYE, je me réjouis du parallèle avec les Canailliens qui, en perdant souvent, doivent dire Bye Bye aux séries de fin de saison !  En se couvrant de ridicule, comme les acteurs du BYE BYE télévisé couvrent de ridicule les politiciens ou les artistes qui ont fautés durant la dernière année.  CH comme dans CHute !


Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha !  Quels drôles de pantins (Geoff Molson) et de lutins (dont Tintin St-Louis) ces gauches dirigeants et pousseux de puck (la bande médiocre du Capitaine Crunch, Nick Suzuki) de la Sale Guenille !  Un vrai sac à farces et attrapes du temps des fêtes !  Parfait pour étriver le beau-frère fefan du CH, autour du sapin de Noël !

Oui, vraiment, c'est le plus merveilleux et heureux temps de l'année pour les Anti-CH !  Joyeuses Fêtes chers amis !      

lundi 9 octobre 2023



LE  CANADIEN  ÉLIMINE  UNE  BONNE  PARTIE  DU  BOIS  MORT  AVANT  LE  DÉBUT  DE  LA  SAISON  À  TORONTO.

Durant la saison morte, le gros de l'ouvrage du tandem directionnel Kent "Kojac" Hughes/Jeff "Gorgo" Gorton consistait à se débarrasser du bois mort encombrant leur club de broCHes à foin.  Et, par conséquent, de boucher les trous laissés dans l'alignement après leur travail de vidangeurs.


Leurs plus récents coups de torCHon ont été de soumettre au ballottage le «deux de pique» Joel Armia (voir mon article à son sujet dans mon «Journal Intime d'un Anti-Habs en Feu» - https://journalintimedunantihabsenfeu.blogspot.com/2023/01/les-deux-de-pique-du-ch-joel-armia.html -), ainsi que le défenseur Gustav Lindstrom, dans l'espoir de voir leur contrat disparaître de leur liste de paye.  En vain...  Aucune équipe n'a voulu les repêcher.


Ils ont donc pris le chemin de Laval, en compagnie de deux autres «coupés» : Emil Heineman et Mattias Norlinder.  Quelques jours auparavant, Lias Andersson, l'écervelé Logan Mailloux, et leur insensé choix de première ronde, David Reinbacher, avaient également été «descendus» dans les ligues mineures.


Le sort en est jeté, pour débuter la saison mercredi, à Toronto.  Il y aura seulement deux nouveaux venus dans la formation du torCHon : les ailiers gauches Alex Newhook et Tanner Pearson.


Sont partis vers d'autres cieux, les bouts de bois mort en question : Jonathan Drouin et Corey Schueneman (Colorado), Joel Edmundson (Washington), Mike Hoffman (San Jose), Denis Gurianov (soumis au ballottage par Nashville), Chris Tierney (New Jersey), Rem Pitlick (soumis au ballottage par Pittsburgh), Paul Byron (retraité) et Alex Belzile (soumis au ballottage par les Rangers de New York).  Il y a aussi Anthony Richard, qui n'a pu faire l'équipe, (ballotté par les Bruins de Boston.


Avec tous ces changements, le Cacanadien sera-t-il meilleur en 2023-24 ?  On doit en douter, malgré le sempiternel argument avancé par les fefans de la Sainte Guenille, qui, selon leur jugement atrophié, prétendent que ce sont les blessures qui ont ruiné la saison de leurs chéris l'an dernier.




En tous cas, les dirigeants des CHaudrons misent beaucoup sur Newhook (photo ci-dessus), à qui ils ont consenti un contrat de 11,6 millions de dollars sur quatre ans.  Il vient s'ajouter aux nombreux petits schtroumpfs du CH avec sa frêle charpente de 5'10", 190 livres.  En 159 matchs avec l'Avalanche du Colorado, il montre une fiche de 27 buts, 39 aides, pour 66 points.  Au dernier entraînement, lundi, il pratiquait dans le trio centré par Kirby Dach et complété par Juraj Slaflovsky.


