mercredi 21 septembre 2011
BELLE BROCHETTE DE BROCHETS, JOUEURS TARTES ET (EM)PÂTÉS : LES CANADIENS SONT LÀ !
Le moins que l'on puisse dire, c'est que les fefans du CH sont durs de comprenure... De vraies têtes de noeuds ou...des hydrocéphales. Andrei Markov a de l'eau dans le genou, les fefans eux, ont des têtes d'eau... Vous avez beau leur expliquer mille fois que des anti-habs ça existe, et qu'il y en a même des milliers et des milliers dans le monde, ça ne leur rentre pas dans le pois chiche qui leur sert de cerveau. No comprendo... No kapiché... Y pigent pas... They don't catch... Vous essayez de leur exposer la vision anti-habs de leur club de merde. Vous tentez de leur mettre les yeux vis-à-vis les trous, pour qu'ils découvrent la juste valeur de leurs pousseux de puck... Peine perdue... Pour ces cervelles d'oiseau, leurs CHieux sont les Glorieux, et c'est impossible que tous les Québécois ne les vénèrent pas... En désespoir de cause, il vous vient alors à l'idée de leur parler comme à de jeunes enfants : en employant des mots archi-simples, des images frappantes, des exemples très concrets ou des comparaisons éclairantes... Toute comparaison est boiteuse, direz-vous ? Comme Markov et le Canaillien, vous répondrai-je ! L'hiver dernier, je suis justement tombé sur une photo (ci-dessus) qui résumait parfaitement ce que les anti-CH pensent du CHicolore. Ce cliché génial dit tout ! Il nous montre des pâtés à la viande (avariée ?) avec au beau milieu le logo tout croche du Cacad'CHien. C'est la métaphore du club des Molson lorsqu'il évolue au milieu du Centre PouBell à Moronréal. Un club tout croche, empâté, dans un milieu où les Molson sont gras dur. Continuons à exploiter le filon alimentaire pour décrire (en riant) l'équipe dirigée par Jacques "Dumbo" Martin, dont la famille ne cesse de s'agrandir, et leurs oreilles aussi...
En consultant les recettes du Québec sur internet, on découvre que, parmi les nombreux pâtés proposés, certains collent très bien à l'image de vauriens des CanaCHiens et de leurs fefans bipolaires. Il y a d'abord le pâté de brochets qui est tout indiqué pour servir de plat de résistance à tous les fefans du torCHon. En fait, le broCHet devrait être leur emblème. D'abord, le brochet est un poisson vorace, comme le fefan typique qui gobe, comme des couleuvres, tous les mensonges que lui raconte la direction des CHaudrons. Il prend facilement des vessies pour des lanternes. Il est aussi stupide qu'un brochet qui mord à n'importe lequel hameçon. Comme le brochet, le fefan a également une grande gueule, dont il se sert à profusion pour baver, parler à travers son chapeau, dire des niaiseries et des conneries comme : le Canaillien est une dynastie du sport professionnel ou, il va "gagner la Coupe Stanley cette année". Le brochet, on le sait, est un cannibale qui mange fréquemment ses semblables. Exactement comme les fefans qui se dévorent entre eux quand leur club de broches à foin subit plus que deux défaites consécutives. Les purs et durs, fidèles coûte que coûte à leurs bons à rien, se font avaler par ceux qui veulent que tous les membres de l'état-major du CH soient mis à la porte et que la moitié de l'équipe soit échangée.
En voyant la recette de pâté au jambon, j'ai pensé tout de suite à Travis Moen, un empâté de première classe... Un joueur coCHon, un gros jambon sur patins qui s'est fait une belle réputation en se battant contre un adversaire qu'il savait blessé, puis en frappant par derrière une recrue des Panthers de la Floride qui était déjà aux prises avec un coéquipier de Moen, le long de la rampe. Sans parler de tous les autres coups salauds du gros tas du Caca. Parmi les autres pâtisseries me rappelant les CHieux, la tarte aux trois pommes, qui pourrait avoir été inspirée par tous les petits "trois pommes" qui s'alignent avec le CHicolore : Cammalleri, Gionta, Plekanec, Desharnais, etc. La tarte aux poires convient à merveille à bien des andouilles qui font partie de la formation de Dumbo Martin, un pâtissier aux allures d'embaumeur, passé maître dans l'art de pétrir la pâte à tarte passe-partout. Un expert en pâtes molles qu'il aplatit au rouleau et qui donne un résultat parfaitement "plate" comme le spectacle que le CH offre à ses partisans par son jeu insipide et robotique. Quant à la tarte au citron, je la réserverais à Pédé Subban, qui, avant le début de la saison dernière, était seul dans la course au trophée Calder, selon les fefans... À la fin de la campagne 2010-2011, Piqué n'a obtenu qu'un vote (on sait d'où il vient) au scrutin de la recrue par excellence... Autant lui décerner le prix citron pour l'ensemble de son oeuvre médiocre. La tarte aux pommes cachées (oui ça existe vraiment) est le dessert parfait pour tous les petits merdeux du CH qui se cachent lorsque le jeu devient plus viril après la période des fêtes de fin d'année... Même si, à ce stade du calendrier, les petits schtroumfs du Caca deviennent très rapides pour éviter les mises en échec et les coups, ces pauvres mauviettes ne peuvent pas toujours se sauver. Leur corps devient alors coloré de bleus et endolori par des prunes. Dans leurs cas, la tarte aux prunes s'impose. Dans ce même ordre d'idée, comparer les CHieux à un pâté au poulet serait fort justifié car quand le jeu se corse, ils ont tous l'air d'une bande de "CHickens"...
Le pâté mexicain pourrait convenir à Scott Gomez. Le pâté de boeuf renversé irait comme un gant à Andrei Kostitsyn qui, malgré son physique assez massif, ne ressort pas souvent des coins de patinoire, en position verticale... Scary Price ressemblerait plutôt à un soufflé (gâteau) qui se dégonfle en séries éliminatoires... La tarte oubliée (ça existe aussi) serait Bob Gainey, l'architecte incompétent de ce club de merde, dont le congédiement a été déguisé en lui confiant un obscur poste de "conseiller spécial". La fausse tarte aux pommes, c'est Cammalleri, le faux marqueur de quarante buts de la CHiasse. La tarte à la compote de pommes, c'est Markov avec ses genoux en compote. Mais étant donné son jeu mou en défensive, ce pourrait être aussi la tarte au tofu, faite de gélatine neutre (comme Andrei qui est souvent au neutre) et d'oeufs battus (comme le 79 du CH qui est souvent battu sur des jeux où les adversaires font preuve de robustesse). Plusieurs défenseurs du torCHon doivent être des mangeurs de tarte à la mélasse, tellement ils semblent avoir les deux pieds collés dans la mélasse lorsque des opposants les débordent de tous côtés. Le pâté à la dinde serait également idéal pour représenter les CanaCHiens qui, il y a deux ans, ont mérité le titre de TURKEYS OF THE YEAR de la revue SPORTS ILLUSTRATED. Enfin, les roulés printaniers (photo ci-dessus) fourrés et roulés à la main pourraient s'adresser aux fefans qui, à chaque printemps, se rendent compte qu'ils se sont fait rouler dans la farine par l'organisation moronréalaise. Une organisation de beaux parleurs qui les a bercés d'illusions et de vaines promesses, comme à chaque été depuis près de deux décennies d'échecs répétés. Ouais... les malheureux fefans se sont faits emplir comme des tartes qui débordent... Faut bien gaver le bétail...
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