lundi 26 octobre 2009

SERGEI K. S'EST BATTU CONTRE QUI ET POURQUOI ?

La saga Sergei Kostitsyn perdure et fait dure encore et encore. Où est-il ? Que fait-il ? On raconte que son rôle au sein de l'organisation du torCHon a encore changé... Il se contenterait maintenant d'arroser la patinoire entre les périodes (photo) dans un rôle de soutien aux préposés à l'entretien de la glace. C'est un travail à temps partiel car il change souvent de place.

Au fait, où est-il vraiment ? Chez lui ? À Mourial-les-bains ? À Hamiltonne ? Chez Paré ? Dans une taverne russe ? En Sibérie ? Dans des mineures ? Dans les mineures ? Au salon de quilles ? Chez Scott Gomez ? Dans un placard chez Bob Gainey ? Dans le dog house de Jacques Martin ? Dans un repère de la mafia moronréalaise ? Nul ne peut le confirmer.

Les journaux rapportaient, la semaine passée, que notre moineau s'était battu chez Scott Gomez à la fin du camp d'entraînement et avant de s'exiler en Ontario. Contre qui et pourquoi l'adolescent attardé s'est-il battu ? Répondez en haut à droite.

A) Il s'est battu contre Gomez quand celui-ci lui a dit qu'il n'y avait plus de vodka;

B) Il s'est battu contre Georges Laraque en espérant que le gorille du torCHon le blesse et lui évite ainsi de se rapporter aux Bull Dogs;

C) Il s'est battu contre Tomas Plekanec car ce dernier a refusé ses avances (des rumeurs veulent que Sergei aime les mineures; or on sait que Plekanec a déclaré qu'il jouait comme une fillette, d'où l'intérêt de Sergei pour lui);

D) Il s'est battu contre lui-même en voyant sa face de p'tit baveux dans le miroir de la salle de bain de Gomez après avoir dégueulé dans la toilette parce qu'il était saoul;

E) Il s'est battu contre Scary Price qui, malgré qu'il est une vraie passoire, ne laisse jamais Sergei le déjouer durant les pratiques.

vendredi 23 octobre 2009

FEFANS ORPHELINS DÉSIRENT NORDIQUES...


Au cours des derniers jours, on a beaucoup entendu parler d'un éventuel retour du hockey de la LNH à Québec. Même les fefans du torCHon désirent ardemment la réincarnation des Nordiques. Les Molson, cette fois-ci, ne s'opposeraient pas au retour d'un compétiteur dans la capitale nationale. Ils comprennent qu'une rivalité féroce CH-Nords serait bonne pour les affaires. Ça mousserait considérablement les ventes de bière et de produits dérivés. D'ailleurs, cette source de revenus est en croissance constante et elle devient de plus en plus importante dans les finances des clubs du circuit Bettman.

Lorsque les Nordiques ont déménagé au Colorado en 1995, les amateurs de hockey de Québec ont avalé leur pilule, sachant qu'ils ne pouvaient rien faire de plus que ce qu'ils avaient toujours fait pour soutenir leur club : remplir le Colisée à tous les matchs. Certes ils étaient à la fois tristes, résignés et choqués mais ils n'ont fait aucune manifestation ni acte de vandalisme. Ce n'étaient tout simplement pas des partisans bipolaires comme ceux de l'autre bout de la route 20. Imaginez un peu si les fefans avaient perdu leurs Canailliens, leur raison de vivre, comme cela aurait pu se produire en 2001, quand personne ne voulait acheter l'équipe mise en vente par les Molson. La ville la plus corrompue du continent, Mourial, aurait été mise à sac. La cité du maire Tremblay aurait été à feu et à sang.

Comme c'est drôle d'entendre les fefans répéter : «vivement le retour des Nordiques !», eux, ces fanatiques qui aimaient tellement les détester et les traiter de "Nordindes". Ils se sont rendus compte que depuis que les Nordiques ne sont plus là pour aiguillonner leurs CHieux, ces derniers pataugent dans la médiocrité et se contentent de leur extorquer toujours plus d'argent sans leur donner aucun "retour sur leur investissement" émotionnel et financier... Curieux aussi que ces bipolaires moronréalaids semblent être soudain plus orphelins des Nordiques que les habitants de Québec eux-mêmes ! Wow ! Quel revirement de situation ! Les fefans s'ennuient à mort des Nordiques ! Qui l'eut cru ?! Par surcroît, ils pensent que la présence d'un club de hockey professionnel à Québec, et la résurrection de la rivalité Québec-Montréal, feraient en sorte de raviver l'intérêt des jeunes pour la pratique de notre sport national. Autrement dit : retour des Nordiques égalerait plus de Québécois francophones dans la NHL. Je rêve ou quoi ? Québec deviendrait la planche de salut des hockeyeurs québécois ! Que de considération et d'importance accordées soudain au gros Village de Québec !

