mardi 14 novembre 2017

PRICE AUSSI MAUVAIS COWBOY QUE GARDIEN DE BUTS !

Vraiment, c'est le monde à l'envers !  Quelle idée saugrenue pour Scary Price, qui est de descendance amérindienne, de jouer au cowboy !  On voit souvent le cerbère bipolaire des CHieux habillé en vacher.  Comme il arrive fréquemment que Scary soit pris du mal imaginaire et qu'il soit ainsi absent -pas seulement mentalement-, blessé...entre les deux oreilles.  L'organisation du Cacanadien aime bien lui inventer des blessures quand ça va mal.  Quand son super gardien de 84 millions de $$$ perd la boule et trop de matchs.

En séries éliminatoires (quand le CHiendent y participe, par chance) Passoire Price est encore plus pourri car il ne peut pas supporter la pression.  Manque de couilles ou couilles trop abîmées par ses nombreux chevauchements...  Même chose lorsqu'il s'acharne à monter à cheval pour se prendre pour un cowboy, son dada.  Au début de sa carrière de torCHonneux, Price a bien essayé de s'entraîner pour participer à des rodéos ayant lieu à Chilliwack, une localité de 70 000 habitants située près de la frontière américaine, dans le sud de sa province natale de Colombie-Britannique. Rien à faire, il paraissait aussi mal sur un cheval que devant les buts des CHaudrons. 


D'abord, soulignons que les autorités de la LNH lui avaient défendu de prendre part à autre chose que la compétition de l'attrapée du veau (par une patte) au lasso. Sage décision si on considère que Scary était toujours à genoux devant son filet ou à quatre pattes à la sortie des bars et des clubs de nuit. C'eut été trop rêver en couleurs (bleu, blanc, brun-merde) de penser qu'il pourrait tenir plus que deux secondes sur un canasson de rodéo ! On a beau dire que le ridicule ne tue pas, cela aurait été très risqué pour...le bronco.


Dommage que nous n'ayons pas été présent à Chilliwack quand Scary a tenté de jouer du lasso !  Quel Goofy ! En deux tentatives pour capturer son veau, afin de le faire ficeler ensuite comme de la saucisse, Price n'avait frappé que de l'air avec son morceau de corde. De quoi mériter le titre de "l'ass hole" de la journée ! Comment expliquer cet échec sinon en concluant que Scary est un cowboy manqué même s'il essaie de faire croire le contraire en portant souvent le chapeau des gars du Far West ? Problème de vision (yeux dans le même trou) ou de boisson ? Manque d'habileté (comme au hockey) ou de concentration (des filles criaient après lui) ? Lorsqu'il faisait tournoyer son lasso, la tête lui tournait-elle aussi (pas assez de temps pour se remettre de sa dernière brosse ou de son plus récent joint) ?



De toute façon, comme la corrida dans les pays latins, le rodéo devrait être aboli en Amérique. C'est une activité barbare au cours de laquelle des crétins s'amusent à faire souffrir de pauvres bêtes plus intelligentes qu'eux. De très mauvais goût et digne de gens pas civilisées.  Farfelu, comme les partisans des CHaudrons qui, rappelez-vous, il y a quelques années, s'étaient offusqués parce que Paul McCartney avait enfilé le chandail no 1 de Jacques Plante, à la fin d'un concert à Mourial.  Un fefan s'était écrié : «Euh ! Heille... Y avait pô le doit de fér çâ !  Le sweater de Plante a été retiré, là...»

vendredi 28 juillet 2017

DE MARKOV À MARCOTTE À MARK-OFF


Ainsi donc, la carrière de Andrei "Softie" Markov est terminée avec les Cannes à CHiens de Mourial.  Ce que je reteindrai de l'énigmatique ex-défenseur CHicolore c'est son petit sourire narquois lorsqu'il répondait (ou refusait de répondre) aux "mangeux de marde" et prétendus journalistes qui tentaient sans succès de lui tirer la moindre parole intéressante de l'orifice qui lui sert de bouche.  Peut-être Markov était avare de mots parce qu'il avait des choses à cacher.  Ou parce qu'il jugeait les scribes moronréalaids insignifiants et véreux.  Ce qui est tout à fait vrai.  La même remarque est valide pour les fefans sans cervelle du Cacanadien...


