lundi 22 août 2011

CE QUE RÉVÈLE LE LANGAGE CORPOREL DE SCARY PRICE...


Nos gestes ont une signification profonde. Ils nous révèlent. Ils disent qui nous sommes. Ils traduisent nos émotions. L'hiver dernier quand Scary Price a croisé les bras comme il l'a fait (partie gauche de l'illustration ci-dessus) après un arrêt qui donnait une victoire aux CHieux contre les Pingouins de Pittsburgh au Centre PouBell, il exprimait sa stupidité et sa vanité... ou serait-ce autre chose de plus maladif ? D'abord, un tel comportement de défiance et de déficience ne se fait pas au niveau professionnel. Ce n'est tout simplement PAS professionnel. C'est enfantin et immature. Au début de la saison les dirigeants des CHaudrons et les joueurnaliCHe-culs vantaient la nouvelle belle maturité du 31. Encore une preuve qu'ils disent vraiment n'importe quoi. Complètement farfelu. Si Price avait joué un rôle important dans le gain de siens contre les Pingouins, il a été commettre cette erreur bête de les provoquer par son geste "cocky". En les piquant au vif en mettant trop de moutarde sur son "hot dog", il stimulait ses adversaires pour la prochaine rencontre avec eux. Comme de fait, à l'affrontement suivant, les Pens l'emportèrent et leur cerbère, Marc-André Fleury remettait la monnaie de sa pièce à Scary en reprenant sa pose afin de le ridiculiser après la fin du match. Donc, Price avait été l'artisan de la défaite de son club de merde en fêtant un peu trop une victoire qui, dans le fond aurait très bien pu être un revers puisqu'en fusillade, la balance peut pencher d'un bord comme de l'autre... La fameuse pose de Price, qui a bien excité les petits fefans bipolaires, a été analysée et interprétée de diverses manières. Certains observateurs se sont prononcés en affirmant qu'elle leur rappelait celle de gangsters américains qui jouent les durs, les matamores ou les braves, en se montrant arrogants, confiants et défiants. Moi je constate simplement que, faute de hockey intéressant et de spectacle digne de ce nom au Centre BéBell, les clowns de service que sont Price et Subban, s'inspirent du Cirque du Soleil, et essaient de sauver le show en faisant les cons ou en exécutant des bouffonneries pour amuser la galerie... C'est d'ailleurs leur photo que l'on retrouve sur la couverture des nouvelles revues de hockey publiées récemment pour préparer les amateurs à leurs "pools" de hockey annuels. Faute de pain, faut croire qu'on doit contenter les fefans avec de la galette immangeable. Faute de vraies vedettes, on leur donne de fausses starlettes. Sur mon site CH comme dans CHaudrons (http://chcommedanschaudrons.blogspot.com), j'ai déjà émis l'hypothèse de la maladie mentale pour expliquer le comportement bizarre et singulier de Price. Le titre de l'article est : "Carey «Hannibal» Price" et vous trouverez le lien ici. Et de fait, oui, les bras repliés de Scary rappellent ceux d'un fou pris dans une camisole de force (partie droite du collage ci-dessus). Peut-être que Price est né comme ça, dans cet état mental correspondant à celui d'un crack-pot. Ou bien il est devenu comme ça à force d'abuser de l'alcool et de se faire sauter la boîte à poux en faisant du rodéo...



Pour les psychologues, lorsqu'un individu se croise les bras, ça dénote simplement une attitude de refus, de fermeture envers autrui. Dans le cas de Scary, on pourrait conclure que son geste signifiait : "Ahhh yes ! J'ai fait l'arrêt-clé. J'ai fermé la porte. J'ai refusé de céder devant les attaques des joueurs du club ennemi". Mais il existe d'autres explications possibles. À sa façon de jouer parfois les jolis coeurs pour son tata Pédé Subban, le gardien de la CHiasse a aussi un côté féminin en lui. Dans le couple qu'il forme avec Piquette Subanane, ce serait lui la femme. Or, pour une femme, se croiser les bras sur la poitrine a une signification différente du même geste chez les hommes. Toujours selon les analyses psychologiques, pour une femme, (comme Jayde Nicole, qui en 2008 est devenue seulement la 3e canadienne dans l'histoire à être nommée playmate de l'année de la revue PLAYBOY -partie droite du montage ci-dessus-), se couvrir les seins avec les bras a pour but d'attirer l'attention sur sa poitrine. Ça semble paradoxal, mais selon les experts en comportement, un tel agissement est une sorte d'anticipation reliée à la sexualité. Ça correspondrait à la petite comédie de Price anticipant le moment tant attendu où son pote Subban va venir le féliciter en entrant en contact physique avec lui, comme ils adorent toujours le faire à la fin des matchs, lorsqu'ils sont impliqués dans une victoire de leur équipe de broCHes à foin. Ces "low five", "chest bumps" et autres formes d'atouchements sont peut-être un prélude à ce qui se passe plus tard dans la douche...



