dimanche 23 mai 2010

PHILADELPHIA FREEDOM


I used to be a Nordiques fan
You know
And the team was right
Sadly Quebec lost them down the road
I used to hate the Habs more than anyone
The times have not changed
I can't wait until their season is done

Cause I need to have this Philadelphia freedom
From the day that I was born
I've hated the Habs
Philadelphia Flyers must win to get the Habs banned
To give me peace of mind
I really need so bad

Oh Philadelphia freedom shine on me
I love you
Shine a light
Through the eyes of the fans left behind
Shine a light
Shine a light
Shine a light
Won't you shine a light
Philadelphia Flyers I love you
Yes I do

Yea I know Flyers players can crush Habs' bones
They must do it with fury
To finish this series while they are at home
Then we'll celebrate with tears of joy in our eyes
While all Habs fans suffer in agony
Their dream of Cup dies

Cause I need to have this Philadelphia freedom
From the day that I was born
I've hated the Habs
Philadelphia Flyers must win to get the Habs banned
To give me peace of mind
I really need so bad

Oh Philadelphia freedom shine on me
I love you
Shine a light
Through the eyes of the fans left behind
Shine a light
Shine a light
Shine a light
Won't you shine a light
Philadelphia Flyers I love you
Yes I do

Pour entendre la chanson originale PHILADELPHIA FREEDOM de Sir Elton John, cliquez sur la flèche ci-dessus. Ce montage est également disponible (plein écran) sur mon compte YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=8DENwRZnQZ8

dimanche 16 mai 2010

APRÈS LE GENTLEMAN CAMBRIOLEUR DE GAROU, VOICI LE FEFAN CAMBRIOLEUR DU CH


Malgré quantités de photographies et de vidéos prouvant le contraire, les autorités mourialaises et les membres de l'organisation du torCHon prétendent que ce ne sont pas les partisans du CH qui ont vandalisé et pillé les commerces du centre-ville le 12 mai dernier. Partout ailleurs dans le monde, les manchettes annonçant ces événements honteux, parlent des "Montreal fans" ou des "Montreal Canadiens fans" pour désigner les coupables des dégâts et des crimes perpétrés dans la métropauvre, devant une force policière inefficace.

Désirant stigmatiser cette belle gang de voleurs et de criminels moronréalaids, bien représentative de l'incompétence des dirigeants de leur ville, de la corruption (enveloppes brunes) de leurs administrateurs et de la violence de leurs gangs de rues, j'ai adapté la chanson GENTLEMAN CAMBRIOLEUR reprise dernièrement par Garou (voir vidéo sur YouTube).

C'est une belle gang de voleurs
Je veux parler des fefans
Ils répandent la terreur
À Mourial c'est un vrai drame
Que la "main" soit tout en flammes
Ils sont tous fous de bonheur
Les fefans cambrioleurs
Ce sont les meilleurs

Ils attendent la nuit
Alors que les marchands sommeillent
Ils les volent sans souci
Quand pas un chat ne les surveille
Puis avant de partir
En emportant leurs beaux cadeaux
Ils vont casser tous les carreaux

C'est une belle gang de casseurs
Je veux parler des fefans
Les policiers en ont peur
Comme s'ils avaient tous la rage
La Guenille est bien chanceuse
Ses fans sont bien les meilleurs
Les fefans cambrioleurs
Qu'est-ce qu'ils nous écoeurent

http://www.youtube.com/watch?v=OVqBt4u1NWY&feature=related

jeudi 13 mai 2010

LA SAINTE GUENILLE : L'OPIUM DU PEUPLE

"DÉBILES". Oui, mesdames et messieurs, "DÉBILES". Les Québécois, qui adorent le CanaCHien de Mourial à l'infini, sont tout simplement "DÉBILES". Et ce n'est pas moi qui le dit, c'est Jean-François Dumas, un spécialiste de l'analyse du contenu des médias, qui travaille pour la firme INFLUENCE COMMUNICATIONS. Monsieur Dumas a récemment été invité à plusieurs shows de radio et de télé pour parler de la place exagérée qu'occupent les Canailliens dans les nouvelles, au Québec et au Canada. Ça relève en effet de la maladie mentale et c'est unique au monde. Ça dépasse même de 15% le fanatisme des Français pour le soccer en Europe. Il peut se produire un séisme géant en Haïti. Ce sera la nouvelle la plus importante du mois...jusqu'à ce qu'elle soit battue à plate couture par le congédiement de...Georges Laraque, le goon déchu des CHieux ! De même, le 9 mars 2009, tous les microphones et les projecteurs étaient braqués sur Henri-Paul Rousseau qui tentait d'expliquer les pertes scandaleuses de 40 milliards de dollars de la Caisse de Dépôt du Québec. C'était LA nouvelle du jour...jusqu'à ce que Bob Gainey annonce le congédiement de Guy Carbonneau. Du coup, Rousseau a perdu les 2/3 de son auditoire...

