PRIX CANADINDES : CAREY PRICE REMPORTE LE TROPHÉE «TARTE», (MUH) 2023.
Une nouvelle saison du Canadien de Montréal s'amorcera bientôt (11 octobre à Toronto). Le camp d'entraînement est à peine commencé, et le premier match hors concours aura lieu lundi prochain (à Montréal, contre les Devils du New Jersey).
Avant de connaître à quoi ressemblera l'alignement de départ définitif du CHicolore, et de l'analyser pour sous-peser les chances de la troupe du coach Martin St-Louis d'éviter une autre saison de misère, il est bon de revenir sur les faits saillants de la précédente campagne, afin de se rappeler d'où part le club des Molson. Où il se situait avant les changements apportés durant l'entre-saison.
Une façon rigolote de se souvenir de cette autre déconfiture annuelle des CHaudrons, c'est de procéder comme l'an dernier, quand j'ai commencé à décerner les trophées «Canadindes» remis aux pires joueurs et instructeurs des CHieux.
Aujourd'hui, je commence avec le trophée «Tarte», le contraire du trophée «Hart», remis au joueur jugé le plus utile à son équipe dans la Ligue Nationale de Hockey (Most Valuable Player, ou MVP). Le «Tarte» est donc accordé au joueur le plus inutile (MUH, ou «Most Useless Habs») du torCHon pour une saison donnée.
Cette année, les nommés étaient : le bouche-trou Chris Wideman, l'infirme Paul Byron, et le profiteur et déshonorable Carey Price (dit "Scarey").
En juin dernier, lors du repêchage de la NHL, un événement loufoque a déterminé le gagnant de l'infâme trophée «Tarte». On sait que l'organisation hypocrite du CH aime bien promener, comme une catin, le gardien Carey Price, en le présentant comme l'image de prestige, ou l'image de marque, du club aux 24 Coupes Stanley. Price est un outil de propagande pour le département de publicité ou de communication des Canailliens.
Incapable de jouer depuis le printemps 2022, à cause d'une blessure à un genou, Scarey continue néanmoins d'empocher son ahurissant salaire de 10½ millions de dollars par saison. À part ses quelques apparitions publicitaires annuelles pour satisfaire et crinquer les fefans de la Sainte Guenille, les dirigeants de l'équipe ne lui demandent pas grand chose pour justifier l'énorme poids qu'il représente sur la masse salariale de la CHiasse.
Comme lors du repêchage de juin (voir mon article précédent : https://lantihabsillimite.blogspot.com/2023/06/premiere-ronde-du-repechage-2023-de-la.html, quand après l'avoir fièrement présenté au micro, sur la tribune où on annonçait les sélections de l'encan amateur de la LNH, le gérant général bidon des Cannes à CHien, Kent "Kojak" Hughes, lui a demandé de nommer le premier choix du bleu, blanc, merde (David Reinbacher). Confus, embarrassé, Price a bafouillé, puis il regardé son DG d'un air effrayé, comme un veau allant à l'abattoir, avant de s'avouer incapable de prononcer le nom du joueur en question.
Scarey et l'organisation des CHaudrons ont eu l'air fou (observez la face du proprio Geoff Molson -2e à partir de la gauche- sur la photo ci-dessus). Une illustration parfaite de ce qu'ils sont devenus depuis 30 ans. C'est-à-dire : le contraire des airs de prestige qu'ils osent encore se donner, très très longtemps après leurs années glorieuses, d'un passé totalement révolu et...dépassé.
Après cette bourde ridicule de Price au dernier repêchage, pour moi, commissaire de la Ligue Anti-Habs, c'était décidé : il méritait d'emblée l'abject trophée «Tarte».
La semaine passée, Scarey (photo ci-dessus) est venu faire son petit tour à Montréal, toujours dans son rôle de rafraîchisseur de mémoire, et "d'homme sandwich", pour rappeler au monde qu'il était toujours un membre du Caca, et afin qu'on se souvienne de lui verser son honteux salaire...payé à ne rien faire...ou presque.