Pour sa part, le vétéran Pearson (11e saison), qui n'a pas fait l'affaire à Los Angeles, Pittsburgh et Vancouver, s'amène à Mourial avec un palmarès en carrière de 133-139-272 et un historique de «béquilles».  Au cours des dernières saisons, il a passé plus de temps à l'infirmerie que sur les patinoires de la LNH.


Christian Dvorak et Chris Wideman sont blessés, et ils rateront le début de la saison.  Pour ce que ça va changer...



Signe inquiétant pour les CHieux, et leurs abrutis de fefans, la direction du Caca n'a pas renvoyé le gardien Cayden Primeau (photo ci-dessus) à Laval, pour le début de la prochaine campagne.  Il est vrai que Samuel Montembeault a été affreux en pré-saison, et que Jake Allen n'a rassuré personne non plus, au camp d'entraînement.  Si on garde Primeau comme police d'assurance, c'est qu'on a aucune solution de rechange pour le bois mort devant le filet.


D'ailleurs, les gardiens de buts des CHieux sont vus comme un gros point faible de l'équipe, par la revue spécialisée «The Athletic».  Leurs experts les classent au 25e rang de la LNH.  L'offensive (29e) et la défensive CHicolore (28e) sont encore jugées plus sévèrement.


L'évaluation des joueurs du Gros CHiard porte à la fois sur les aspects offensifs et défensifs.  D'après «The Athletic», à cause de leurs déficiences en défensive, Nick Suzuki (note de -3 en défensive) et Cole Caufield (-3, idem) sont donc rabaissés par rapport au piédestal sur lequel les fefans les voient.


Globalement (notes offensives et notes défensives combinées), Josh Anderson (total de -4), Sean Monahan (-3), Christain Dvorak (-6), Alex Newhook (-2), Juraj Slafkovsky (-4), Brendan Gallagher (-2), Jake Evans (-6) et Joel Armia (-8), n'ont pas la faveur des connaisseurs de «The Athletic»). 


À la ligne bleue, Arber Xhekaj (-7, photo ci-dessus), David Savard (-7), Gustav Lindstrom (-7) et Johnathan Kovacevic (-2) se distinguent par leur médiocrité.  D'après «The Athletic», seul Mike Matheson a une évaluation positive (+6) dans la brigade défensive des Canailliens.

Avec tout ça, «The Athletic» prédit l'avant-dernier rang (31e) de la Ligue Nationale aux piteux Cannes à CHiens, cette année.  De quoi faire encore brailler les fefans accablés... 

mercredi 4 octobre 2023



PRIX CANADINDES 2023 : LE TROPHÉE «NO ROCKET RICHARD» VA À JOHNATHAN KOVACEVIC.

C'est le cas de le dire, les joueurs du Cacanadien de Moryial n'ont pas le compas dans l'oeil lorsqu'ils tirent au but.  Leur manque de précision, lorsqu'ils visent le filet, est une des nombreuses raisons expliquant pourquoi ils ont un club aussi poCHe.  Et je ne parle pas ici de la «Poche Bleue».

Histoire d'illustrer cet aspect du jeu des pauvres torCHonneux, j'ai créé un nouveau prix «Canadinde», le trophée «No Rocket Richard», pour souligner à quel point un joueur du Gros CHiard ne suit pas l'exemple du célèbre Maurice Richard, qui fut le premier hockeyeur à marquer 50 buts en 50 parties (en 1944-45), dans une saison de la Ligue Nationale de Hockey.

La LNH a d'ailleurs instauré le trophée «Maurice Richard» en 1999, pour récompenser le meilleur buteur de la Ligue à chaque année.  La saison dernière c'est Connor McDavid qui l'a gagné avec son impressionnante production de 64 filets.  Évidemment, il va sans dire qu'aucun buteur des CHaudrons n'a jamais mis la main sur ce trophée...



Plusieurs porte-couleurs de la CHiasse se sont distingués en 2022-23 pour leur imprécision à toucher la cible en lançant aux buts adverses.  Chez les défenseurs, le joueur à temps partiel Chris Wideman (photo ci-dessus) a tiré 31 fois vers la cage ennemie (14 de ces lancers ont raté la cible) sans scorer le moindre but, en 46 matchs joués.