D'ordinaire, une grosse nouvelle "pèse" 1% de l'ensemble de tout ce qui grouille dans les médias. La victoire du torCHon dans le 7e match de la série contre Washington a représenté à elle seule pas moins de 10,4 % du poids de toutes les nouvelles cette journée-là. Complètement débile ! C'est à croire, dit monsieur Dumas, que les Québécois ne s'intéressent qu'aux CHieux. Les enjeux sociaux, politiques ou économiques les laissent froids. Comme ce qui se passe dans les autres provinces du Canada (sauf le hockey) ou dans le reste du monde. Depuis le début de l'année, chez les personnalités qui font le plus parler d'eux dans les organes d'information, six sont des joueurs (un d'eux est en fait un ex-joueur) de la CHiasse. Les dix premières positions sont occupées par : 1) Halak 2) Jacques Martin 3) Charest 4) Harper 5) Obama 6) Cammalleri 7) Plekanec 8) Tiger Woods 9) Patrick Roy 10) Gionta.


Faut-il que leur vie soit aussi vide pour que les Québécois ne s'intéressent qu'au torCHon, et ce, douze mois par année, se demande l'expert en communications. Une game du CH attire plus l'attention dans les médias que tout ce qui s'écrit dans les journaux sur la santé, au Québec, en UNE ANNÉE. Débile, dit monsieur Dumas. Trente-cinq pour cent de ce qui s'écrit ou se dit sur le hockey en Amérique, émane du Québec (22% de l'Ontario, 15% de l'Alberta, 14 % seulement provient de l'ensemble des États-Unis). Lorsque le Tartissssssssse Alex Kovalev a pris une semaine de "congé forcé" à la fin de l'hiver de 2009, ce fut la nouvelle du mois au Québec, toutes catégories confondues.



Que feraient les Québécois sans les Caca ? Tourner en rond chez eux ? Se frapper la tête sur les murs ? Le CH c'est leur exutoire par excellence. Ayant pris la place de la religion catholique, la religion des Caca est devenue le nouvel opium du peuple, comme dirait Karl Marx. C'est la drogue qui leur fait oublier leurs problèmes et leur ennui. Le CH, c'est leur vie entière. De fait, quand le torCHon connaît une saison gagnante ou va loin dans les séries, les ventes d'antidépresseurs baissent dramatiquement. Quand la CHarogne perd, les fefans se défoulent sur leur conjointe et songent au suicide. Les ventes de Prozac montent en flêche. On se console en pensant très fort aux Glorieux du passé. On prie Saint-Maurice Richard.

Toujours, cependant, dans l'agonie de la défaite ou l'hystérie de la victoire, les fefans se pactent à la Moulsssson (les Molson sont donc toujours gagnants, $$$).

mardi 4 mai 2010

CH: ENCORE PLUS LAID DANS LA VICTOIRE QUE DANS LA DÉFAITE, CE SERAIT PLUS BEAU DANS LE JELLO !


On aurait dû s'en douter... Pour espérer gagner en séries éliminatoires, le torCHon devait trouver une stratégie, un style de jeu, un remède anti-médiocrité pouvant compenser le manque de talent et de robustesse de leurs joueurs-plombiers. La solution à leurs problèmes : l'anti-hockey qui leur a permis de gagner leur dernière Coupe Stanley, il y a dix-sept ans (un record de merde pour eux, puisque jamais auparavant, au cours de leur histoire maintenant centenaire, ils n'avaient été plus que 7 ou 8 ans sans gagner le précieux chaudron argenté). Un style de jeu hermétique, genre trappe à rats ou carapace de tortue, que la NHL a pourtant voulu faire disparaître, surtout depuis le lock-out de 2003, afin de rendre leur produit plus attrayant pour les consommateurs-spectateurs ou téléspectateurs. Surtout avec Gary Bettman comme président, lui qui est obsédé par l'idée de populariser notre sport national aux States, afin qu'il dépasse le bowling, le curling, le frisbee, la lutte dans le Jello (photo ci-haut) ou la course au coCHon graissé (en vedette Alex Perron ci-dessous, au Festival du coCHon de Sainte-Perpétue).