À ce sujet, d'ailleurs, l'ancienne vraie gloire du CH, l'ex-gardien de buts Patrick Roy, a fait un commentaire intéressant, il y a quelques mois, en disant qu'il n'aurait jamais accepté d'être payé s'il n'avait plus été capable de jouer au hockey. Sans nommer Price, c'était une allusion directe au numéro 31 du Gros CHiard.
Certes, Scarey profite de cette situation incongrue concernant les contrats des joueurs blessés à long terme dans la Ligue Nationale. Comme Shea Weber, son ancien capitaine. C'était au Cacanadien de ne pas faire l'erreur de lui donner un tel mirobolant contrat de huit ans et de 84 millions de dollars, auquel il reste encore trois saisons à écouler et...à dépenser.
Il y a quelques jours, en point de presse, Price a révélé que son genou avait pris un peu de mieux, mais à part marcher, toute autre activité, un peu plus exigeante physiquement, provoque de l'enflure et de la douleur à sa jambe handicapée. Comme l'an dernier, il a déclaré qu'il faudrait un miracle pour qu'il puisse rejouer au hockey. Devant les journalistes moronréalaids (guidounes vendus au torCHon), en gardant une petite réserve pour que le CH continue à honorer son énorme contrat, Price, 36 ans depuis le mois dernier, a fait allusion à la fin de sa carrière active, et à sa retraite.
Comme Weber, Scarey ne s'opposerait pas à ce que son lourd contrat soit échangé à une autre équipe, à des fins de respect d'un plancher salarial. Ça se fait parfois, pour respecter les règles, chez des clubs avec une trop petite masse salariale.
Il est ouvert à accepter un autre poste dans l'organisation des CHieux, mais plus tard, quand ses trois enfants seront plus vieux. Depuis quelques temps, il a sacré son camp de la métro-pauvre infecte de la mairesse Valérie Plante, pour retourner vivre, avec sa famille, dans sa province natale de Colombie-Britannique.
Il assistera, comme l'an dernier (photo ci-dessus, avec son chapeau de cowboy, lui qui est pourtant un amérindien ???!!!), au match d'ouverture de son équipe, contre les Blackhawks de Chicago, le 14 octobre prochain, au Centre PouBell. Comme toujours, les fefans lui réserveront une ovation monstre lors de la présentation d'avant-match (et sa connarde de cérémonie aux faux flambeaux).
Dans quelques années, après la fin de son contrat, Price assistera probablement au retrait de son chandail no 31 au Centre Bêle. Il sera honoré comme un des grands gardiens de but de la longue histoire du Cacanadien. Mais selon moi, (et le journaliste Réjean Tremblay), son nom ne mérite pas de côtoyer ceux des vraies légendes ayant gardé les buts CHicolores : les Jacques Plante, Ken Dryden et Patrick Roy, etc.
Contrairement à ces derniers, Scarey n'a jamais inspiré ses coéquipiers au point de leur faire gagner une Coupe Stanley. Il ne faut pas oublier qu'il détient le record du plus grand nombre de défaites pour un gardien du CH : 385 (incluant ses 45 revers en séries éliminatoires).
Insatiables avaleurs de couleuvres des propagandistes du torCHon, esprits tordus, partisans aveugles de leur Sainte Guenille, incapables de la moindre objectivité, les fefans du CH ne comprendront jamais que leur «Jesus Price» était un gardien de buts nettement surévalué.
Une légende fabriquée de toutes pièces par la propagande des Habs. Et par ces commentateurs des matchs du CH qui criaient à tout bout de champ : «Oh ! quel arrêt de Price, un vrai vol !», alors qu'il s'agissait d'un simple arrêt de routine que n'importe quel cerbère aurait réalisé facilement en tout temps...