Catastrophe chez la population de poissons autour de l'Île de Mourial ! Depuis un peu plus de quinze ans, soit la période correspondant à la décadence complète de l'équipe de hockey nommée bêtement "Canailliens" de MourYial, les chercheurs scientifiques de l'Université de Montréal ont constaté une détérioration considérable de la santé de la gent aquatique qui barbote autour de la métropauvre. Nul doute dans leur esprit qu'il y a une relation de cause à effet entre les fefans dépressifs, écoeurés de voir leurs CHieux déCHus (le Caca from Mountriawl est leur religion et leur raison de vivre) perdre tout le temps, et la consommation massive d'antidépresseurs, notamment du prozac. Le bidonville du maire Gérald "Ti-Clin" Tremblay n'étant pas équipé d'usines adéquates pour le traitement des eaux usées, les résidus du prozac, dont se bourrent les fefans pour oublier les déboires de leur club de broches à foin, se retrouvent dans leur urine qui finit par aboutir à son tour dans le fleuve, après avoir transité par le système d'égouts en ruines, construit au temps de la colonisation de Ville Marie. Les pauvres poissons, qui suffoquent dans cette pollution effroyable, en subissent les conséquences fâcheuses, dont la principale est la réduction de leur activité cérébrale. À l'image des fefans "prozacqués", dont le QI ne vole pas haut lorsqu'ils s'abaissent à faire des émeutes pour saccager les magasins de la SAQ dans le but de regarnir leur bar personnel ... Une analyse des tissus des malheureuses bêtes qui nagent dans cette eau contaminée ceinturant l'Île moronréalaise, a permis de déceler des traces d'antidépresseurs dans leur foie et leur cerveau.
Autant les fefans capotés, que les truites à la santé cérébrale très hypothéquée, partagent une kyrielle d'effets secondaires reliés à la consommation d'antidépresseurs. Notons parmi ceux-ci :
» État d'anxiété inquiétant lors des séries de défaites des CHaudrons;
» Trous de mémoires qui aggravent leur détresse car ils ne se rappellent alors plus que la CHiasse a déjà gagné la Coupe Stanley il y a très longtemps;
» Bouche sèche, ce qui les incite à boire plus de bière Molson à $ 10 le verre au Centre PouBell;
» Légers tremblements, surtout les soirs de défaites, lorsqu'ils savent que les anti-habs vont se payer leur tête et se moquer d'eux;
» Battements de coeur rapides et irréguliers quand Scary Price accordent des mauvais buts;
» Idées suicidaires quand leurs CHieux ratent les séries éliminatoires et fréquentent les bas fonds du classement de la NHL;
» Constipation quand ils regardent jouer trop longtemps Gomez et Kostitsyn;
» Automutilation quand ils croient que les arbitres ont fait perdre leurs idoles;
» Somnolence durant les points de presse de Jacques Martin, le coach aux oreilles monstrueuses;
» Augmentation de poids quand ils se bourrent de chips et d'ailes de poulet graisseuses pour mieux faire passer le prozac;
» État de confusion mentale, quand ils s'échinent à composer des trios de joueurs même en pleine canicule estivale;
» Lenteur au moment d'uriner, surtout lorsqu'ils ont trop regardé jouer Hal Gill et Paul Mara;
» Sensation de faiblesse due à une tension basse, problème récurrent lié à l'offensive anémique de leur club de pic pic;
» Propension à des chutes fréquentes, à la Ben Pouliot et à la Picouille Subban;
» Activités sexuelles perturbées, problèmes d'érection et d'éjaculations retardées, ennuis apparentés au manque de virilité et de courage dans le jeu des HabsCHtroumfs;
» Mal au coeur, comme celui qui affecte les CHieux avant d'affronter les joueurs rudes des Flyers et des Bruins.