Bien qu'il tenait secrète sa vie privée, on en a assez appris pour savoir que son comportement, on ne peut plus effacé dans l'entourage du torCHon, contrastait avec celui observé loin des patinoires de la LNH.  Certains clichés nous l'avaient montré ivre, en train de boire et de foirer avec la super-vedette Alexander Ovechkin, des Capitals de Washington (ci-dessus).



Puis, dans un match, après un but du bouffon P.K. Subban, on avait vu le Russe no 79 embrasser son puant coéquipier dans un élan d'allégresse !  On a découvert que Markov, le muet, était ami de la pie Subban.  Les contraires s'attirent ? Récemment, l'exubérant défenseur no 76, que le DG Symphorien Bergevin a expulsé l'an passé à Nashville parce que trop de membres (joueurs, entraîneurs) de son club ne pouvaient plus le sentir, a été vu (très vu) au mariage de Markov.  À en juger des photos (ci-dessus), on pourrait croire que c'est le gros brochet noir qui s'est marié, tellement il vole le show, comme d'habitude.  Quel individu malséant ! Eurk ! Insupportable cette obsession de se mettre toujours devant !


Sur le plan encore plus personnel, Andrei a démontré qu'il était loin du timide et effacé individu qu'on avait pu imaginer.  Père de quatre enfants qu'il a eu avec trois conjointes différentes, Markov n'a pas eu la chance de concevoir de rejeton avec la copine (Carolina Montes, ci-dessus) avec qui il a vécu avant de fréquenter son épouse actuelle, Sonya Sonechka (mère de sa fille cadette).  Mademoiselle Montes avait révélé, après leur séparation, que son ancien chum l'avait trompée, en plus d'engrosser une de ses groupies !  Ayoye ! En plus de ses quatre enfants connus, Andrei aurait-il des descendants inconnus ? 

Dans le fond, ça me fait de la peine de voir Markov regagner sa Russie natale.  J'adorais ça quand, crampé au cerveau, ralenti par l'âge et à bout de souffle et d'indifférence, il se faisait déborder par la gauche (entre lui et la bande) en permettant à un joueur adverse de s'échapper et de filer seul vers le gardien des CHieux.  Je me suis souvent marré en regardant aller Andrei à MoronsRéal.  Son attitude inorthodoxe était en soi hilarante.  Je me rappelle qu'en juillet 2010 il m'avait inspiré un article succulent sur mon ancien blogue "CH comme dans torCHon".  Je le reproduis ci-dessous en me remémorant les bons moments que nous a procuré ce bon vieux Andrei !  

*  *  *

Coup de théâtre hier à Mourial-Les-Casses-de-Bain : on apprenait que Andrei Softie Markov allait devenir citoyen canadien. Stupeur et questionnement aigus : pourquoi cet être froid et indifférent comme un poteau de téléphone veut-il faire partie du peuple du Canada ? En creusant un peu on a découvert le pot aux roses. N'ayant disputé que la moitié des parties (incluant celles des séries éliminatoires) du torCHon depuis la fin de la saison régulière 2008-2009, en raison d'une multitude de blessures, la direction des CHieux était écoeurée de le payer chèrement à ne rien faire.


Voulant faire une pierre deux coups, les Frères Dalton Molson ont exigé que Markov devienne non seulement un Canadien, mais qu'il change son nom pour André Marcotte. Ainsi, le défenseur des CHaudrons pourrait obtenir sa carte d'assurance maladie du Québec et l'équipe n'aurait plus à payer pour faire soigner ses gros bobos. De plus, avec son nouveau nom québécois, "Softie" Markov devenu Marcotte "LE MOU", entrerait dans la peau de cette vedette francophone que les fefans réclament depuis si longtemps. Enfin un grand nom pour succéder à Réjean Houle et à Mario Tremblay. Donc, deux épineux dossiers réglés d'un seul coup.

