Je vous jure que ce n'est pas une joke ! Avec la moitié de la formation du CH composée (décomposée ?) de joueurs provenant de leur club ferme ("ferme" comme dans ferme d'élevage de coCHons pour faire des jambons) de la Ligue Américaine; et l'autre moitié obtenus par transactions par l'incompétent en chef Symphorien Bergevin (la dernière batch de viande avariée se nomme : Brandon Davidson, Dwight King, Andreas Martinsen, Steve Ott, et Jordie Benn - tous des vieilles carcasses ou des déchets de cochons finis) je me disais que le CH prenait encore tout son sens. Le "C" du CH c'est pour cochons et le "H" du CH c'est pour Ham (jambon en français). Ça va tellement bien ensemble !
Je cherchais une illustration pour orner ce texte et je suis tombé sur une image associée à une recette de "Jambon au Torchon". Je vous jure que c'est vrai. C'est sur le site "Super Toinette" (http://www.forums.supertoinette.com/). On sait que les Anti-Habs aiment désigner le Cacanadien par le mot "torchon". Quel beau hasard ! D'autant plus que, en ces temps de fin d'hiver sale, les fefanions plein de gadoue et de calcium qui ballottent au vent sur les minounes des abrutis de fefans du Caca, sont de véritables torchons crottés.
Mais revenons à notre recette de jambon au torchon. Ça m'a aussi fait penser au «Pour réussir un poulet», l'oeuvre de Fabien Cloutier, couronnée par un prix du Gouverneur Général du Canada, l'an dernier. Sauf qu'ici il s'agit de réussir un jambon. Un jambon CH. Dans le fond, c'est une recette très facile. Vous n'avez qu'à faire choisir la matière première, la viande, par un homme qui a un très mauvais jugement. En l'occurrence, Trevor Timmins, le recruteur en chef des CHaudrons de Mourial. Trevor n'a pas son pareil pour dénicher des jambons du genre McCarron ou De la Rose, 99,5% du temps. Une assurance de réussite !
Élaborons davantage cette recette parfaite pour décrire le semblant de club de hockey qui représente la métropauvre moronréalaide. C'est un lecteur du site "Super Toinette" qui la fournit. La voici, selon ses directives, assaisonnées, entre parenthèses, de quelques commentaires judicieux de ma part :
«D'abord bien essuyer le jambon»... (notre rejet des autres clubs, notre recrue choisie par Timmins, ou notre joueur des mineures, s'alignant maintenant pour le CH), «en appuyant sur les veines qui longent l'os pour en faire sortir au maximum le sang»... (belle allusion aux petits jambonneaux du CH qui se font régulièrement étamper sur les bandes). «Mon père m'avait donné l'astuce suivante : avec une seringue»... (seringue oubliée dans le vestiaire par Pété Subban, qui se shoot aux stéroïdes fournis par son entraîneur physique Ben Johnson) «remplie de cognac ou d'armagnac»...(donc, alcoolisé comme les foireux Beaulieu et Galchenyuk) «piquer ici et là le long de l'os (comme la face de Pacioretty pleine de boutons) «pour que l'alcool coagule le sang et évite la pourriture»... (peine perdue en ce qui concerne le CH). «Il ne faut pas injecter beaucoup à chaque fois.»
«Une fois le jambon essuyé, on prend un torchon épais»... (comme les membres de la direction du CH) «et assez grand qui enveloppera notre morceau. Poser le jambon dessus. Bien poivrer»... (ces temps-ci Scary Price se fait poivrer d'aplomb par de nombreux tirs des adversaires des CHieux) «avec du poivre fin : sur l'arrondi, dans les moindres recoins»... (surtout que les CHaudrons ne sont pas forts dans les coins de patinoire), «autour de l'os»... (c'est tout ce qui reste du CH une fois que leurs deux ou trois moins pires joueurs sont enlevés), «sous la couenne»... (les p'tits softies du CH n'ont pas la couenne dure) «sans oublier l'os du jarret. À titre indicatif, environ 3 à 4 bonnes poignées pour 1 jambon. Vous massez»... (massages coCHons prodigués par les lèche-cul de journalistes de Mourial) «d'une manière générale sur la peau dessus et dessous. Sur le centre du torchon»... (le torCHon n'a pas de gros joueurs de centre sauf Youpi), «vous déposez un lit de gros sel, puis reposez le jambon dessus.
Ensuite vous allez saler»... (puisque les jambons du CH sont insipides, fades et plates à voir jouer) «la viande de l'arrondi et déposer du sel dessus. L'astuce est de tenir son torchon»... (il n'y a pu grand chose qui tient le Canadien) «au fur et à mesure qu'on sale pour éviter au sel de tomber en bas»... (du classement comme le CH) «et le faire rester sur les cotés. Je m'aide d'épingles à nourrices»... (prostituées fréquentées par les jeunes joueurs du CH ?) «pour tenir mon torchon sur les cotés. Puis je finis par déposer du sel sur le dessus. A chaque manoeuvre il faut bien tendre son torchon»... (pas trop quand même car il va péter, comme le CH).
«Au final on va le coudre»... (points de suture pour les jambonneaux du CH qui se font rentrer dans les bandes) «avec une ficelle cuisine ou un fil un peu fort pour qu'il soit bien serré autour du jambon. Surtout ne pas le pendre !!!»... (comme les fefans rêvent de pendre leurs favoris les trop nombreuses fois qu'ils ne foutent rien sur la patinoire, y compris en avantage numérique) «mais le déposer à plat sur une clayette en bois ou un cageot retourné : la couture»... (logo du CH) «toujours au dessus. -environ 800 gr à 1 kg de sel par jambon- Votre jambon va prendre le sel dont il a besoin» (gros contrats de vauriens comme Plekanec payé à un million de $ par but marqué) «et vous allez très rapidement voir le torchon se détremper»... (pas le cas des minables pousseux de puck du CH qui ne suent pas beaucoup durant les matchs).
«Vous le laissez ainsi pendant 30 à 45 jours»... (le temps que les faux blessés du CH prennent généralement pour guérir) «en le touchant régulièrement pour surveiller le début du séchage»... (lorsque les jambons retourneront sécher dans le club ferme du CH). «Après 45 jours, vous décousez tout ça»... (décousu comme le jeu des CHieux), «sortez le surplus de sel et vous le pendez»... (comme Michel T'éRien) «dans une poche»... (poCHe comme l'équipe du CH) «à jambon -une vieille taie d'oreiller-»... (comme Markov ?) «non trouée fait l'affaire-. Mettez une petite branche sèche de laurier dans votre sac, cela évite à la bête d'y entrer»... (? encore drôle, c'est pas sûr ça, car la bêtise caractérise le Cacanadien...).
«Ensuite vous pouvez le commencer après 6 à 8 mois»... (en réalité plus de bonne heure que ça, lorsque le CH est éliminé, tôt au printemps) «selon la grosseur. Évitez l'exposition au vent»... (impossible pour le CH, dont le marketing est basée sur les Glorieux jours d'antan -le rocket, Lafleur, etc-) «ce serait un rattage«... (le CH un club de ratés).»
Ah ! J'allais oublier... Ajoutez beaucoup de corniCHons à votre recette de "Jambon au TorCHon". CorniCHon et jambon = matCH parfait ! Comme défaite et CanaCHien.