vendredi 12 février 2010

QUE FAIRE DES FEFANS ÉMEUTIERS ?


La ville de MortR'yial a décidé d'intenter des poursuites judiciaires contre des fefans émeutiers qui ont tout détruit sur leur passage au centre-ville après une victoire en huitième de finale contre les Bruins de Boston, il y a deux ans. Les partisans du torCHon avaient alors fait honte à la métropauvre et à leur "prestigieuse" (Ha ! Ha ! Ha !) équipe de broCHes à foin en pillant les commerces, et en sautant comme des babouins sur une quinzaine d'autos de police avant de les incendier. Une trentaine d'arrestations de caves primates avaient été effectuées par les agents de la paix, pris au dépourvu par cette horde de sauvages.

Les autorités du bidonville moronréalaid pensent obtenir $ 200 000 des individus poursuivis. Ayoye ! Dans un ghetto comme la cité des vidanges (je ne parle pas de Los Angeles, la cité des "anges") où près de 12% de la population est sur le BS, je souhaite bonne chance au maire Gérald Tremblay et sa bande d'avocats. Il est plus que probable que les cervelles brûlées qui sont visées par les poursuites civiles vivent sur l'assistance sociale et n'aient pas les moyens de payer pour les pots cassés. Les fefans vandales, court-circuités de la pioCHe qui leur sert de tête, sont également accusés au criminel.

Devant l'impossibilité de soutirer la moindre cenne noire à ces BS barbares, quelle punition devrait imposer la police aux émeutiers-vauriens ? (faites votre choix de réponses en haut à droite) :

A) Tranformer les condamnés en hommes-sandwiches circulant 16 heures par jour au centre-ville de Mourial, avec la double inscription «JE SUIS UN CRIMINEL FEFAN DES CANADINDES DE MOURIAL»;

B) Les forcer à assister à TOUS les points de presse assommants de Jacques Martin au centre PouBell;

C) Laver les voitures de police des flics et les vitrines des commerces du centre-ville pendant deux ans;

D) Les enfermer dans l'enclos des babouins, au zoo, pendant une année;

E) Puisque ces imbéciles adorent "sauter" sur des autos, les forcer à accompagner des soldats risquant de sauter sur des mines en Afghanistan;

F) Les forcer à chanter "OLÉ ! OLÉ ! OLÉ !" jusqu'à ce qu'ils n'aient plus de voix.