lundi 2 mai 2011

COMPLAINTE DE JAUNE LATOU À SON CH ÉLIMINÉ...



Les cimetières, dit-on, sont remplis de gens qui se croyaient indispensables et irremplaçables. Mais que faire quand ces vaniteux et vains personnages sont encore vivants, nous tombent sur les nerfs, et nous écoeurent ? Essayez de les remettre à leur place en nous moquant d'eux ? Bonne idée ! C'est ce que je fais ici en ridiculisant Jaune Latou, un fefan du CH qui se prend pour un génie sur une quantité impressionnante de blogues en cherchant à imposer ses opinions oiseuses pour faire l'important. Un de mes lecteurs le connaît mieux que moi. Voici ce qu'il a écrit au sujet de ce crétin :


«Jaunelatou Latulippe passe énormément de temps sur des blogues de sports et de politique, où il exprime des opinions simplistes qui se font démolir et ridiculiser. C’est un fefan de la pire espèce qui n’accepte aucune critique envers le CHicolore. Il joue à l’arrogant et au baveux, mais il se fait toujours ramasser, corriger et remettre à sa place parce que ses faibles arguments ne tiennent jamais la route. Latulippe s’est d’ailleurs fait massacrer par François Gagnon et Mathias Brunet, qui ont exposé publiquement la grossièreté et la vulgarité de ses opinions. Par exemple, il a longtemps été condamné sur certains blogues parce qu’il s’était moqué d’un participant qui souffrait d’un cancer et qui avait besoin de réconfort. Jaunelatou avait alors été dénoncé par des dizaines d’intervenants, tous dégoûtés par son attitude pathétique.


Jaulenatou Latulippe livre aussi de multiples prédictions (en pensant que ça intéresse quelqu’un). Ici, il se plante plus souvent qu’autrement. Parce qu’il rêve de devenir journaliste sportif, il tente parfois de dévoiler des scoops, mais ceux-ci ne se réalisent jamais. Par exemple, récemment, il a annoncé la mort de Max Pacioretty quelques minutes après la mise en échec légale de Chara. Pourtant, deux jours après, Pacioretty allait au cinéma et niaisait sur Twitter!


Pathétiquement, il tente de devenir une célébrité. Par exemple, il invite les gens sur les blogues à aller voir sa page Facebook (comme si ça nous intéressait). Un jour, il a invité les participants à un blogue à regarder les nouvelles à la télé, car il avait participé à un vox pop et il voulait que tout le monde sache qui il était. Il raconte aussi souvent les parties de hockey de ses enfants sur la Rive-Sud de Montréal. Il annonce également ses prétendues fréquentes visites au gym ou encore à La Cage aux Sports de Brossard pour y regarder ses Canadiens se faire planter. Il a souvent lancé des invitations pour assister en groupe à des matchs de hockey, mais personne, même parmi les pires fefans, n’a donné suite à ses invitations.


Jaunelatou Latulippe est aussi très jaloux d’un type nommé Simon Boisvert, qui est devenu dépisteur d’une équipe junior après être souvent intervenu sur des blogues de hockey. Latulippe est en beau maudit, car il tente désespérément d’être reconnu pour un expert en hockey, mais son expertise ne dépasse pas les limites du vieil aréna Olympia, à La Prairie. Bref, Stéphane Jaunelatou Latulippe attire davantage la pitié que la haine. On ne peut pas détester quelqu’un qui accumule les échecs et les revers comme il le fait. Ce pauvre cabochon glisse constamment sur la même pelure de banane, il se relève et retombe sans cesse face première. Pour le bonheur et l’amusement de milliers de personnes, longue vie à Stéphane Jaunelatou Latulippe


Le gros fefan du CH, Jaune Latou se lamente sur l'élimination de son club de poires, sur l'air de la chanson "Je suis malade" de Serge Lama...


Je n'me lave plus, j'ai le "bat" qui pue


Je me roule en boule, dans l'noir


Je suis sale sans toi, je me crosse sans toi


Pourquoi m'as-tu laissé dans l'désespoir


J'en ai plus qu'assez de ma petite vie


Putain j'en ai plus que marre


Je n'ai plus de vie, je n'ai plus d'envies


Je suis un porc dans la mare


Quand tu t'en vas






Je suis malade, complètement malade


Mon CH est un club de poires


Battu en première ronde éliminatoire


Je suis malade, parfaitement malade


Ta dynastie a foutu l'camp


Tu t'en vas on ne sait pas où


Et ça va faire bientôt vingt ans


Qu'on est dans l'trou






Comme Pierre Gauthier, comme Bob Gainey


Je suis accroché à toi


Je suis fatigué, je suis épuisé


De faire croire aux gens qu'un beau jour on gagnera


Je bois toutes les nuits, je suis un pourri


Moi le pauvre Jaune Latou


Tous les anti-habs me traitent d'idiot


Je ne sais plus où aller ils sont partout






Je suis malade, complètement malade


Mon sang est rendu CHicolore


Mais il s'est glacé, quand les Bruins t'ont mis dehors


Je suis malade, parfaitement malade


Les Bruins ont gagné en sur-temps


Mon CH est tombé à l'eau


Me voilà fait à l'os, en peine de ma peau






Cet échec me tue et si ça continue


Je vais faire un fou de moi


Dans tous les forums, dans tous les journaux


En pondant mes commentaires de gros tarla






Je suis malade, complètement malade


Mon CH est un club de poires


Battu en première ronde éliminatoire


Je suis malade c'est ça je suis malade


Les Bruins ont gagné en sur-temps


Mon CH est tombé à l'eau


Et j'ai le coeur complètement malade


Le CH est en rade, t'entends je suis malaaaaade.


1 commentaire:

Anonyme a dit...

Salut Hacksaw,

L'image choisie pour illustrer ce texte n'est malheureusement pas représentative, car Stéphane Jaunelatou Latulippe est beaucoup plus gras que ça dans la région du ventre (trop d'ailes de poulet dévorées de La Cage aux Sports après l'arrivée du chèque de BS le 1er de chaque mois).

De plus, Latulippe est nettement moins beau en personne que sur le dessin. Il porte également des bottes de ski-doo 12 mois par année.

Également, son bungalow bas de gamme de La Prairie est moins bien décoré et on y trouve sur le plancher de nombreuses bouteilles de bière vides traînant au milieu de coquerelles et de souris.

Il aurait aussi fallu dessiner Latulippe assis devant son ordinateur en train de livrer ses opinions ridicules et rudimentaires sur trois douzaines de blogues.

Enfin, il manque sur les murs des affiches du Parti créditiste, dont Stéphane Jaunelatou Latulippe est toujours membre, même 30 ans après sa disparition.