Wideman est à peu près utilisé seulement pour boucher un trou quand trop de défenseurs réguliers des CHieux sont absents à cause de blessures.  Le pire, c'est qu'on l'emploie surtout parce qu'il est un des seuls patrouilleurs de la ligne bleue qui est supposé exceller comme quart-arrière sur le jeu de puissance (ou plutôt d'impuissance) du Caca.  Alors zéro but pour lui, malgré son temps joué en supériorité numérique, c'est la désolation de l'abomination !

Remarquez que son coéquipier défenseur Johnathan Kovacevic n'est pas meilleur.  En 77 parties disputées, sur 92 tirs, il en a vu 40 manquer le filet et trois seulement ont fait scintiller la lumière rouge derrière le gardien de buts opposé.  Taux de succès : 3,3 % !  Mais Kovacevic a au moins l'excuse de ne pas jouer sur l'avantage numérique.  Mais attendez !  Ceci explique cela, en grande partie !  Il ne joue pas sur le PP puisqu'il est tellement erratique quand il lance...et rate le but.

Évidemment, les défenseurs ont moins de chances de faire bouger les cordages des filets adverses puisqu'ils sont, par essence, plus éloignés pour tirer aux buts ennemis en raison de leur position reculée sur la surface glacée.  N'est pas un Bobby Orr qui veut !  C'est Erik Karlsson (alors avec les Sharks de San Jose) qui en a marqué le plus chez les défenseurs l'an passé avec 25.  Le champion, à ce chapitre, chez les Cannes à CHiens, a été Mike Matheson, avec huit.



Afin de souligner la pire performance en ce qui a trait au manque de touche offensive, il est plus logique de se tourner vers les joueurs d'avant.  De ce côté, Jonathan Drouin (photo ci-dessus) a vraiment fait pitié.

Celui que l'on a comparé à Guy Lafleur, à son arrivée à Moronréal, en 2017, n'a enregistré que deux maigres filets en 58 parties en 2022-23.  Deux petits buts sur 69 lancers, pour un taux de réussite de 2,9 %.  Un désastre !  Il ne pourra que faire mieux, maintenant, avec l'Avalanche du Colorado, où il a rejoint son ancien coéquipier chez les juniors, Nathan MacKinnon, sur le premier trio de l'équipe anciennement basée à Québec.

2,9 %, c'est le même degré d'insuccès que celui de l'ex-défenseur CHicolore, Joel Edmundson (échangé aux Capitals de Washington dans l'entre-saison).  Mais on a jamais songé comparer Edmundson à Erik Karlsson, pour ce qui est de l'excellence en offensive.

Le joueur de centre Jake Evans s'est aussi fait remarquer par son manque de punch à l'attaque, l'an dernier.  Deux buts en 54 joutes, pour un famélique taux de réussite de 3,6 %, sur 55 tirs au but, dont 17 ratés.

Mais au final, considérant le pourcentage de tirs ratés de Kovacevic (43,5 %), la palme lui revient comme premier récipiendaire du trophée «No Rocket Richard» 2023.

Par ailleurs, il restait à décerner le trophée «Pleurnichard» pour la saison dernière.  Le titre de CHiâleux par excellence avait été attribué à Brendan Gallagher en 2022.  Cette année, le petit ailier droit du Cacanadien s'est moins plaint, dans les 44 matchs qu'il a joué.  Au rancart pendant la moitié de la saison à cause d'une blessure au bas du corps, Gallagher a semblé s'adoucir en étant consolé par sa douce moitié, la charmante Emma Fortin (photo ci-dessous).  ⇾ Voir aussi l'article que je lui ai consacrée sur mon site web : «PROFESSION : FEMME DE PRO DU SPORT» (
https://professionfemmedeprodusport.blogspot.com/2023/02/les-nombreuses-convalescences-de.html).



