mercredi 29 décembre 2010

THE HABS FEFANS : 2010 TURKEYS OF THE YEAR !


L'an dernier le très réputé magazine SPORTS ILLUSTRATED a ridiculisé les Canadiens de Montréal en les nommant SI 2009 TURKEYS OF THE YEAR. Les raisons pour faire du CH les CanaDindes de l'année ? D'abord leurs piètres performances sur les patinoires de la NHL. Ensuite, des cérémonies du centenaire qui se sont étirées sur près de trois ans, pour masquer justement, (en rappelant interminablement un passé "glorieux"), la déCHéance actuelle du club des Molson. Cette année je prends moi-même la liberté de nommer les fefans comme les 2010 TURKEYS OF THE YEAR. Ils le méritent amplement parce qu'ils :

  • se laissent "bourrer" gaiement par la propagande du torCHon, saisons après saisons; défaites après défaites; entraîneurs après entraîneurs; en continuant de se faire fourrer avec le sourire; en dépensant leurs payes en retour d'un spectacle merdique et désolant; en espérant toujours un retournement de situation qui ne vient pas...
  • continuent de faire des émeutes et du pillage au centre-ville (la dernière en mai dernier) en se déshonorant aux yeux du monde entier; en ternissant l'image déjà très abîmée de leur bidonville; en faisant les colons partout où ils passent dans les arénas des autres villes de la NHL...
  • sont à l'origine du SANDGATE, épisode loufoque, jamais vue ailleurs dans l'histoire du hockey, dans laquelle les fefans du CH ont répandu du sable et de la pierre concassée sur le chemin du vestiaire des Flyers de Philadelphie dans l'espoir de briser les patins des joueurs adverses et de faire gagner leurs CHieux en trichant...
  • ont démontré qu'ils n'ont pas de personnalité en copiant l'image de marque des Red Wings de Détroit (Hockey Town) en adoptant le slogan "la ville est hockey"; sans parler de leurs chants "Olé, Olé, Olé" singés sur ceux des amateurs de soccer européen; et qui leur reviennent dans la face quand les fans des autres clubs les reprennent pour se moquer d'eux lorsque le Caca perd à l'étranger...
  • croient toujours que le club moronréalaid fait partie de l'élite du hockey et forme une dynastie malgré dix-sept ans de déboires et de scandales; fausse impression renforcée par les prétentions à un "top 4" parce que les CHieux se sont rendus en finale de Conférence le printemps passé.


Oui, à n'en pas douter, les fefans bipolaires vivent au-delà du réel, dans le passé, et dans la brume des effets secondaires d'anti-dépresseurs puissants qui leur font voir en rose un club médiocre, sur-évalué en permanence. Oui, à coup sûr, ils sont les dindons de la farce encore en 2010 ! Félicitations !


1 commentaire:

Anonyme a dit...

Les petits fefans lobotomisés sont aussi de parfaits imbéciles parce qu'ils:

- acceptent docilement bon an mal an des augmentations injustifiées du prix du billet pour un spectacle ennuyant fourni par une équipe qui patauge dans la médiocrité depuis presque deux décennies.
- tolèrent naïvement l'incompétence omniprésente à la direction de leur équipe: Boivin, Gainey, Timmins, Gauthier, etc.
- se caractérisent par l'achat des produits dérivés les plus quétaines du monde du sport: petits fefanions, casquettes bas de gamme, chandails cheaps et autres cochonneries du genre.
- s'abonnent à un réseau de télé amateur (RBS) afin de suivre les matchs de leur équipe pourrie, décrits par un incompétent absolu et analysés par un simple d'esprit.
- font de n'importe qui une vedette (Passoire Price, Pacane Subanane).
- huent comme des sauvages l'hymne national américain quand bon leur semble.
- sont reconnaissables par leurs beuglements primitifs collectifs quand ils jugent qu'un arbitre ne signale pas une pénalité à un méchant adversaire.
- se comportent en voyous quand ils débarquent dans les autres villes de la LNH en provoquant stupidement les spectateurs locaux.
- envahissent les blogues et tentent de censurer quiconque exprime une opinion plus réfléchie que leurs avis simplistes et puérils.
- s'attirent de partout le mépris par leur propension à huer systématiquement les joueurs qui préfèrent évoluer pour une autre équipe (Brière, Komisarek, etc.). Pas pour rien que Roland Melançon (pourtant ancien joueur et entraîneur des gardiens du Torchon) a qualifié de «crasse» cette foule d'abrutis.