vendredi 18 janvier 2013

BIEN SUR LES HABS SONT BONS DERNIERS, MAIS...MAIS VOIR UN FEFAN PLEURER !

Vous me direz qu'il ne faut pas se moquer des malades et des infirmes...  Qu'il ne faut pas frapper sur de pauvres bougres qui sont à terre et qui ont de la grosse pepeine...  Vous me direz que l'on doit faire preuve de commisération envers les fefans bipolaires du Cacanadien de MortYial qui ont souffert le martyre en voyant leur club de merde finir au dernier rang de la Conférence de l'est l'an passé.  Mais, en même temps, à leur ordinaire, les fanatiques de la Sainte Guenille sont tellement prétentieux, arrogants et baveux, qu'il est bien difficile pour un Anti-Habs de résister au plaisir de leur tourner le fer dans la plaie quand ils sont débinés.  Par exemple, ces temps-ci, dans mon JOURNAL INTIME D'UN ANTI-HABS EN FEU (voir lien dans la marge de droite, dans ma liste de blogues), je me contente en riant des talifans les plus capotés qui sévissent sur le blogue du journaliste François Gagnon (Cyberpresse).  En relisant les conneries qu'ils ont envoyées comme messages sur le site de Gagnon, on peut vraiment se payer une pinte de bon sang.  Et même plusieurs !



En prenant connaissance des élucubrations de ces damnés du torCHon, on peut parfois sentir que leur arrogance bascule dans la détresse et le désespoir à mesure que leurs vauriens s'abîment dans l'océan de leurs nombreuses défaites.  Quand leurs héros s'avèrent des zéros, quand leur bonheur ou leur malheur dépend du rendement des CHaudrons du hockey, on sent dans le plus noir de leurs propos qu'un Caca au dernier rang les affecte profondément, et on imagine facilement que les plus souffrants d'entre eux peuvent verser des larmes.  Ayant développé une dépendance affective envers le club des Molson, le fefan enragé va comme le Cacanadien va, c'est-à-dire très mal ! De beaux cas pour le Doc Mailloux !  Les Anti-Habs ont beau se réjouir des déboires de la CHnoutte sur la patinoire comme à l'extérieur de celle-ci, ils ont beau jouir quand les fefans huent leurs joueurs pourris, il n'en demeure pas moins que, voir un fefan pleurer, c'est le bonheur suprême !  Ha ! Ha ! Ha !



Pour m'amuser (et vous amuser aussi, je l'espère) l'idée m'est venue de changer les paroles de la célèbre chanson de Jacques Brel -Voir un ami pleurer- afin de les adapter à la situation que l'on vit maintenant avec un torCHon dans les bas fonds de la Ligue Nationale de Hockey.  Pour ceux et celles qui ne connaissent pas cette oeuvre magnifique de Brel, j'ai joint ci-dessous une vidéo montrant la larmoyante Lara Fabian interpréter ce classique de la chanson française.  En fredonnant la chanson, vous n'avez qu'à remplacer les paroles de Brel par les miennes.  Ça demande un certain effort intellectuel, mais si vous n'êtes pas des fefans du CH, vous devriez être capables d'y arriver.

«Bien sûr, le CanaCHien demande
L'appui de tous ses fanatiques.
Bien sûr, les fefans l'enguirlande
C'est la pire équipe d'Amérique.
Bien sûr, les anti-habs écoeurent
Tous ces fefans qui font pitié.
Bien sûr, on rit de leur malheur
Mais, mais voir un fefan pleurer !



Bien sûr, il y a toutes ces défaites
Et le dernier rang tout au bout.
Tous ces losers baissent la tête
C'est une bande de flancs mous.
Bien sûr, les fefans sont fidèles
À leur club quand il peut gagner.
Bien sûr, on leur coupe les ailes
Mais, mais voir un fefan pleurer !

Bien sûr, les fefans sont trompés
Ils se font avoir tout le temps.
Ils croient que le club va gagner
Le boss du CanaCHien leur ment.
Bien sûr, ils ne comprennent pas vite
Que ces Molson bien cravatés
Ne sont que de beaux hypocrites
Mais, mais voir un fefan pleurer !

Bien sûr, leur club c'est comme la pègre
C'est malhonnête et élusif.
On sait bien sucrer le vinaigre
Le marketing est persuasif.
Tous ces fefans qu'on exaspère
Et qu'on sait si bien exploiter
Naïfs ils boivent toujours leur bière
Mais, mais voir un fefan pleurer !
  

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