Alors, faute de pouvoir donner le «PleurniCHard» à Gallagher, c'est le capitaine Nick Suzuki qui en a hérité.  Surtout à cause de sa déclaration de cet été quand il s'est dit écoeuré de perdre à Mourial.  Ce à quoi le proprio Geoff Molson a répondu qu'il devra prendre son mal en patience, car les déboires de l'équipe ne sont pas près de finir...



Ceci complète mon «gala» de remise des prix Canadindes pour la saison 2022-23.  Si vous avez manqué les premières remises, voici les liens vers les articles proclamant les gagnants:

jeudi 21 septembre 2023



PRIX CANADINDES : CAREY PRICE REMPORTE LE TROPHÉE «TARTE», (MUH) 2023.

Une nouvelle saison du Canadien de Montréal s'amorcera bientôt (11 octobre à Toronto).  Le camp d'entraînement est à peine commencé, et le premier match hors concours aura lieu lundi prochain (à Montréal, contre les Devils du New Jersey).  

Avant de connaître à quoi ressemblera l'alignement de départ définitif du CHicolore, et de l'analyser pour sous-peser les chances de la troupe du coach Martin St-Louis d'éviter une autre saison de misère, il est bon de revenir sur les faits saillants de la précédente campagne, afin de se rappeler d'où part le club des Molson.  Où il se situait avant les changements apportés durant l'entre-saison.

Une façon rigolote de se souvenir de cette autre déconfiture annuelle des CHaudrons, c'est de procéder comme l'an dernier, quand j'ai commencé à décerner les trophées «Canadindes» remis aux pires joueurs et instructeurs des CHieux.

Aujourd'hui, je commence avec le trophée «Tarte», le contraire du trophée «Hart», remis au joueur jugé le plus utile à son équipe dans la Ligue Nationale de Hockey (Most Valuable Player, ou MVP).  Le «Tarte» est donc accordé au joueur le plus inutile (MUH, ou «Most Useless Habs») du torCHon pour une saison donnée.

Cette année, les nommés étaient : le bouche-trou Chris Wideman, l'infirme Paul Byron, et le profiteur et déshonorable Carey Price (dit "Scarey").

En juin dernier, lors du repêchage de la NHL, un événement loufoque a déterminé le gagnant de l'infâme trophée «Tarte».  On sait que l'organisation hypocrite du CH aime bien promener, comme une catin, le gardien Carey Price, en le présentant comme l'image de prestige, ou l'image de marque, du club aux 24 Coupes Stanley.  Price est un outil de propagande pour le département de publicité ou de communication des Canailliens.

Incapable de jouer depuis le printemps 2022, à cause d'une blessure à un genou, Scarey continue néanmoins d'empocher son ahurissant salaire de 10½ millions de dollars par saison.  À part ses quelques apparitions publicitaires annuelles pour satisfaire et crinquer les fefans de la Sainte Guenille, les dirigeants de l'équipe ne lui demandent pas grand chose pour justifier l'énorme poids qu'il représente sur la masse salariale de la CHiasse.



Comme lors du repêchage de juin (voir mon article précédent : https://lantihabsillimite.blogspot.com/2023/06/premiere-ronde-du-repechage-2023-de-la.html, quand après l'avoir fièrement présenté au micro, sur la tribune où on annonçait les sélections de l'encan amateur de la LNH, le gérant général bidon des Cannes à CHien, Kent "Kojak" Hughes, lui a demandé de nommer le premier choix du bleu, blanc, merde (David Reinbacher).  Confus, embarrassé, Price a bafouillé, puis il regardé son DG d'un air effrayé, comme un veau allant à l'abattoir, avant de s'avouer incapable de prononcer le nom du joueur en question.

Scarey et l'organisation des CHaudrons ont eu l'air fou (observez la face du proprio Geoff Molson -2e à partir de la gauche- sur la photo ci-dessus).  Une illustration parfaite de ce qu'ils sont devenus depuis 30 ans.  C'est-à-dire : le contraire des airs de prestige qu'ils osent encore se donner, très très longtemps après leurs années glorieuses, d'un passé totalement révolu et...dépassé.