Un vrai soulagement pour les patrons de la Guenille lorsqu'on pense aux reproches qu'ils ont subis de la part de tous les joueurnalisssssssses et autres Loco Loca$h nationaleux qui aiment tellement manger du Canaillien franco, même si ça goûte la semelle de bottine ou le poulpe. Mais au-delà de ce faux franco donné en pâture aux fefans sado-maso, c'est surtout le coup de la carte soleil qui est le plus apprécié. L'état-major du CH s'en veut de ne pas y avoir pensé avant. Avec la carte de la RAMQ, c'est l'ensemble des contribuables québécois qui auraient payé quand Markov :
  • a dû se faire soigner pour deux ongles incarnés aux orteils d'un pied, après qu'il eût botté le derrière de Scary Price lors de leur chicane de l'hiver dernier;
  • s'est infligé une contusion à un oeil en se décrottant le nez trop fortement sur le banc des joueurs;
  • a dû se faire greffer des cheveux après se les avoir trop arrachés à force de corriger les nombreuses bévues de ses coéquipiers défenseurs;
  • a eu des attaques de panique lorsque les joueurnalisssssses lui mettaient des microphones trop près du nez;
  • a eu des faiblesses au coeur lorsque Milan Lucic l'a invité à se battre contre lui;
  • a eu des poils de jambe arrachés par un morceau de "tape" resté collé après avoir enlevé ses jambières à double coque;
  • a attrappé un "tennis elbow" à force de lever le coude en compagnie de son grand ami Alexander Ovechkin;
  • a attrappé la jaunisse en ayant peur d'avoir peur du jeu robuste dans son territoire;
  • a été victime d'allergies aux mises en échec des opposants;
  • s'est fait mal au poignet en se dépêchant de finir de signer des autographes à des fefans trop insistants qu'il n'avait pas réussi à semer.

vendredi 3 mars 2017

CH : BERGEVIN FAIT PROVISION DE JAMBONS...AU TORCHON !

Je vous jure que ce n'est pas une joke ! Avec la moitié de la formation du CH composée (décomposée ?) de joueurs provenant de leur club ferme ("ferme" comme dans ferme d'élevage de coCHons pour faire des jambons) de la Ligue Américaine; et l'autre moitié obtenus par transactions par l'incompétent en chef Symphorien Bergevin (la dernière batch de viande avariée se nomme : Brandon Davidson, Dwight King, Andreas Martinsen, Steve Ott, et Jordie Benn - tous des vieilles carcasses ou des déchets de cochons finis) je me disais que le CH prenait encore tout son sens.  Le "C" du CH c'est pour cochons et le "H" du CH c'est pour Ham (jambon en français).  Ça va tellement bien ensemble !

Je cherchais une illustration pour orner ce texte et je suis tombé sur une image associée à une recette de "Jambon au Torchon". Je vous jure que c'est vrai. C'est sur le site "Super Toinette" (http://www.forums.supertoinette.com/).  On sait que les Anti-Habs aiment désigner le Cacanadien par le mot "torchon".  Quel beau hasard !  D'autant plus que, en ces temps de fin d'hiver sale, les fefanions plein de gadoue et de calcium qui ballottent au vent sur les minounes des abrutis de fefans du Caca, sont de véritables torchons crottés. 


Mais revenons à notre recette de jambon au torchon.  Ça m'a aussi fait penser au «Pour réussir un poulet», l'oeuvre de Fabien Cloutier, couronnée par un prix du Gouverneur Général du Canada, l'an dernier.  Sauf qu'ici il s'agit de réussir un jambon.  Un jambon CH.  Dans le fond, c'est une recette très facile.  Vous n'avez qu'à faire choisir la matière première, la viande, par un homme qui a un très mauvais jugement.  En l'occurrence, Trevor Timmins, le recruteur en chef des CHaudrons de Mourial.  Trevor n'a pas son pareil pour dénicher des jambons du genre McCarron ou De la Rose, 99,5% du temps.  Une assurance de réussite !

Élaborons davantage cette recette parfaite pour décrire le semblant de club de hockey qui représente la métropauvre moronréalaide.  C'est un lecteur du site "Super Toinette" qui la fournit.  La voici, selon ses directives, assaisonnées, entre parenthèses, de quelques commentaires judicieux de ma part :

«D'abord bien essuyer le jambon»... (notre rejet des autres clubs, notre recrue choisie par Timmins, ou notre joueur des mineures, s'alignant maintenant pour le CH), «en appuyant sur les veines qui longent l'os pour en faire sortir au maximum le sang»... (belle allusion aux petits jambonneaux du CH qui se font régulièrement étamper sur les bandes). «Mon père m'avait donné l'astuce suivante : avec une seringue»... (seringue oubliée dans le vestiaire par Pété Subban, qui se shoot aux stéroïdes fournis par son entraîneur physique Ben Johnson) «remplie de cognac ou d'armagnac»...(donc, alcoolisé comme les foireux Beaulieu et Galchenyuk) «piquer ici et là le long de l'os (comme la face de Pacioretty pleine de boutons) «pour que l'alcool coagule le sang et évite la pourriture»... (peine perdue en ce qui concerne le CH).  «Il ne faut pas injecter beaucoup à chaque fois.»