Mais, à titre personnel, je suis content que les fefans se languissent des Nordiques. Ça prouve que j'ai raison d'avoir du fun à être un anti-habs. Dans l'ancienne rivalité Habs-Nords, les protagonistes aimaient autant, sinon plus, tirer la pipe des partisans du club adverse que de supporter leur propre équipe. Même chose pour moi. On m'a enlevé une partie de l'équation de la rivalité (les Nordiques) mais l'autre partie, la plus amusante, est toujours là. Avant le départ des Nordiques, j'avais un fun noir à rire du torCHon et de leurs fans cinglés. Pourquoi ce plaisir ne pourrait-il pas continuer ? Je n'ai plus les Nordiques, mais les CHieux, eux, sont bien vivants ET PLUS RIDICULES QUE JAMAIS. Le vaudeville entourant la saga Sergei Kostitsyn suffit à s'en convaincre. Et si ce n'est pas suffisant, analysez les déclarations cocasses et les actions niaiseuses du gros bouffon Georges Laraque et du DG Bob Gainey au cours de la dernière année... Et ces exemples ne sont que quelques scènes comiques de la comédie burlesque qui est jouée depuis si longtemps dans le théâtre des opérations du club de hockey des Caca de la métropauvre.

À entendre mes détracteurs, j'aurais pourtant dû me convertir en fefan du CH après la disparition des Nordiques. Sous prétexte que j'habite au Québec et que c'est "normal" de prendre pour la seule équipe de hockey professionnelle du Québec, j'aurais dû renier mon profond sentiment anti-CHieux. Parce que je refuse de virer mon capot de bord, je ne suis qu'un nostalgique frustré des Nordiques et patati et patata... Mais songez à cela : si je m'étais changé en fefan du torCHon en 1995 (hypothèse hideuse, pouah !), je serais écoeuré, déçu et frustré du rendement lamentable de mon nouveau club préféré. Depuis quatorze ans, je serais sur la déprime en voyant mes favoris perdre honteusement, alors qu'en demeurant anti-habs je n'ai pas arrêté de me moquer des aventures loufoques qui ont fait du CH la risée des amateurs de hockey d'Amérique.

On ne peut pas forcer un coeur à aimer ce qu'il n'aime pas. Cela serait se trahir soi-même. Je suis heureux d'être resté fidèle à ma foi anti-torCHon. C'est sûr qu'à rire autant du CH, à se tenir autant les côtes, celles-ci finissent par être légèrement meurtries, mais c'est mieux que d'être un fefan toujours en tabarnac et qui se fait mal à donner des coups de pieds aux meubles parce que les p'tits gars ont encore perdu en ne fournissant pas les efforts qui auraient pu justifier le moindrement leur salaire éléphantesque.

En poussant la réflexion plus loin, on peut même affirmer que durant l'âge d'or des Anti-Habs, la période où Réjean "Peanut" Houle était DG et où les CHieux croupissaient dans les bas fonds de la LNH, les fefans n'avaient carrément pas d'équipe. On dit ça familièrement lorsqu'on évalue un club (ex. les Islanders, ces dernières années) et qu'on trouve qu'il est très démuni et poche : «cibole, les Islanders n'ont pas de club cette année». Donc, pendant que les fefans n'avaient pas d'équipe et ne pouvaient se consoler en riant des Nordindes, les Anti-Habs, bien au contraire, étaient dans une position de rêve puisqu'ils pouvaient se payer la traite en se moquant éperdument de la pourriture du torCHon.

Comment ne pas voir le côté saugrenu de la situation : si j'avais basculé du bord des fefans, je serais comme eux aujourd'hui. Je me sentirais désespéré et esseulé, comme un orphelin, et je supplierais le dieu du hockey en disant : «vivement le retour des Nordiques» !

mardi 20 octobre 2009

ACCUEILLONS NOS CANADIENS !

Ça commence par de petits partisans qui vont dépenser leur petite paye au Centre BéBell pour voir perdre leur petite équipe. Avant que les petits joueurs du torCHon sautent sur la patinoire à poux de Mourial, des petits garçons des petites ligues de hockey patinent en rond avec de grands drapeaux (la seule affaire qui est grande chez le CH) du tricolore déteindu. Est-ce que ces petits porte-couleurs de la flanelle miteuse sont des Québécois de souCHe ? Est-ce que ce sont ces jeunes dont parle le président déCHu, Pierre Boivin, lorsqu'il dit que des Québécois francophones il y en a en masse chez les Canailliens ?

Le plan de match du coach Jacques Martin s'inspire d'un concept à succès des Productions Walt Disney : BlanCHe-Neige et les Sept Nains. Conscient que sa formation ne peut marquer à cinq contre cinq, Martin (avec l'argent des Molson) soudoient les arbitres avant les matchs pour obtenir des faveurs et des bénéfices marginaux appelés avantages numériques. Et il envoie sur la glace son attaque massive de bibittes à patates (photo).

