mardi 10 juillet 2018

POUR ÉVITER LE SORT DE THÉODORE ET DE PRICE : LES AGENTS LIBRES SE TIENNENT LOIN DE MONTRÉAL...


Il y a quelques annnées dans le journal LA PRESSE, Richard Labbé révélait que des sources proches de l'Association des Joueurs de la NHL confirmaient que leurs membres ne sont pas intéressés à jouer pour le CacaCHien de Mourial.

Contrairement à la légende entretenue chaque année par la direction du bleu, blanc, merde et qui continue d'endormir les fefans acheteurs de billets de saison à gros prix, l'histoire "glorieuse" des CHieux laisse les agents libres de la NHL complètement indifférents.

Ce qui compte pour eux c'est l'état actuel du club des Molson. Et l'état actuel du club c'est de la merde depuis plus d'un quart de siècle. C'est le cercle vicieux des agents libres qui ne veulent pas venir à Mourial parce que l'équipe est poCHe et l'équipe est poCHe parce que les agents libres ont horreur de Mourial...

Il y a un tas d'autres raisons : les taxes et les impôts élevés, le climat merdique, le système d'éducation déficient, la barrière de la langue, les fefans bipolaires, les dirigeants incompétents, et les journalistes sangsues. 

Autres obstacles non négligeables : les femmes des joueurs qui ne sont pas intéressées par le magasinage dans une ville du tiers-monde sale, polluée, laide, décrépite, rongée par la vermine...

La réputation de ce bled corrompu où rien ne fonctionne (cônes oranges partout, infrastructures en ruines) a dépassé les frontières : capitale mondiale des punaises de lit, plaque tournante et porte d'entrée de la drogue en Amérique du Nord, championne de la prostitution et de la traite des jeunes femmes ou des adolescents (esclavage sexuel)...  Il est beau et invitant le portrait !!!



Une histoire loufoque qui a fait le tour de la ligue très rapidement, et dont on se souvient encore, est celle du journaliste qui s'était caché chez José Théodore (lorsqu'il était avec le CH) afin de l'espionner pour savoir s'il était réellement blessé depuis qu'une absence mystérieuse privait le torCHon de ses services. La métropole est marquée au fer rouge par cette farce monumentale.

Et plus récemment, un des successeurs de Théodore, le malheureux Scary Price, disait se "sentir comme un hobbit dans un trou" parce qu'il n'ose plus sortir de son domicile moronréalaid, de crainte de se faire harasser par les fefans qui ne cessent de le pointer du doigt ou de le critiquer.

Pensez-vous que les multi-millionnaires du hockey d'aujourd'hui veulent débarquer dans ce bidonville infect et risquer de trouvez un joueurnalisssssssssssssse-espion caché dans la douche de leur habitation ? Ha ! Ha ! Ha ! Comble du ridicule. Une vie privée à Mourial ? Impossible.  Alors: "what the fuck" !... Mieux vaut éviter le sort de Théodore et de Price, et aller se faire voir ailleurs que dans la Sibérie du hockey...  Personne n'est intéressé à ressembler à un poisson rouge prisonnier de son aquarium pollué.



Qui plus est, de toute façon, le boss du Caca, Symphorien Bergevin a compris, malgré son manque de clairvoyance, qu'il était utopique de croire qu'il pourrait faire mieux que ses prédécesseurs pour attirer des agents libres de talent dans le trou bourbeux qu'est la métropauvre.

N'oublions pas que les joueurs de la LNH font partie d'un syndicat et que des agents bien payés défendent leurs intérêts.  Ces gens-là se parlent.  Des exemples servent de "jurisprudence" dans le monde du hockey.  Ainsi, on sait que, jadis, Eric Cole a amèrement regretté d'avoir écouté celui qui était alors le capitaine de la Guenille, Brian Gionta.  Ce dernier l'avait convaincu de signer pour la CHiasse.  Cole s'est arrangé pour être échangé après seulement une saison passée dans l'enfer des frappés de fefans.  Jouant parmi des minables sans courage, il était tanné d'être le seul de sa bande à foncer au filet et à manger des coups.


L'autre exception à la règle des agents libres fuyant Mourial comme la peste, c'est le pauvre Brandon Prust, qui a fait l'erreur d'accepter un contrat du club des Molson afin d'être avec sa blonde (Maripier Morin, photo ci-dessus) qui réside et travaille à MortYial.  Criblé de blessures pour avoir lui aussi rempli seul le rôle de matamore du club, il a joué une bonne partie de la campagne avec une épaule amochée et une multitude de bobos plus ou moins gros.  Il n'a pas pu disputer le dernier match éliminatoire de sa gang de lâches invertébrés quand ils ont été écartés du chemin des séries Stanley par les Sénateurs d'Ottawa.  Ça lui apprendra à se laisser influencer par une moronréalaise, même si c'est un des rares beaux pétards de cette ville de dingues du Caca où il se fait maintenant royalement chier...

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