Le fefanisme bipolaire torCHonesque est une maladie mentale qui laisse ses victimes dans un état second. Complètement "partis" ou "décollés", les frappés qui en sont frappés dérivent et délirent au-delà du réel. Ils prennent des vessies pour des lanternes, Marie-France Bazzo pour une femme, des couleuvres pour du spaghetti, le CanaCHien de Mourial pour une grande équipe. On ne sait trop s'il faut rire d'eux ou les prendre en pitié...Prenez ce type qui se dit un pionnier sur le blogue du journaliste François Gagnon. Il se surnomme lui-même "Caméléon" et il semble en fumer du bon... Son bonheur ou son malheur dépend des victoires ou des défaites des CHieux. Littéralement... Je le cite (24 janvier) : «Quand le CH perd je suis triste car c'est comme si j'avais perdu moi-même». Méchant "loser" car les CHaudrons n'ont pas gagné grand chose depuis quinze ans... Il doit être en dépression souvent...
Autre déclaration "pétée" le 27 janvier : «Sans Markov, le CH est une équipe de .500 Avec Markov, le CH est une équipe de .600 Donc, faites le calcul et le CH va terminer la saison avec 90 points et ce sera suffisant pour faire les séries. Et dans les séries, le CH va jouer pour .600 et tout le monde va être content.» Bon bin, il ne sait pas compter en plus de vivre au pays des rêves ! Avec ou sans Markov les Caca font les séries une année sur deux et lorsqu'ils les font ils ont une fiche perdante puisqu'ils n'ont jamais franchi la deuxième ronde.
Ce genre de malade cultive la confusion mentale au point de se prendre pour un entraîneur de hockey. Il se désigne lui-même COACH CAMÉLÉON. Y allant d'une note biographique, il écrit, le 26 janvier : «Ma mère me disait que j'étais plus honnête et plus logique, que la définition du dictionnaire Larousse.» Le lendemain il détaille son "plan de match" en prévision de la partie de la Guenille, à Tampa Bay. Son point 5 : «ne vous fiez à aucun de vos coéquipiers et dites-vous que le résultat du match ne dépend que de vous personnellement.» Un peu plus tard, il ajoute : «avant de quitter la chambre, tous les joueurs crieraient "tous pour un, un pour tous".» Il disait que sa mère trouvait qu'il était super logique. C'est logique ça ? Il venait d'écrire de ne pas se fier à aucun céoquipier et là il les presse d'être unis ! Complètement farfelu !
Il va même jusqu'à délirer au point d'affirmer sérieusement que les entraîneurs et les joueurs de la CHarogne devraient lire ceux qui, comme lui, font des suggestions, sur le blogue de Gagnon. Enfermez-le quelqu'un ! Point 7 : «Je lirais les suggestions de quelques blogueurs du SLR et je les transmettrais à mes joueurs.» Les autres éléments de son "plan de match" sont aussi loufoques :
1. Carey et Andrei, serrez-vous la main.
2. Tous les autres joueurs doivent se serrer la main aussi, au cas où il y aurait des conflits.
3. Servez-vous de votre vitesse, c'est votre marque de commerce.
4. Sautez sur les quelques retours que Price ne peut contrôler.
6. Tapez sur les jambières de Price le plus souvent possible, ça fait du bien pour le Jell-O.
Le "serrage" de main, ayoye ! La vitesse ? Oui ils sont rapides pour éviter de se faire frapper par les joueurs adverses (sauf Gill et Mara qui sont trop lents). Récupérer les retours de lancers accordés par Scary ? Mission impossible, ils sont trop nombreux, du moins quand Scary réussit le premier arrêt, ce qui est loin d'être garanti ! Taper sur les jambières de Price ? Ce que l'on a entendu dire, c'est que les coéquipiers de Price lui tapent plutôt sur les nerfs et sur la gueule...
Ouf ! Admettez que Caméléon a des problèmes ! Il semble souffrir d'infantilisme aigu. Il y en a eu trop de "pas faciles" pour le CanaCHien cette saison. Ça provoque des névroses chez certains fefans. Navrant et drôle à la fois !
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