Bon, j'exagère peut-être mais, lorsque l'on observe Jacques Martin et les Sept Nains (Gionta, Gomez, Cammalleri, Metropolit, Spacek, Plekanec et le frère André K.) on parle d'individus qui, en habits de ville, paraissent mesurer entre 5'5" et 5'8" et peser entre 140 et 170 lbs, peu importe ce que peuvent indiquer les statistiques officielles dans les guides de hockey. Vous pensez que ces petits bouts de choux font peur à des défenseurs de 6'2" ou 6'4" lorsqu'ils foncent en zone adverse ?

Gionta rebondit souvent comme une boule de billard; le frère André est toujours couché sur la patinoire; Gomez fonce toujours comme un missile à tête chercheuse pas de tête (ou une poule pas de tête); Metropolit se perd souvent entre deux zones; Plekanec ressemble à une femme au volant; Cammalleri est toujours au cellulaire en train de dire à Iginla qu'il s'ennuie de lui; Spacek est plus souvent qu'autrement impuissant devant son gardien ou grimpé face première dans la baie vitrée.

P'TITE VIE ! Petite équipe = petits résultats...

vendredi 16 octobre 2009

OLÉ ! OLÉ ! OLÉ ! D'LA BIÈRE POUR TOUT LE MONDE !

Récemment, sur mon blogue CH comme dans torCHon, je rapportais le témoignage d'un fefan du Canadien revenant, tout détrempé de bière, du Centre Bell, après une partie. Il se demandait pourquoi les crétins de la zone Molson-Ex, (aussi appelée LA CRASSE par l'ancien coach des gardiens de but du CH Roland Melanson), dépensaient $ 10 par verre de bière si c'était pour en déverser le contenu sur leur entourage et les autres spectateurs. Touché par cette préoccupation humanitaire, j'ai décidé de l'aider et d'explorer la question en vous demandant votre opinion à ce sujet.

Alors, selon vous, pourquoi des fefans des CHieux aspergent de bière les gradins et les autres spectateurs au Centre Bell lors des matchs de leurs pas bons ? Donnez votre réponse en haut, à droite de cette page...

A) Pour protester du fait que la bière Molson n'est pas buvable et est en vérité du jus de poteau aussi mauvais que leur club de pic pic;

B) Parce que, une fois ivres, des fefans se sentent généreux et offrent une tournée générale en lançant leur bière à tout le monde;

C) Parce qu'à $ 10 l'unité, la bière représente une partie importante des profits des propriétaires du club (famille Molson), et qu'en la garroCHant sur la foule ils veulent redistribuer ces profits en argent "liquide";

D) Pour que, dans un élan de solidarité, tous les spectateurs soient "trempés" dans la même "CHaude" ambiance et sentent tous la même chose (odeur de robine);

E) Pour essayer d'atteindre les jeunes joueurs (ivrognes) du CH en bas sur le banc, car ils les aiment et savent qu'ils adorent lècher les gouttes de bière qui tomberont sur leur casque;

F) Parce qu'ils sont courtois et amicaux avec les fans des clubs visiteurs en leur "offrant" une bière gratuite;

G) Parce que les Molson savent que les fefans sont des suiveux (moutons), ils font lancer de la bière par quelques employés dispersés dans la foule, et les fefans les imitent, faisant du même coup augmenter les ventes de bière car les fefans vont tout de même en boire un verre sur deux;

H) Parce qu'ils se disent que les rats, les coquerelles et les punaises du Centre Bell ont le droit de boire aussi.

mercredi 7 octobre 2009

CHER MARKOV, TES COÉQUIPIERS TE REMERCIENT !

Bénédiction ! L'excuse que les joueurs du torCHon cherchaient pour justifier une autre saison de merde est apparue comme par magie, dès le premier match régulier, avec la grave blessure de Markov. Si ce cadeau du ciel n'était pas arrivé, quelle raison les CHokeux CHieux auraient-ils invoqué pour expliquer le coulage à pic du bateau des CHaudrons ?

A) Il faisait trop chaud ou trop froid dans le vestiaire;

B) Il n'y avait pas de capitaine en début de saison;

C) Les joueurs n'ont pas voulu trop suer sur la patinoire, histoire de ne pas prendre froid ensuite et attrapper la grippe porcine;

D) Les bars et les bordels fermaient trop tard comparés à ceux de Toronto;

E) Jean Charest avait menacé d'augmenter les taxes et les impôts sur leurs salaires;

F) Ils avaient le moral bas parce qu'on leur a interdit de pratiquer leur putt de golf dans le stationnement du Centre PouBell;

G) On ne leur a pas accordé leur demande d'être payés après chaque partie plutôt qu'aux quinze jours;

H) Les nombreux nouveaux joueurs étaient découragés d'avoir eu à payer une grosse taxe de bienvenue à l'achat de leurs grosses cabanes;

I) Les joueurs ont été déconcentrés par une présence féminine lorsqu'ils sortaient nus de la douche (ils ont pris François Gagnon pour une fille);

J) Ils avaient peur que d'autres de leurs photos compromettantes deviennent publiques sur internet.

K) Ils ont manqué de SUDAFED et des autres stéroïdes qu'ils ont l'habitude de prendre pour se "booster".

Répondez en haut à droite. Merci.