Après cette bourde ridicule de Price au dernier repêchage, pour moi, commissaire de la Ligue Anti-Habs, c'était décidé : il méritait d'emblée l'abject trophée «Tarte».



La semaine passée, Scarey (photo ci-dessus) est venu faire son petit tour à Montréal, toujours dans son rôle de rafraîchisseur de mémoire, et "d'homme sandwich", pour rappeler au monde qu'il était toujours un membre du Caca, et afin qu'on se souvienne de lui verser son honteux salaire...payé à ne rien faire...ou presque.

À ce sujet, d'ailleurs, l'ancienne vraie gloire du CH, l'ex-gardien de buts Patrick Roy, a fait un commentaire intéressant, il y a quelques mois, en disant qu'il n'aurait jamais accepté d'être payé s'il n'avait plus été capable de jouer au hockey.  Sans nommer Price, c'était une allusion directe au numéro 31 du Gros CHiard.

Certes, Scarey profite de cette situation incongrue concernant les contrats des joueurs blessés à long terme dans la Ligue Nationale.  Comme Shea Weber, son ancien capitaine.  C'était au Cacanadien de ne pas faire l'erreur de lui donner un tel mirobolant contrat de huit ans et de 84 millions de dollars, auquel il reste encore trois saisons à écouler et...à dépenser.


Il y a quelques jours, en point de presse, Price a révélé que son genou avait pris un peu de mieux, mais à part marcher, toute autre activité, un peu plus exigeante physiquement, provoque de l'enflure et de la douleur à sa jambe handicapée.  Comme l'an dernier, il a déclaré qu'il faudrait un miracle pour qu'il puisse rejouer au hockey.  Devant les journalistes moronréalaids (guidounes vendus au torCHon), en gardant une petite réserve pour que le CH continue à honorer son énorme contrat, Price, 36 ans depuis le mois dernier, a fait allusion à la fin de sa carrière active, et à sa retraite.

Comme Weber, Scarey ne s'opposerait pas à ce que son lourd contrat soit échangé à une autre équipe, à des fins de respect d'un plancher salarial.  Ça se fait parfois, pour respecter les règles, chez des clubs avec une trop petite masse salariale.

Il est ouvert à accepter un autre poste dans l'organisation des CHieux, mais plus tard, quand ses trois enfants seront plus vieux.  Depuis quelques temps, il a sacré son camp de la métro-pauvre infecte de la mairesse Valérie Plante, pour retourner vivre, avec sa famille, dans sa province natale de Colombie-Britannique.


Il assistera, comme l'an dernier (photo ci-dessus, avec son chapeau de cowboy, lui qui est pourtant un amérindien ???!!!), au match d'ouverture de son équipe, contre les Blackhawks de Chicago, le 14 octobre prochain, au Centre PouBell.  Comme toujours, les fefans lui réserveront une ovation monstre lors de la présentation d'avant-match (et sa connarde de cérémonie aux faux flambeaux).

Dans quelques années, après la fin de son contrat, Price assistera probablement au retrait de son chandail no 31 au Centre Bêle.  Il sera honoré comme un des grands gardiens de but de la longue histoire du Cacanadien.  Mais selon moi, (et le journaliste Réjean Tremblay), son nom ne mérite pas de côtoyer ceux des vraies légendes ayant gardé les buts CHicolores : les Jacques Plante, Ken Dryden et Patrick Roy, etc.

Contrairement à ces derniers, Scarey n'a jamais inspiré ses coéquipiers au point de leur faire gagner une Coupe Stanley.  Il ne faut pas oublier qu'il détient le record du plus grand nombre de défaites pour un gardien du CH : 385 (incluant ses 45 revers en séries éliminatoires).
  
Insatiables avaleurs de couleuvres des propagandistes du torCHon, esprits tordus, partisans aveugles de leur Sainte Guenille, incapables de la moindre objectivité, les fefans du CH ne comprendront jamais que leur «Jesus Price» était un gardien de buts nettement surévalué.