«Une fois le jambon essuyé, on prend un torchon épais»... (comme les membres de la direction du CH) «et assez grand qui enveloppera notre morceau. Poser le jambon dessus. Bien poivrer»... (ces temps-ci Scary Price se fait poivrer d'aplomb par de nombreux tirs des adversaires des CHieux) «avec du poivre fin : sur l'arrondi, dans les moindres recoins»... (surtout que les CHaudrons ne sont pas forts dans les coins de patinoire), «autour de l'os»... (c'est tout ce qui reste du CH une fois que leurs deux ou trois moins pires joueurs sont enlevés), «sous la couenne»... (les p'tits softies du CH n'ont pas la couenne dure) «sans oublier l'os du jarret.  À titre indicatif, environ 3 à 4 bonnes poignées pour 1 jambon. Vous massez»... (massages coCHons prodigués par les lèche-cul de journalistes de Mourial) «d'une manière générale sur la peau dessus et dessous. Sur le centre du torchon»... (le torCHon n'a pas de gros joueurs de centre sauf Youpi), «vous déposez un lit de gros sel, puis reposez le jambon dessus.


Ensuite vous allez saler»... (puisque les jambons du CH sont insipides, fades et plates à voir jouer) «la viande de l'arrondi et déposer du sel dessus. L'astuce est de tenir son torchon»... (il n'y a pu grand chose qui tient le Canadien) «au fur et à mesure qu'on sale pour éviter au sel de tomber en bas»... (du classement comme le CH) «et le faire rester sur les cotés. Je m'aide d'épingles à nourrices»... (prostituées fréquentées par les jeunes joueurs du CH ?) «pour tenir mon torchon sur les cotés. Puis je finis par déposer du sel sur le dessus. A chaque manoeuvre il faut bien tendre son torchon»... (pas trop quand même car il va péter, comme le CH).


«Au final on va le coudre»... (points de suture pour les jambonneaux du CH qui se font rentrer dans les bandes) «avec une ficelle cuisine ou un fil un peu fort pour qu'il soit bien serré autour du jambon. Surtout ne pas le pendre !!!»... (comme les fefans rêvent de pendre leurs favoris les trop nombreuses fois qu'ils ne foutent rien sur la patinoire, y compris en avantage numérique) «mais le déposer à plat sur une clayette en bois ou un cageot retourné : la couture»... (logo du CH) «toujours au dessus. -environ 800 gr à 1 kg de sel par jambon- Votre jambon va prendre le sel dont il a besoin» (gros contrats de vauriens comme Plekanec payé à un million de $ par but marqué) «et vous allez très rapidement voir le torchon se détremper»... (pas le cas des minables pousseux de puck du  CH qui ne suent pas beaucoup durant les matchs).

«Vous le laissez ainsi pendant 30 à 45 jours»... (le temps que les faux blessés du CH prennent généralement pour guérir) «en le touchant régulièrement pour surveiller le début du séchage»... (lorsque les jambons retourneront sécher dans le club ferme du CH). «Après 45 jours, vous décousez tout ça»... (décousu comme le jeu des CHieux), «sortez le surplus de sel et vous le pendez»... (comme Michel T'éRien) «dans une poche»... (poCHe comme l'équipe du CH) «à jambon -une vieille taie d'oreiller-»... (comme Markov ?) «non trouée fait l'affaire-.  Mettez une petite branche sèche de laurier dans votre sac, cela évite à la bête d'y entrer»... (? encore drôle, c'est pas sûr ça, car la bêtise caractérise le Cacanadien...). 

«Ensuite vous pouvez le commencer après 6 à 8 mois»... (en réalité plus de bonne heure que ça, lorsque le CH est éliminé, tôt au printemps) «selon la grosseur. Évitez l'exposition au vent»... (impossible pour le CH, dont le marketing est basée sur les Glorieux jours d'antan -le rocket, Lafleur, etc-) «ce serait un rattage«... (le CH un club de ratés).»

Ah ! J'allais oublier...  Ajoutez beaucoup de corniCHons à votre recette de "Jambon au TorCHon".  CorniCHon et jambon = matCH parfait !  Comme défaite et CanaCHien.