Remarquez, que ces "sports" de "truies" dans le Jello et de cochons dans la marde, se rapprochent énormément de l'anti-hockey pratiqué jusqu'à l'écoeurement par le CH ces jours-ci. De quoi donner des boutons purulents, provoquer des diarrhées tonitruantes et causer des nausées suffoquantes aux amateurs de hockey autres que les fefans du torCHon, qui, eux, en redemandent, du moment que leurs favoris triomphent, même si c'est de façon honteuse et affreusement laide. Une torture de platitude comparée au jeu captivant des autres séries Stanley.



De l'exemple de la course au cochon graissé, le maître-stratège des Caca, Jacques "oreilles de porc" Martin a compris que pour réussir à neutraliser les adversaires, il faut les cerner dans le coin et se saisir d'eux (comme nos cochons dans la mare) s'ils essaient d'en sortir. À ce moment-là, ce sont les leçons et les tactiques de la lutte dans le Jello qu'il faut adopter. Mais contrairement aux plombiers de la vraie vie, qui sont payés pour déboucher des tuyaux, les plombiers de luxe des Caca sont payés pour boucher, de façon étanche, les trous dans la couverture défensive.



Avec la complicité des arbitres, qui ferment les yeux, les défenseurs moins costauds des Cannes à CHiens se pendent et se suspendent littéralement aux opposants qui osent entrer dans l'enclave. Les arrières moronréalaids plus gros et plus grands y vont de toute la panoplie des prises de lutte : prise de l'ours ou du grappin, body slam ou planchette japonaise, clés de bras ou de jambe. Hal Gill est, quant à lui, la force d'inertie la plus efficace qui soit. Comme un nageur peu habile et peu mobile, il se contente de faire la planche en s'étendant devant son but, du long de ses 6'7" et du poids de ses 275 livres de boeuf avarié. Entre les deux poteaux de sa cage et entre deux ou trois autres CHieux qui gardent la forteresse avec lui, Jaroslav Halak n'a pas de mal à repousser les lancers de loin qui réussissent à se frayer un chemin jusqu'à lui, à travers l'amoncellement de corps et de bâtons qui bloque autant de tirs que lui.

Et si, à titre de joueur, ce simulacre de hockey, qui dure les ¾ du match, vous rebute autant qu'il écoeure les spectateurs, vous faites comme Andrei Markov, le "softie fakeux" des Canailliens. Pour vous soustraire à ces éreintants matchs de "catch" (mélange de lutte ou de boxe), vous guettez le moment favorable pour vous faire blesser. Vous attendez qu'un joueur-cochon (bin oui, comme au Festival du coCHon de Ste-Perpétue) vous donne une petite poussée. Et alors, vous mettez toute la gomme, vous remplissez votre hot dog avec tous les condiments possibles et imaginables, vous vous donnez un "swing" en garrochant vos gants, votre bâton, votre casque et votre dentier dans les airs. Et puis vous tombez comme une poCHe de patates ou comme un pantin dont on aurait coupé les ficelles : un bras d'un bord, une jambe de l'autre, le jackstrap par-dessus bord. Et vous criez comme un porc qu'on égorge ou qu'on saigne. Avec force grimaces et tortillements. Vous vous faites évacuer hors de la patinoire sur une seule jambe, avec l'aide de coéquipiers. Feluette, femmelette, douillette, vous montrez que vous êtes à l'agonie, et hop ! Bienvenue les vacances, adieu les corvées !

Puis, une fois les projecteurs et les témoins hors de vue, vous vous réjouissez de pouvoir ainsi échapper à ce hockey dit "de la sangsue" qui se colle à ses victimes; du hockey du retour à la grande noirceur (sous la carapace de la tortue ou sous le système défensif parapluie qui couvre le devant du but et l'enclave); du hockey de l'aspirateur puissant qui va nettoyer les coins de patinoire; du hockey éteignoir genre carcan ou veste anti-balles qui frustre l'adversaire; du hockey prise du sommeil qui endort l'opposant; du hockey cinglant style "pushing and grabbing" qui épuise vos vis-à-vis; du hockey mélasse ou "Krazy Glue" qui paralyse l'ennemi, du hockey anaconda ou pieuvre qui enlace le Ovechkin, le Crosby ou le Malkin et qui les les étouffe, les asphyxie ou les fait périr par strangulation; le hockey camisole de force qui convient si bien aux fefans bipolaires en rut.

Ce lassant spectacle, cet anti-hockey nocif, pourrait être divertissant, et même drôle à en pisser dans nos culottes, s'il ne manquait pas les ingrédients qui contribuent autant à rendre hilarant la lutte dans le jello et la course au cochon graissé. Il suffirait d'étendre du jello, du fumier ou de la bouette devant et autour du but des CHieux, et de laisser les joueurs se débattre et faire des fous d'eux là-dedans. Là on en aurait pour notre argent...