Une légende fabriquée de toutes pièces par la propagande des Habs.  Et par ces commentateurs des matchs du CH qui criaient à tout bout de champ : «Oh ! quel arrêt de Price, un vrai vol !», alors qu'il s'agissait d'un simple arrêt de routine que n'importe quel cerbère aurait réalisé facilement en tout temps... 

jeudi 29 juin 2023


PREMIÈRE RONDE DU REPÊCHAGE 2023 DE LA LNH : CAREY PRICE ET LE CH RATENT LEUR COUP !


Décidément les gens du Canadien de Montréal n'arrêtent pas d'inventer des manières de faire rire de leur organisation de broches à foin !

Hier, au repêchage de la LNH, à Nashville, en croyant épater la galerie, le Directeur Général Kent Hughes avait fait précéder par Carey Price la délégation de l'équipe sur la tribune d'annonces des choix.  Scarey c'est l'image de marque du CHicolore depuis longtemps.


Au moment de révéler la sélection du torCHon (5e rang), Price a bafouillé, incapable de prononcer le nom de David Reinbacher, un illustre inconnu, sorti tout droit d'une boîte de Cracker Jack.  Cela a donné un moment embarrassant, repris sur tous les médias, à la grande honte de Scarey et du «prestigieux Canadien de Montréal».  

Les nombreux fefans des CHaudrons, qui étaient présents sur les lieux, ont copieusement hué cette ridicule sélection.  À voir ci-dessous :


Le pauvre Reinbacher fait l'unanimité : ce serait une grosse surprise s'il réussissait à faire la Ligue Nationale. Quoi qu'avec un club poche comme Mourial, il a tout de même des chances.  Sur une troisième paire de défenseurs... peuuuuuuut-être !

Si les dirigeants de la Sainte Guenille avaient eu des couilles, ils auraient pris le Russe Matvei Michkov, probablement le joueur le plus talentueux après Connor Bedard, dans la cohorte de cette année.  Mais ils ont eu peur de son contrat de trois ans dans son pays.
  


Les Flyers de Philadelphie, et leur DG Daniel Brière, ont sauté sur cette occasion en or pour repêcher Michkov, qui, après la fin de son contrat en Russie, pourrait bien se joindre à eux, et accélérer ou compléter ainsi la reconstruction de l'équipe.  Cela pourrait être un «game changer» pour eux, avec des productions de plus de 100 points par saison de la part du jeune prodige du pays des steppes.  Wow !

Avec encore un autre mauvais repêchage (une vieille tradition chez le Cacanadien) le club de la métropauvre moronréalaide est assuré de ne pas avoir une bonne relève pour le futur.  Ce qui garantit aux Anti-Habs des années de plaisir à les regarder perdre et à multiplier les bourdes trop drôles !

Ça m'a fait bien rigoler quand les journaliche-culs CHicolores de TVA-Porcs ont demandé à Reinbacher (qui, ma foi, semblait surpris d'avoir été repêché par une équipe de la LNH, tout court; et d'autant plus en première ronde) comment il se sentait dans cet uniforme prestigieux du CH.


C'est pas un uniforme renommé : c'est un torCHon, simonac !  Par contre, quand j'ai vu Bedard revêtir le splendide chandail rouge des Blackhawks de Chicago : j'ai poussé un cri d'admiration.  Certes le plus beau jersey de tous les clubs de la grande ligue.  Superbe !  J'ai hâte de voir jouer la nouvelle merveille de la ville des vents.

Gageons qu'avec lui et tous les changements que la compétente direction des Hawks apporteront, Chicago va rebondir assez vite au classement.



Un peu comme les Golden Knights de Vegas, un club d'expansion qui s'était donné six ans pour aller chercher la Coupe Stanley.  Ce que leur excellente équipe de direction (président gouverneur George McPhee, Gérant Général Kelly McCrimmon et coach Bruce Cassidy) a réussi à accomplir récemment.

On le sait : ça va comme c'est mené.  C'est pourquoi, avec la situation de la ville de Mourial (la Sibérie du hockey) et leur direction pourrie, les Cannes à CHiens n'iront nulle part, sauf dans la cave ou le cimetière du classement.  En damnant ainsi leurs fefans abrutis.