On se triture peut-être les méninges pour rien afin de trouver une signification compliquée aux niaiseries de Scary. Il suffit de savoir que les gorilles, ces êtres primitifs, font des gestes qui s'apparentent énormément à ceux de Price (photo ci-dessus). Les primates descendent de l'arbre pendant que Scary descend de son pilier de taverne. Ça se ressemble. Bref, pourquoi ne pas conclure que Carey Price est tout simplement BÊTE...

lundi 8 août 2011

PITIÉ POUR LES FEFANS DU CH : DONNEZ-LEUR DES ICE GIRLS !


Les cheerleaders ont-elles leur place au hockey ? Sujet très controversé. Les fans des Kings de Los Angeles affirment que c'est le meilleur "move" que la direction de l'équipe a fait dans toute l'histoire de la franchise. Au Canada, beaucoup d'amateurs de notre sport national sont totalement contre, et voient même ça comme un sacrilège qui ruinerait la tradition de notre hockey "classique".

Et bien évidemment, beaucoup de femmes, surtout les féministes, s'opposent à ce rôle de poupoune-objet, dégradant pour leur condition et leur image. D'autres membres de la gent féminine, plus déniaisés, exigent que les "squads" de cheerleaders soient mixtes (autant d'hommes que de femmes, et habillés aussi "sexy").

Il existe bien des genres de "Ice Girls". À l'Université du Minnesota, l'équipe de hockey (les Gophers) a de vrais cheerleaders qui présentent des chorégraphies de patinage artistique. En Caroline, les Hurricanes ont été les premiers dans la NHL à faire appel à des meneuses de claques en 1999. Elles animent la foule en se tenant dans les estrades. Mais dans la plupart des autres villes du circuit Bettman, les Ices Girls nettoient la glace durant les pauses commerciales des matchs.



Sur la majorité des photographies montrant des Ice Girls, les joueurs s'efforcent de ne pas les regarder, histoire de garder leur concentration (et voulant éviter les crises de jalousie de leur blonde), surtout les gardiens de buts ! Moi je dis que ces belles jeunes femmes sont une nécessité au Centre Bell, étant donné que les CHieux sont poCHes au max et ne donnent aucun spectacle digne de ce nom aux fefans. Au moins, durant les pauses ces pauvres bipolaires auraient de quoi se mettre sous...les yeux et ils auraient moins l'impression de se faire voler par la famille Molson.

Ces filles sont vraiment "sensas". Contrairement aux défenseurs du torCHon, elles nettoient bien le devant du filet et dégagent bien leur territoire. Elles travaillent fort dans les coins et patinent beaucoup mieux que les Gill, Moen et autres tortues Ninja du même genre. Certaines d'entre elles sont aussi gonflées que P.K. Subban, mais en bien plus beau !

Pour habiller (musicalement) le montage photographique ci-dessous, j'ai appelé le ministre du son (Ministry of Sound) pour qu'il me fournisse une bombe, un hit qui décape, et rend les images encore plus hot. Sur I SEE GIRLS, attachez vos tuques, ça va faire des bourrasques !

Ceux qui comme moi aiment les cheerleaders seront contents d'apprendre que j'ai lancé un blogue qui parle d'anciennes meneuses de claque devenues des super stars (Madonna, Paula Abdul, Jessica Simpson, Britney Spears, Halle Berry, Fergie, etc). C'est un rendez-vous sur CHEERLEADERS ET STARS. Vous découvrirez comment le cheerleading a pu les aider dans leur carrière.